Camping naturiste

Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:33

Plusieurs semaines se sont passées. La fin de la saison approche. Les touristes commencent à regagner leur maison et la nostalgie se ressent partout. Nostalgie des vacances qui se terminent et d’un temps où tout était permis, notamment dans ce lieu si particulier et privilégié. On voit partir les familles, les amis rencontrés. On se dit à l’année prochaine en sachant qu’on en retrouvera certainement certains et qu’on perdra de vue les autres.

Sylvie a pris en mains, depuis un moment, la gestion du camping « famille ». Elle aime ce qu’elle fait et le fait bien. Elle n’a pas mis longtemps pour se mettre au courant. Sa formation de gestionnaire est très utile. Elle a réorganisé le système de gestion et de location grâce à l’utilisation d’un logiciel de gestion. Les réservations ou les renouvellements d’abonnements sont déjà opérationnels. Océane se montre très efficace pour toute la gestion numérique des fiches clients. Elle travaille plusieurs heures par jour dans le petit bureau installé derrière l’accueil. Tout en restant près de sa Maîtresse, elle œuvre avec habilité et dévouement. Sylvie jubile de pouvoir accueillir les familles inconnues, toute nue. Quand elle repense à son ancienne vie, elle s’imagine toute nue et cela la fait rire. Les hommes, en général, lorgnent sur ses seins lourds et sur son sexe délicatement épilé. Tony lui a demandé de s’épiler totalement, car il n’aime pas tellement les poils. Sylvie l’a fait avec beaucoup de plaisir. Elle adore être vue complètement nue par des hommes maintenant et se sentir désirée.

Jade est devenue une femelle accomplie. Durant la journée, elle travaille avec application. Elle n’a pas été autorisée à retirer sa cage depuis qu’elle a été verrouillée sur elle. Jacky l’utilise à son plaisir personnel régulièrement, le matin et le soir. La journée finie, elle rentre chez ses Maîtres et s’occupe de la maison. Elle a appris à marcher avec ses talons hauts. Cela n’a pas été une chose facile. Sylvie a procédé par étapes en prenant des talons toujours plus hauts. Dans le camping, tout le monde la surnomme « la lopette ». Elle doit bien souvent se pencher et recevoir l’hommage des hommes en rut. Elle ramène consciencieusement 10 préservatifs, en moyenne, par jour. A la maison, elle est chargée de tout le ménage et du service de table.

Océane est devenue l’esclave totale de Sylvie. Elle fait la cuisine et assure le train de la maison en plus de ses heures de travail dans le petit bureau. C’est elle également qui est chargée de faire les courses et de superviser le travail de Jade. Elle n’a presque jamais une minute pour elle-même. Elle garde son Rosebud large de nombreuses heures et jouit chaque fois que sa Maîtresse la pénètre dans son sexe par le petit défaut des anneaux. Jusqu’à présent, Sylvie n’a pas décidé si elle voulait lui ouvrir le sexe et Océane, en bonne esclave, ne demande rien.

Tony, lui, a entamé le chantier de construction de son club SM. Il a trouvé l’endroit parfait. Sur l’arrière de sa propriété, il existe un petit lac qui est relié au bassin par un petit canal. Jadis, il servait aux bateaux des exploitations forestières à transporter facilement les billes de bois. Le bois était stocké sur le lac puis transporté en train de bois, poussé par un puissant remorqueur. Dans le bassin, des remorqueurs plus puissants récoltaient les billes venant de plusieurs exploitations afin d’être traitées dans une usine située de l’autre côté. Depuis que l’exploitation a disparu, il n’était plus utilisé. Tony a fait rouvrir et draguer le canal. Le lac n’est pas grand, mais suffisamment profond pour servir de port à une vingtaine de bateaux. La petite plage de sable a été équipée d’un ponton très long sur lequel les bateaux peuvent s’amarrer de part et d’autre, et des rampes en bois permettent un accès aisé jusqu’au club. L’accès par la route est aussi facilité, car une route, plutôt un chemin gravillonné, mais carrossable privé rejoint la route départementale. Tony a aussi prévu un parking. Le bâtiment sera en bois, fait de rondins. Il s’intégrera ainsi complètement à la forêt environnante. Un sous-sol qui servira de cachots pour des stages de soumission de plusieurs jours et d’une salle de dressage bien équipée, un rez-de-chaussée où seront installées l’accueil, la salle de réception et de restauration, et, d’exhibition publique ainsi que des alcôves tout autour pour des parties privées ou à participants invités. Enfin un étage comprendra plusieurs suites disposants d’une chambre et d’un cabinet de toilette ainsi que d’une petite salle de soumission particulière avec une cage d’isolement.

Sylvie et lui ont concocté  les plans de base et c’est un de ses amis, architecte, qui a finalisé dans le respect des normes de construction. Le camp va bientôt fermer ses portes et Tony est impatient de commencer les travaux. Dès que le dernier campeur sera parti, il fait venir l’entreprise qui est chargée de la réalisation.

En attendant, il faut s’occuper de ranger et de fermer le camp. Sylvie et Charlotte s’occupent de la partie « famille ». Il faut inspecter chaque chalet et noter tous les travaux nécessaires à effectuer puis programmer le nettoyage complet et la fermeture hivernale. La liste des travaux sera remise à Jacky qui pourra établir un plan de travail durant les mois de fermeture. Une dizaine de chalets resteront cependant ouverts, car il y a toujours des amoureux de la nature qui profitent hors saison de la plage naturiste. Tony s’est mis, depuis longtemps, en relation avec Pôle Emploi et propose chaque année quatre postes de vacataires saisonniers. En général, ce sont des gens du coin qui viennent. Ils connaissent les lieux et savent qu’ils vont travailler dans un camp de naturistes. Les mois d’hiver sont des mois creux pour beaucoup d’entre eux, car ils sont surtout occupés pendant la saison touristique. Certains partent s’embaucher à la neige. Pour ceux qui restent, c’est soit le chômage soit le camp des Fauvettes, seule activité importante et rentable. Ils savent également qu’ils vont côtoyer leurs patrons nus et certains résidents particuliers durant leurs heures de travail. Ils sont embauchés pour s’occuper du rangement et du nettoyage. Ils peuvent loger sur place également.

Sylvie et Charlotte accueillent les vacataires. Charlotte remarque aussitôt que parmi eux, deux sont déjà venus et ont donné entière satisfaction. La première, Maryse, est une femme de 64 ans qui vit seule depuis que son mari s’est noyé en mer, il y a presque 10 ans. Bonne ménagère, elle sait comme personne nettoyer à fond les chalets. C’est une grande femme mince, les cheveux courts blanchis par le chagrin, le visage émacié, mais qui dégage une grande bonté et qui a été belle, sans doute jadis. Elle a perdu sa beauté de jeunesse, mais garde une sensualité forte notamment dans son regard et dans sa manière de se déplacer. Le second est un homme dans la trentaine : Ghislain. Sérieux, parfois même trop, il est méticuleux et besogneux. Blond et petit, il est tout en rondeurs sans être gros. Il a toujours un sourire au coin de la bouche et ses yeux pétillent de gaité. Avec lui, rien n’est laissé de côté. Charlotte glisse un mot à sa patronne en les recommandant pour être chef d’équipe. Les deux autres sont des nouveaux. Vu la manière dont ils se présentent, on sait tout de suite qu’ils sont ensemble. Ils se tiennent main dans la main d’une manière touchante.

Bienvenue aux Fauvettes ! Comme vous le savez sans doute, vous êtes dans un camp naturiste. Je dois vous préciser dès à présent que vous ne serez pas tenus de travailler nus si cela vous dérange. Je suis votre responsable. Je m’appelle Sylvie. Mon bras droit est Charlotte. Vous aurez à faire le plus souvent à elle. Charlotte ?

Merci Madame Sylvie. Bonjour tout le monde. Je vous souhaite la bienvenue à mon tour. Nous allons avoir pour tâche de remettre en ordre tout le camp. Entre nous, pas de barrière. Nous nous tutoyons sauf Madame Sylvie, bien sûr, et Monsieur Tony. Vous savez qu’il y a deux camps, dont celui pour les adultes. Vous rencontrerez certainement deux personnes qui y travaillent et qui sont particulières. Leur nudité et les accessoires, comme ceux que je porte d’ailleurs, ne doivent pas être un sujet de trouble pour vous. Vous devrez agir avec eux d’une manière naturelle comme elles le feront avec vous. Vous n’aurez pas à vous en occuper de toute manière. Maryse et Ghislain, on se connaît déjà. Vous savez ce que vous avez à faire. Vous serez chef d’équipe. Maryse, tu vas travailler avec…

Elle désigne du doigt l’homme.

Comment tu t’appelles ?

Benoît, madame.

Pas de madame en ce qui me concerne. Benoît, tu travailleras avec Maryse. Et toi ?

Elle regarde maintenant sa compagne.

Elise.

Bien ! Toi, tu seras avec Ghislain. Vous allez poser vos affaires dans le chalet B 023. Elise et Benoît, vous suivez Madame Sylvie afin qu’elle établisse vos fiches d’entrée.

Maryse et Ghislain suivent Charlotte tandis que Sylvie fait entrer dans son bureau les deux nouveaux. Océane est derrière son ordinateur et continue son travail de numérisation des fiches clients.

Asseyez-vous ! Je vous présente Océane, mon esclave.

Le couple sursaute en entendant ce mot.

Vous semblez surpris.  Vous avez entendu Charlotte à l’instant !?

L’homme reste silencieux et regarde sa femme.

Nous savons, madame Sylvie ! On nous a prévenus au village. C’est seulement que nous n’avons pas encore l’habitude.

On vous a prévenus au village ! Que vous a-t-on dit ?

La boulangère nous a dit que nous rencontrerions des personnes qui aiment obéir et être punies. Parfois de manière …

De Manière ? Quelle manière ?

Eh bien ! Recevoir des fessées et d’autres choses comme ça !

Des fessées ! C’est tout ?

Non ! Mais j’ai honte de dire ça devant vous, madame.

Charlotte a été claire : pas de honte à avoir. Qu’y a-t-il d’autre ?

Un… un homme porterait un truc pour l’empêcher de … et il servirait plus de … Oh, j’ai trop honte de le dire !

Je vois ! Ce truc est une cage de chasteté pour l’empêche de bander et d’éjaculer et il sert de femme aux hommes qui ont en envie. Et pour être complète, cet homme est mon ex-mari.

Oh !

C’est Benoît qui vient d’émettre un son de surprise.

Ne soyez pas troublés. Jade a choisi et est très heureuse de vivre ainsi. Tout ce que vous verrez ici n’est que le fruit de la recherche du bonheur. Rien d’autre. Quelle est votre recherche du bonheur ?

Être heureux et avoir des enfants. Nous marier quand nous aurons assez d’argent.

Eh bien, Jade nage dans le bonheur ici. Tout comme tous ceux qui sont là ! N’est-ce pas Océane ?

 

Océane lève la tête vers sa Maîtresse.

Je suis tellement heureuse d’être Votre esclave, Maîtresse. Ma vie sans Vous serait un enfer et un calvaire.

Pourtant ma chienne, je t’insulte, je te punis. Montre à nos amis ce que tu portes dans ton cul.

 

Océane se lève immédiatement et contourne le bureau puis elle se tourne et se penche en avant en écartant ses fesses largement.

 

Explique-leur !

Oui Maîtresse. Je porte dans mon cul un gode qui s’écarte une fois à l’intérieur. Maîtresse le maintient verrouillé durant plusieurs heures par jour. Cela me gêne et me fait mal parfois, mais je suis heureuse de le porter et que mon cul soit rendu chaste afin qu’il ne serve qu’à ma seule Maîtresse.

C’est bien chienne, reprend ton travail.

Oui, Ma Maîtresse.

Avant de se remettre au travail, Océane se place devant Sylvie et s’agenouille et embrasse ses pieds puis se redresse et regagne sa table de travail.

Voilà ! Comprenez-vous ?

Oui, madame. Nous comprenons que votre… esclave est heureuse. Comme nous voulons l’être aussi.

Voulez-vous toujours ce job ?

Oh, oui Madame.

Parfait ! Alors ! Voici vos fiches, veuillez les remplir avec soin. Je vous ai préparé un plan du village afin que vous vous y retrouviez.

Madame ?

Oui Elise ?

Nous allons loger sur place ?

En effet, vous allez loger avec les deux autres dans un chalet de la zone adulte. Océane vous montrera ensuite.

Merci madame. Nous allons loger avec les autres ?

Absolument !

Sylvie leur tend des stylos et ils se mettent à remplir leurs fiches sans rien ajouter. Une fois qu’ils ont terminé, elle ordonne à Océane de les accompagner.

Chienne ! Va leur montrer le chalet.

Partis, Sylvie consulte leurs fiches. Ils sont bien mariés depuis 15 ans. Elise et Benoît Jasper. Sans enfant, ils étaient acrobates dans un cirque qui a fermé l’an passé. Benoît s’est blessé et ne peut plus exercer son métier. Depuis, ils errent de petits boulots en petits boulots. Ils ont tous les deux 52 ans. Sylvie note qu’ils exerçaient plusieurs métiers dans le cirque et que leurs compétences trouveront à s’employer ici. Reste à savoir qu’ils supporteront la nudité et la promiscuité et surtout, s’ils accepteront de côtoyer des esclaves !

Elise est une femme sportive : mince, sans le moindre embonpoint. Son ventre n’a pas été déformé par une grossesse. Les cheveux noirs longs et coiffés en une longue queue de cheval lui donnent un air de grande dame. Ses yeux bleus éclairent son visage. Benoît est aussi un homme sportif. Tout en muscle et la carrure impressionnante. Une petite moustache lui donne un air d’antan, celui des foires où des messieurs muscle faisaient valoir leurs corps pour émouvoir les dames sages.

Dans la partie « adultes » ce sont Jacky et Jade qui s’occupent de tout. Ils sont aidés par Gérard, un jeune local qui tient une baraque à frites durant la saison estivale et qui, depuis des années, une fois sa baraque rangée, vient donner un coup de main avec son frère jumeau Gilbert. Agés de 20 ans, cela fait deux ans qu’ils viennent travailler au camp naturiste et connaissent les activités particulières du camp adulte. Ils apprécient toujours de goûter aux spécialités du cru. En arrivant, ils retrouvent Jacky dans son atelier. Jade est occupée à le sucer. Les deux jeunes gens s’arrêtent et observent la scène en silence.

Tu suces de mieux en mieux ma salope. Tu es devenue très douce. Ta bouche est un vrai fourreau. L’an prochain, tu vas avoir un succès fou. Tous les hommes vont te demander.

Jade ne répond pas. Elle est à genoux et s’applique à faire jouir Maître Jacky. Elle adore avaler son sperme.

Salut Jacky ! Une nouvelle pensionnaire ?

Oh, Salut les morveux ! Je vous présente Jade la lopette. C’est l’ex-mari de la patronne. Ils sont arrivés cet été et le patron a eu le coup de foudre pour la femme légitime de cette salope. Ils l’ont faite cocue le premier jour.

Eh, bien, Monsieur Tony est toujours aussi étonnant.

Tu l’as dit Gilbert. Le patron est un vrai mec. Il est en ménage avec sa femme. Elle s’appelle Sylvie. Une vraie beauté et une Maîtresse-Femme. Elle fit un boulot du tonnerre depuis qu’elle est là !

Et lui ?

Qui lui, Gérard ?

Eh bien, la salope qui te suce !

Ah ! Tu veux parler de Jade. C’est plus lui qu’il faut dire, mais elle. N’est-ce pas Jade ?

Oui, Maître !

Montre à ces messieurs comme tu es belle !

Jade s’interrompt et se tourne vers les jeunes gens tout en restant à genoux. Elle écarte ses cuisses et baisse la tête. La réaction des deux garçons ne se fait pas attendre.

Oh ! Vise-moi ça, frérot ! C’est quoi ?

Je ne sais pas un truc en métal qui cache un tout petit sexe.

C’est une cage de chasteté les mecs ! Jade est une lopette. Vous savez ce que c’est, je crois ?!

Oui, dit Gérard, l’an dernier, tu en avais une, déjà.

Oui, Sandrine. Mais elle n’était ni aussi jolie ni aussi bonne que cette lopette de Jade.

Oh, pourtant, on l’a baisé quelques fois. Son cul était bien ouvert, mais elle n’avait pas de cage, l’autre.

Jade ne doit plus jamais bander ni éjaculer. Elle est castrée.

On pourra quand même la…

Bien sûr. Autant que vous en avez envie à condition d’avoir pensé à faire vérifier votre tuyauterie.

Gilbert  un rire moqueur.

Tu pensais qu’on oublierait peut-être ?

Pas du tout, mais vérifier c’est être certain que vous n’allez pas bousiller la marchandise.

Gilbert tend leurs deux certificats médicaux attestant qu’ils sont séronégatifs et qu’ils sont en parfaire santé sans aucune MST. Jacky consulte les deux documents avec sérieux et concentration.

Parfait, les gars, vous êtes embauchés.

Yep ! Super. On commence quand ?

Dès aujourd’hui, si vous le voulez !

On est partant. Mêmes horaires et conditions que l’an passé ?

Tout pareil : embauche à 8h. Débauche à 17h, repas de midi fourni sur place…

… C’est toujours Océane qui cuisine ?

Toujours, mais attention, chasse gardée, car elle appartient à la patronne.

Donc, on ne pourra pas …

Faudra voir ça avec la patronne. Mais cela me semble bien compromis.

Et la patronne, elle est vraiment aussi belle que tu le dis ?

Encore plus les gars, encore plus ! Sublime !

Oh, Dis donc ! On dirait que tu en pinces pour elle. Tu l’as sautée ?

Jacky regarde méchamment les deux garçons.

Les gars, si vous voulez continuer à bosser ici, il va falloir vous enfoncer une chose dans le crâne. Les patrons sont sacrés. Vous pourrez baiser seulement qui je vous autoriserai à baiser. Océane et la patronne sont hors concours. C’est bien compris ?

Les deux garçons se regardent. Ils savent que Jacky ne fait jamais aucune menace en l’air. Ils tiennent à ce travail. Tout d’abord parce qu’ils ont besoin de bosser durant les moins creux et ensuite, ils savent qu’ils peuvent baiser à l’œil, ici, des filles consentantes. Des filles et aussi des lopettes comme celle qui est à genoux devant eux. Un trou reste un trou quand il est ouvert avec autant de grâce et de facilité.

Pas de souci, Jacky. On est là pour bosser. Tu sais qu’on travaille bien et que tu peux nous faire confiance. Pour les filles, on respectera ce que tu nous dis.

Jacky jauge encore une fois les gars. Il les connaît bien. Leur père est un ami d’enfance et, avec lui, ils ont fait les quatre cents coups.

J’ai confiance. Topez là !

Un échange de mains plus tard.

Allez ! Au boulot. Gilbert, Tu es chargé de procéder au nettoyage du camp famille et adulte. Tu vérifies toutes les barrières et éléments de sécurité et de balisage. Tu fais ce qu’il y a à faire pour tout remettre en ordre. Ce printemps, tu as vu que ton travail avait été payant, car nous n’avons eu presque rien à réparer au dernier moment si ce n’est les dégâts de cette fichue tempête.

Ça marche ! Je travaille seul ?

Non, Jade est sous tes ordres directs. Cela signifie que tu peux la baiser autant que tu veux et que tu as le droit de la punir sans avoir besoin de m’en informer. Bien sûr, les punitions ne doivent pas l’abîmer. N’oublie que c’est l’ancien mari de la patronne. Et n’oublie que tout doit se passer uniquement dans la zone adulte. Dans la zone famille, Jade n’intervient pas et tu te débrouilles tout seul. Si tu as un problème, tu nous contactes par la radio de la voiture.

Je vais en prend soin. T’inquiète pas. Et je sais  très bien pour le reste, rassure-toi.

Les choses vont mieux quand elles sont dites.

Et moi ? demande Gérard ?

Toi, tu bosses, comme d’hab avec moi. J’ai trop besoin de ton savoir-faire pour réparer tous les trucs électriques qui ne fonctionnent pas. Nous devons avoir fini cette tranche de travaux dans deux mois. Ensuite, nous attaquerons tous les quatre la réfection des toits et des maçonneries. Nous aurons juste le temps avant l’arrivée de l’hiver.

Et ensuite, on s’occupera des intérieurs ?!

C’est ça. A ce moment-là, la lopette sera sous tes ordres et il te reviendra de t’en occuper comme tu le veux.

C’est okay pour moi.

Bon, alors à poils !

Ouais, on oublierait qu’on est chez les culs nus, sinon !

Absolument.

Les deux jeunes hommes retirent leurs vêtements. La manière dont ils se retrouvent rapidement tout nus indique leur habitude de le faire.

Dites-moi, vous êtes en forme tous les deux. Vous n’avez pas baisé pendant les vacances ?

Bien sûr que si ! dit Gérard. J’avais rencontré une petite poulette. Une blondinette belle à croquer. On s’en est payé des parties de jambes en l’air.

Et, elle est partie !

Eh oui, comme toujours.

Tu ne sais pas les garder. Tu dois les user jusqu’à la moelle avec ta bitte.

Tu as vu comme elle est grosse. Je pense qu’elle est plus grosse que la tienne.

Plus grosse, certainement, mais aussi endurante, faut voir ! Et toi, Gilbert ?

Moi, j’ai rencontré une femme cougard merveilleuse. Une salope de 52 ans. Une vraie tigresse. Elle a prolongé ses vacances de trois semaines pour rester avec moi !

La vache ! Un vrai tueur de femmes ! Mais elle est partie quand même ?!

Elle est partie la semaine dernière, mais j’ai son adresse et son téléphone. Elle devait rentrer à cause de son boulot, mais on doit se revoir d’ici un mois.

C’est toi qui vas la retrouver ou elle qui revient ?

On ne sait pas encore.

Dis donc ! Tu t’engages pour la saison d’hiver ou juste pour un mois ?

Pour la saison, rassure-toi. Solange… c’est son nom, doit m’appeler dès qu’elle aura réglé certains problèmes. Elle sait que je bosse ici.

Bon, on verra, mais tu m’avertis dès que tu en sais plus.

Comme d’hab !

Ouais, comme d’hab ! Vous vous souvenez que vous n’êtes pas obligés de bosser tout nus ?

On sait, mais on aime bien se balader la bitte à l’air ! dit Gérard.

Et puis, cela va plus vite pour défoncer un cul, non ! rétorque Gilbert.

Sur un signe de tête, Jacky intime l’ordre à Jade de se placer aux pieds de Gilbert.

Lopette, suce ton nouveau Maître.

Jade se rapproche aussitôt de Gilbert et ses mains s’emparent de son sexe déjà tendu. Elle le porte à sa bouche et l’avale rapidement. Habile avec sa langue, elle procure rapidement un début de jouissance au jeune homme.

Oh ! Dis donc, c’est une vraie salope. Elle suce à merveille !

Ouais ! Je sais ! Je lui ai appris à le faire.

Sensas ! Rien à voir avec la lope de l’an passé.

Je confirme.

Gilbert prend sa tête entre ses mains et lui imprime un mouvement compatible avec son envie. Il va vite. Jade finit par garder la bouche ouverte sans rien faire. Le sexe entre et sort de manière frénétique et vient cogner contre le fond de sa bouche. Plusieurs fois, il s’enfonce dans sa gorge. Jade a pris l’habitude de les recevoir aussi profond. Elle reste passive. La giclée vient la frapper. Elle sent le flux épais qui pénètre directement en elle. Gilbert pousse un cri de mâle en rut. Il gicle plusieurs fois. Quand il a fini et qu’il ramollit, Jade se met à le sucer en l’aspirant et en le gardant en elle, encore.

Gilbert se retire enfin et secoue sa bitte contre la joue de Jade.

Tu es une bonne chienne. J’espère que tu as aimé mon foutre, car tu vas en avaler des litres par ta bouche et ton cul.

Sans attendre de réponse, il place une laisse au collier qu’elle porte et l’emmène vers son travail.

Le frangin a joui très fort, on dirait.

Il a joui, mais rassure-toi, il t’en laissera. La petite est douée, très douée et elle adore les bittes.

Et son cul ?

Large et profond.

Super !

Allez superman, au boulot !

Les deux hommes prennent leur caisse à outils et montent dans la voiture électrique.

On commence par quoi ?

 

Chalet n°1

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Camping naturiste - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:36

Océane indique au couple Jasper le chemin à suivre en les précédents. Consciente d’attirer les regards, sans arrêter sa marche, elle prend la parole.

Posez-moi toutes les questions que vous voulez avant que nous soyons arrivés. Ensuite, je n’y répondrai plus.

Le couple ne répond pas tout de suite.

Je vais vous aider. Qu’est-ce que c’est que le gros bouchon que je porte dans le cul ? A quoi sert-il et est-ce que cela fait mal ? Je suppose que ce sont des questions que vous devez vous poser ?

Océan se retourne et attend leur réponse. Comme la femme les regarde dans les yeux, Benoît parle.

Oui… madame. Ce n’est pas bien de regarder votre …

Mon cul ?

Oui Votre …

Ici on appelle un cul, un cul et une esclave, une esclave. Il n’y a ni bien ni mal. Vous avez envie de regarder mon cul ou, comme maintenant mon sexe et mes seins. Faites-le sans détourner le regard s’il croise le mien. Moi, je n’ai pas honte de vous montrer mon cul ou ma chatte percée et fermée.

Benoît devient cramoisi, mais Elise porte son regard sur le sexe d’Océane.

Ton mari n’a jamais vu une femme à poils, on dirait Elise !

Euh … si ! Moi ! Mais aucune autre. Je lui interdis.

Il va devoir s’y habituer pourtant. Bon, alors, ce bouchon s’appelle une poire d’angoisse. Elle est coincée et ouverte dans mon cul et je le garde aussi longtemps que le désire ma Maîtresse Sylvie. Je suis son esclave, sa chienne pour la vie. Je me suis donnée à Elle. Maîtresse a tous les droits sur moi. Oui, cela me fait mal de le garder, mais j’aime avoir mal quand c’est ma Maîtresse qui me l’inflige. Je suis lesbienne et je ne baise pas avec les hommes. J’ai répondu à toutes vos questions ?

Après un temps de silence, Elise prend à son tour la parole.

Cela fait longtemps que vous… tu es une esclave ? Tu as été achetée ?

Je suis une esclave depuis que je suis une jeune fille. Donc, depuis plus de 20 ans. Je n’ai pas été acheté par Maîtresse Sylvie, je me suis offerte à Elle et Elle m’a acceptée.

Je ne savais pas que c’était possible. Mais les esclaves sont uniquement des femmes lesbiennes ?

Non, hétéro aussi ou bi, mais il y a aussi beaucoup d’esclaves homme. Certains deviennent même des lopettes comme l’ancien mari de Ma Maîtresse !

Des lo…. C’est quoi ?

Ah, Benoît, cela t’intéresse ?

Euh… non ! Mais je ne connais pas ce mot.

Tu verras bientôt Jade et tu comprendras tout de suite.

Mais …

Oui Elise ?

Ton sexe est fermé par des anneaux. Tu as été percée ?

Bien sûr ! Il y a longtemps. Je ne te fais pas de dessin pour savoir à quoi ça sert ?

Non, je crois comprendre. Cela veut dire que tu ne fais jamais l’amour ?

Non, pas depuis 10 ans. Mon sexe est fermé depuis tout ce temps et seule Ma Mâitresse pourra décider de l’ouvrir ou pas.

Et si elle ne veut pas ?

Eh bien, je mourrais ainsi !

Les Jasper restent sans voix. Puisqu’ils n’ont plus de questions, Océane les mène devant leur chalet. Maryse et Ghislain sont déjà nus et les attendent.

Venez ! Nous vous avons laissé une chambre pour vous deux. Nous avons pris l’autre, dit Maryse.

Mais, vous allez dormir ensemble ?

Dormir dans la même chambre, Elise, pas ensemble. On vit nus, mais on ne couche pas forcément. Allez, à poils !

Charlotte qui vient de sortir du chalet intervient.

Oh là, doucement Maryse. Je te rappelle que chacun a le choix. Tu as choisi de te mettre nue, mais peut-être pas Elise et Benoît.

Les Jasper se regardent puis regardent les autres tout nus. Ils notent au passage les anneaux de Charlotte qu’ils n’avaient pas remarqués avant. Elise est la première à sauter le pas et retire sa robe, son soutien-gorge et après une hésitation, sa culotte. Benoît fait de même. Arrivé au slip, il le retire en gardant une main devant son sexe.

Quand tu auras les mains occupées, tu feras comment pour le cacher ? demande Maryse en riant.

Benoît rougit et découvre son sexe. Maryse émet un sifflement approbateur.

Eh bien, mon cochon, tu en as une bitte ! C’est madame qui doit être contente.

Oh ! Maryse ! Tu penses les mettre à l’aise comme ça ! intervient Ghislain.

Oh, je les taquine. Il faut bien qu’ils s’habituent vite. Et puis, ne sois pas jaloux même si ta bitte est plus petite.

Oh, la salope. Mais tu l’entends Charlotte ?

Charlotte se met à rire.

Bienvenue aux Fauvettes. Soyez sans crainte. Ici personne ne critique personne. Bravo pour ce courageux geste. Vous verrez quand on bosse nu, on n’a plus envie de se rhabiller. Quant à ces deux-là, ils ont l’habitude de se lancer des pics. Ils n’en sont pas à leur coup d’essai.

Charlotte ?

Oui Elise !

Je peux… te… poser une question ?

Mais tout ce que tu veux !

Je vois que vous êtes tous sans… sans… Euh, comment dire ?

Dis toujours directement ce que tu penses ! Sans poils, peut-être ?

Oui dit Elise en rougissant.

Nous le sommes tous, mais c’est un hasard. Monsieur Tony aime bien que l’on retire ses poils, mais il n’oblige personne à le faire. Comme pour la nudité, vous avez le choix de garder vos poils pubiens. Rassurez-vous, personne ne vous en fera la remarque.

Merci !

Allez, il est temps de former les équipes. Voici vos feuilles de travail pour la journée. En route. Si vous avez besoin de moi, vous m’appelez sur la radio.

Chaque équipe consulte sa feuille de travail. Maryse montre par où ils doivent commencer et disparaît avec Benoît. Ghislain entraîne rapidement Elise à sa suite. Charlotte peut, elle aussi, commencer son travail.

Elle rejoint le bureau d’accueil et sort de la remise son vélo. Maintenant qu’ils sont seuls et entre eux, elle peut s’adonner à son petit plaisir. La selle de son vélo est équipée d’un gode qui couplé aux pédales monte et descend en fonction de sa vitesse de pédalage. Elle lubrifie le gode et s’assoit dessus avec un plaisir non dissimulé. Elle doit rejoindre Tony sur le chantier, mais décide de faire un tour complet du camp avant de s’y rendre afin de prolonger aussi longtemps que possible la promenade sexuelle. Elle pédale doucement et le gode monte et descend selon un rythme doux. La pénétration anale est agréable. Charlotte est aux anges.

 

Charlotte travaille à plein temps au camping des Fauvettes depuis maintenant 4 ans. Elle est arrivée à 20 ans comme vacataire à la fermeture du camp pour les travaux d’hiver. Rapidement, elle s’est distinguée par son sérieux. Nue dès la première minute dans le camp, il est bien rare qu’elle doive s’habiller, même en hiver. Au pire, elle porte un poncho qui lui couvre les épaules et la poitrine, mais jamais le cul. Jeune femme blonde dynamique qui sait ce qu’elle veut et ce qu’elle aime. Elle ne s’est jamais laissé dicter sa conduite. Au printemps suivant, Tony l’a embauchée comme hôtesse d’accueil, car la sienne, enceinte, avait choisi de quitter son travail pour élever son bébé selon des principes plus convenables, selon elle. Durant l’été qui avait suivi, Charlotte avait fait connaissance avec un jeune campeur beau et musclé. Durant ses heures de loisir, elle était toujours avec lui. Il logeait dans la zone adulte. Leur amour fou avait un ciment. Lui était adepte du BDSM. Il pratiquait l’art du bondage japonais : le Shibari. Avec des cordes, il pouvait donner un plaisir intense. Charlotte avait passé la plupart de ses heures libres attachée, ligotée. Son amant la mettait dans des positions telles qu’elle en jouissait sans qu’il ne la touche. Comme il portait un anneau planté dans son téton gauche, à la manière des gladiateurs romains, Charlotte décida de se faire implanter un anneau à chaque téton. Son amant, en le découvrant, l’attacha et la fouetta pour ne pas lui avoir demandé sa permission. Il la laissa attacher durant son jour de congé entièrement. Une heure avant de reprendre son travail, il remplaça les anneaux fins par de très gros.

Charlotte partit à son travail endolorie et ankylosée, mais heureuse. C’était la dernière journée de l’été. Le travail n'allait pas manquer. Elle avait joui plusieurs fois sans avoir fait l’amour. Au cours de la journée, elle vit l’hélicoptère de la sécurité civile atterrir sur la zone de secours : un jeune homme s’était laissé entraîner par une baïne. Les sauveteurs n’avaient rien pu faire et on avait retrouvé un corps sans vie. Charlotte découvrit seulement le soir qu’il s’agissait de son amant. Elle ne savait rien de lui. Ils n’avaient jamais eu aucun rapport sexuel ensemble. Quand elle jouissait suspendue au bout de ses cordes, il se masturbait. Elle ne put même pas se rendre sur sa tombe, car sa famille vient chercher le corps très rapidement pour l’incinérer. Charlotte décida, ce jour-là, de se faire poser des anneaux vaginaux et de fermer son sexe par un gros cadenas lui étirant les lèvres. Elle fit une promesse posthume à son amant : seul un Maître Shibari qu’elle aimerait avec passion pourrait la libérer en cassant le cadenas. Elle ne ferait jamais l’amour avant. Elle jeta les clés du cadenas dans l’océan.

Epuisée, elle rejoint enfin le chantier. Tony est en grande conversation avec son ami l’architecte. L’entrepreneur est là aussi. Tous attendaient l’arrivée de la jeune femme.

Ah te voilà !

Oui, j’ai été un peu retardé par l’arrivée des vacataires.

Mais ce n’est pas Sylvie qui devait s’en occuper ?

Si, si ! Mais Madame m’avait demandé de l’assister pour son premier accueil !

Je vois ! Très bien ! Tu t’es remise au vélo ?

Vouiiiiiiiii !

Charlotte s’extrait de sa selle avec un bruit de succion très remarqué par les deux autres hommes. L’architecte qui découvre cette nouvelle pratique émet un sifflement d’appréciation. L’entrepreneur qui en a déjà vu d’autres ici, ne relève même pas.

Maxence ! Si tu le veux bien, on reprend.

Oui, excuse-moi, j’admirais mademoiselle. J’aime ce petit bruit charmant qui émane d’elle.

C’est Charlotte ! Tu n’as jamais vu un vélo godeur ? demande la jeune femme nullement impressionnée ?

Non, je le reconnais, mais j’admire !

Je te le ferai essayer si tu aimes ça ?

Oh ! Je ne suis pas certain d’être très expérimenté.

Tony qui s’impatiente décide de commencer sans eux !

Bien, alors, nous sommes d’accord. Vous commencez quand ?

Mon équipe est prête. On peut attaquer demain. J’ai vu le travail du terrassier. Il a respecté le cahier des charges et les côtes sont bonnes.

Demain ! Formidable ! Charlotte, à partir de demain, je te veux ici sur le chantier du matin au soir. Tu fais le relais entre moi et monsieur Chabert.

Mais, madame Sylvie veut que je chapeaute le travail des vacataires.

Non ! Je verrai avec Sylvie. Au pire, elle te téléphonera si elle a besoin de toi. Si tu dois aller la voir, cela te donnera le prétexte pour faire encore du vélo !

Chic ! Au poil ! Si je puis dire.

Maxence se met à rire.

Marrante en plus !

Cela te pose un problème peut-être ? Tu n’as pas envie de travailler avec une fille au cul rempli par un gode sur son vélo et une chatte fermée par un cadenas, sans doute ?

Charlotte, allons ! Maxence n’a pas voulu dire ça.

Non… C’est vrai. Excusez-moi, mademoiselle Charlotte.

Maxence n’a rien dit du tutoiement de Charlotte. Il semble subjugué par le caractère bien trempé de cette fille qui n’a pas froid aux yeux ni la langue dans sa poche.

Charlotte qui sent instinctivement qu’elle n’aime pas cet homme : ni son ton ni ses regards, a choisi l’attaque afin de bien lui faire comprendre qui elle est. Ce n’est pas parce qu’il est habillé qu’il peut penser qu’il va tout diriger ici. Le seul patron est Tony et Charlotte a bien l’intention de le lui rappeler chaque fois que cela sera nécessaire.

Tony regarde un instant sa collaboratrice sans comprendre, mais, la connaissant, décide de poursuivre.

Maxence, on se tient au courant. Nous nous verrons une fois par semaine pour faire le point. Entre temps, si Charlotte a un souci, elle t’appelle au téléphone. J’espère que cela ira entre vous deux !

La question s’adresse à Charlotte plus qu’à Maxence. C’est pourtant ce dernier qui lui répond.

Ne t’en fais pas, on va s’entendre parfaitement avec mademoiselle Charlotte.

La jeune femme soupire.

Ouais ! Je sens que c’est l’amour fou qui commence.

Ah ! En plus une belle histoire d’amour romantique comme je les aime !

N’en fais pas trop quand même ! conclut Tony.

Le groupe se serre la main. Tony demande à Charlotte de l’attendre pendant qu’il raccompagne son ami. Monsieur Chabert a déjà repris sa voiture et file sur son autre chantier.

Pas commode ta Charlotte !

C’est une fille super. Laisse-lui le temps de te connaître et surtout ne la provoque pas. Je ne tiens à perdre ni mon amie ni ma collaboratrice.

Maxence opine du chef.

Je ne te demande même pas si tu la baises ! Sauf si tu as les clés de son ros cadenas. Dis donc, cela doit faire un mal de chien d’avoir la chatte étirée comme ça.

Je te conseille de ne pas aborder cette question avec elle. Quant à la première, cela ne te regarde pas.

Ah ! Y aurait-il anguille sous roche ?

Ta gueule !

Tony sourit largement à son ami. Il l’embrasse et le pousse dans sa voiture.

Allez, va bosser feignant !

Maxence démarre après lui avoir adressé un signe de la main, signe qu’il envoie également à la jeune femme.

A nous ! Qu’est-ce qui t’a pris de parler comme ça à mon ami ?

Vous avez vu la manière de me parler ?

Il faut dire que tu as soigné ton arrivée !

Je croyais qu’on ne jugeait personne ici !

C’est le cas !

Vous savez que j’aime faire du vélo comme ça. Vous m’interdisez de l’utiliser l’été dans la partie famille. Et comme je n’ai pas trop le temps, j’en profite maintenant !

Ma puce, tu sais bien que j’aime que tu fasses ce qui te plait. Je dis seulement que tu aurais pu attendre la seconde rencontre pour arriver en vélo. Tu pouvais prendre la voiture ! Je te l’avais laissée exprès.

Pas eu envie !

Charlotte se met à bouder. Tony lui sourit et la prend dans ses bras.

Viens ici, idiote !

Il la serre très fort contre lui. Charlotte enfouit sa tête dans son torse.

Pardon, Monsieur, aujourd’hui, ça ne va pas fort.

Tony lui caresse les cheveux doucement tout en la câlinant.

Je sais ma puce. Ce n’est pas bien grave de toute manière. Maxence est un ami. Il est gentil, tu sais. Il ne voulait pas te blesser ni te vexer. Et puis, il ne sait pas !

Je sais bien monsieur Tony. Veuillez me pardonner. Il me manque tellement Vous savez ?!

Il serait peut-être temps que tu tournes la page, tu ne crois pas ?

Tourner la page ? Non, pas temps que je n’aurais pas rencontré quelqu’un d’autre d’aussi  important que lui.

Mais si tu rejettes comme ça tous les hommes qui t’approchent, tu ne le rencontreras jamais.

Quand il sera en face de moi, je le reconnaîtrai. Votre ami, je ne l’aime pas. C’est tout !

D’accord ! Mais tu me promets de faire un effort pour être agréable quand même ?

Je Vous le promets, Monsieur Tony. Vous savez que je Vous dois tout.

Tu me dois seulement d’être heureuse, ma puce. Juste ça.

Tony prend Charlotte par la main et l’emmène devant le trou des fondations.

Regarde ! Ici, se dressera bientôt notre palais. Dans le fond de ce trou, il y aura un espace que j’ai imaginé uniquement en pensant à toi !

A moi ?

Oui ! Il y aura, là, tu vois, ici même, une salle Shibari.

Charlotte frissonne. Elle serre la main de son patron très fort.

Une salle…

Oui !

Mais pourquoi en pensant à moi ?

Pour que tu aies toutes les chances de trouver ton Maître. J’ai juste peur que si tu le trouves, tu veuilles partir. Tu sais que j’ai besoin de toi. Tu es indispensable ici.

Si j’ai la chance de le trouver, il devra accepter que je reste ici à travailler avec Vous, sinon, il pourra aller se faire voir.

Tu veux dire que tu me choisirais plutôt que lui ?

Sans l’ombre d’une hésitation !

Mais pourquoi ?

Charlotte se tourne vers son patron.

C’est ici, avec Vous, que j’ai trouvé ma voie et compris qui j’étais et ce que je voulais. C’est Vous qui avez percé mes lèvres vaginales et c’est devant Vous que j’ai prononcé mon serment. Vous avez toujours été droit et bienveillant envers moi. Vous n’avez jamais cherché à profiter de moi. Pourtant Vous auriez pu me prendre. Je n’aurais jamais dit non ! Au contraire. Vous êtes ma seule famille. Si je trouve un jour le Maître que j’espère, il devra Vous être présenté et obtenir Votre consentement.

Mais ma puce, je ne suis rien d’autre que ton patron. Tu es libre de toi-même. Tu agis comme si tu étais ma soumise ou mon amante. Tu n’es ni l’une ni l’autre. Pourquoi me donner autant de pouvoirs sur toi ?

Vous n’êtes ni mon Maître ni mon amant, c’est sûr. Vous auriez pu être l’un et l’autre, mais surtout Vous êtes comme mon père. Non pas mon géniteur, mais mon vrai père de cœur. Je Vous respecte au-delà de tout respect. Voilà pourquoi.

Tony ne trouve rien à dire devant cette déclaration qui est au-delà de l’amour. Il a toujours su et senti que cette fille aurait aimé être plus pour lui, mais, lui tenait à conserver sa collaboratrice. Bien sûr c’était avant l’arrivée de Sylvie. Mais aujourd’hui, il ne pourrait pas se passer de l’une comme de l’autre. Chacune à sa place et chacune dans son rôle.

Allez, file ! Je te donne le reste de ta journée à une condition !

Laquelle, monsieur Tony ?

Que tu fasses du vélo jusqu’à la tombée de la nuit, sans mettre pied à terre.

Sans m’arrêter ?

Oui !

Mais je vais avoir le cul en feu !

Oui !

Bien monsieur, je Vous obéis !

Parfaitement, mais non comme ma soumise, seulement comme mon adjointe si elle veut garder sa place !

Elle le veut, monsieur le patron ! Elle le veut !

Alors en selle, jeune fille !

 

Charlotte s’empale sur sa selle en regardant Tony. Elle irradie de plaisir et de bonheur. Une claque sur les fesses pour l’encourager et Charlotte escalade la mini pente qui la remet sur le sentier forestier.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Camping naturiste - Communauté : plaisirs SM
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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:40

Les travaux commencent. Les maçons sont à pied d’œuvre. Pour plus de facilités, le chantier est délimité par des haies de roseaux afin que les trois ouvriers ne soient pas tentés d’aller voir ce qui se passe dans le camp, ce qui pourrait ralentir leur travail. Charlotte vient tôt le matin avant leur arrivée et une fois qu’ils sont partis, toujours à vélo. Elle vérifie et mesure tout et en fait le rapport immédiatement à Tony. Monsieur Chabert est là tous les soirs. Il vient en général avant elle pour avoir le plaisir de la regarder arriver et descendre de son vélo. Chaque soir, le gode s’extirpe de son anus avec facilité. Il aime voir sur son visage le contentement. Il voudrait lui demander si c’est si bon que cela, mais, chaque fois, il renonce, par timidité.

Le sous-sol est coulé rapidement. Des murs en béton et des piliers qui soutiendront la structure en bois sont mis en place. Les ouvriers travaillent vite et bien. Des installations prévues au sol sont marquées et les assises coulées en même temps que la chape du sol. Maxence est satisfait. Il a pensé personnellement tous les aspects du futur donjon en fonction de ses propres goûts. En attendant que l’ensemble sèche, les ouvriers creusent les canalisations qui amèneront l’eau et l’électricité puis referment les tranchées et les fossés de construction, et enfin, pose l’isolation, l’électricité ainsi que les murs de finition qui seront en béton ciré noir. Les murs des cachots sont également montés avec pour seul mobilier un banc en ciment ciré fixé au mur du fond et une cuvette de w.c. nue, sans abattant. Des anneaux sont fixés dans les trois murs et sur le plancher. Les portes en barreaux des six cachots sont placées et équipées de serrures électroniques avec programmateurs. Une cheminée est également montée dans un angle de l’immense sous-sol.  Et pour finir, un large escalier en colimaçon est installé qui permettra de rejoindre le rez-de-chaussée. Les ouvriers n’auront plus à revenir ensuite sur cette tranche et Tony va pouvoir très vite poser les différents postes de dressage et de soumission.

La structure en bois monte ensuite très rapidement. En trois mois seulement le chalet du club SM est sorti de terre. L’installation électrique, la chaufferie, la plomberie et la cuisine prennent le plus de temps. Quand arrive le temps de poser le mobilier, tout est prêt pour le recevoir. Tout est pensé en bois naturellement. Les chambres sont spacieuses et bien équipées. Les petites cages sont montées par Charlotte et Jade dans chaque suite. Tony, Jacky et Sylvie supervisent l’installation de l’accueil, de la scène panoramique et des alcôves. Tony est satisfait et Charlotte ravie. Elle a supervisé personnellement la mise en place du salon Shibari, au sous-sol, et a obtenu de le tester le jour de l’ouverture.

Dans le camping, chacun œuvre avec efficacité. Un à un les chalets sont vérifiés, réparés et fermés, prêts à reprendre du service à la nouvelle saison. L’ambiance est bonne et des affinités se forment entre certains membres de l’équipe.

Maryse a rapidement lié connaissance avec Gérard. Lors des premières soirées, comme Gilbert est vidé régulièrement par Jade, Gérard se retrouve seul. Il fait connaissance avec les autres et remarque Maryse. Elle parle d’une voix haute et assurée. Gérard, tout comme son frère, tombe sous le charme de cette femme bien plus âgée que lui. D’abord réticente à se laisser séduire par un gamin, Maryse ne tarde pas à être flattée et ravie de se sentir remarquée par lui. Quelques soirées plus tard, ils se retrouvent ensemble et passent leur première nuit.

Gilbert est vite rejoint par son amie, venue comme promis après avoir réglé ses affaires à Bordeaux. C’est une femme riche et chic qui a le même caractère que Maryse. Les deux couples deviennent vite inséparables. Les deux femmes aiment à se retrouver et à parler de leurs jeunes amants. Ensemble, elles se sentent moins bêtes d’aimer des hommes qui pourraient être leurs fils.

Elise et Benoît travaillent bien. Ils sont actifs et performants. La nudité ne leur pose plus autant de problèmes. Elise a même eu l’audace de rétrécir sa toison pubienne. Benoît a fait la connaissance de Jade. Ils ont travaillé ensemble sur un chalet où la force de Benoît était nécessaire. Ils ont beaucoup parlé d’elle et de ce qu’elle ressentait. Jade a bien essayé de se faire enculer, mais Benoît a gentiment décliné l’offre. Ils sont de bons amis.

Le soir, Sylvie retrouve son amant. Ils passent de nombreuses heures à rêver sur leur club qui se termine. Ils s’allongent sur des transats sur leur terrasse. Leur amour est toujours plus fort. Sylvie devient une Dominante accomplie et Océane est chaque jour plus rayonnante.

Il est temps que nous finissions le travail pour Jade ! dit Tony après avoir échangé un long baiser avec son amante.

Finir le travail ? Que veux-tu dire par là ?

Nous avions parlé de la féminiser totalement. C’est toi-même qui en avais eu l’idée en lui faisant porter des talons hauts.

Talons qu’elle porte à merveille maintenant. Je crois même qu’elle sait mieux marcher que moi avec. Tu crois qu’il faut lui en prendre des plus hauts ?

Oui, ce serait bien qu’elle soit presque sur la pointe des pieds maintenant. Cela l’obligerait à se cambrer davantage et faire ressortir ses fesses. Mais, justement, avec cette cambrure, il faudrait qu’elle ait de la poitrine maintenant. Cela serait très joli et je trouve qu’elle serait alors parfaite pour être hôtesse d’accueil dans le club.

Hum ! Dis donc, je vois que tu penses à tout. Des seins pour ma petite Jade ?

Sylvie réfléchit un moment.

Ouais, cela me plairait bien de la voir ainsi. On pourrait même, peut-être, supprimer la cage !

Tu veux lui rendre la liberté de son zizi ?

Non ! Loin de là. Je crois qu’au contraire, il faut envisager la prison à vie.

Tu veux la lui couper ?

Oh, non alors ! Elle est bien plus mignonne avec son petit zizi. Et puis, maintenant la lopette est connue dans tout le camp. Non, je pense aux anneaux d’Océane. On devrait pouvoir faire la même chose pour Jade !

Ah oui, je vois ce que tu veux dire. Voyons ! Il suffit de mettre un P.A. sur son zizi et un anneau sur son périnée. Avec un cadenas ?

Un P.A. ? C’est quoi ? Pour le cadenas, c’est non. Je préfère un anneau soudé afin que la fermeture soit définitive.

Oh, ça j’aime bien. Bonne idée ! Le PA est un Prince Albert, du nom du Prince qui aimant porter des pantalons près du corps voulait trouver un système qui empêche à son sexe bien pourvu de sortir tout le temps.

Je vois ! Un homme comme toi !

Mêlant le geste à la parole, Sylvie s’empare du sexe de son amant et commence à le masturber. Elle se lève et vient se glisser entre ses cuisses pour le prendre dans sa bouche.

Une petite pipe Monseigneur ?

Faites donc belle dame.

Sylvie reçoit le jet de sperme brûlant dans sa bouche. Elle joue avec sa langue avant de l’avaler avec plaisir.

Hum ! Tu suces tellement bien mon cœur.

Mieux que les filles qui tournent tout le temps autour de toi ?

Bien mieux mon cœur.

Donc, tu as encore envie de moi ?

Plus que jamais ! Pourquoi dis-tu cela ?

Pour rien !

Je te connais bien maintenant ma chérie. Relève-toi et viens contre moi.

Tony enveloppe Sylvie de ses bras et la serre contre lui.

Dis-moi ce qui te tracasse !

Ben ! Tu sais ! Tu es beau et merveilleux. Je vois bien que les filles de tous âges tournent autour de toi. Rien que Charlotte tient ! Je vois comment elle te regarde. Dis-moi que tu n’as jamais couché avec elle !

Charlotte ?! Je te jure que je le n’ai jamais touché. C’est un peu ma fille, tu sais. Pour les autres, je reconnais que je me laisse parfois séduire par tant de beautés.

Ah, tu vois !

Oui, mais attention. Tu es la seule femme avec qui j’ai envie de partager tout ce que j’ai. Je voulais attendre que le club soit ouvert pour te le demander, mais…

Tony se lève et vient se placer, un genou à terre, face à Sylvie. Il lui prend la main et dépose un baiser sur le dessus.

Chère, très chère madame Sissonne, accepteriez-vous de m’épouser ?

Sylvie est surprise de cette demande. Elle devient écarlate et se met à pleurer. Tony en reste bouche bée !

Chérie, j’ai dit une bêtise ?

Sylvie renifle et se frotte les yeux !

Non, mon amour ! Tu viens de me surprendre, comme jamais je ne l’ai été. Tu viens de me faire ta demande en mariage ?

Oui, ma chérie, en bonne et due forme. Alors, qu’en dis-tu ?

Sylvie regarde Tony dans les yeux.

Oui ! Je le veux depuis le premier jour de notre rencontre.

Sylvie et Tony s’embrassent. Tony allonge sa future femme sur le plancher de la terrasse et ils font l’amour doucement et très fort.

Une fois la paix des corps retrouvée, ils sont allongés et regardent le ciel étoilé, témoin de leur amour.

Il va falloir que je divorce de Daniel d’abord ! Je lui avais promis de ne pas le faire.

Daniel n’existe plus. Jade sera d’accord sinon elle inaugurera les cachots du club.

La future hôtesse serait la première prisonnière ?

Pourquoi pas. La peau des fesses zébrée, cela fera plus authentique encore.

Ils se mettent à rire de bon cœur en imaginant la scène.

Tu penses qu’elle pourrait refuser ?

Sincèrement, dit Tony, je ne le crois pas une minute. Et puis, c’est aussi pour cela qu’il est impératif qu’elle ait une poitrine et que son zizi soit irrémédiablement condamné.

Mais comment allons-nous faire pour les seins ? Tu penses à des prothèses mammaires ?

Pas vraiment. Je pense à un traitement hormonal qui aurait plusieurs conséquences : augmentation des seins – pas besoin qu’elle ait des gros lolos pour le moment – diminution de la pilosité même si elle n’en a pas beaucoup et modification de son timbre de voix. A cela, je crois que les hanches s’arrondissent aussi un peu.

Hum ! Je vois d’ici le tableau. Et comme cela, tu en ferais l’hôtesse d’accueil du club ! Mais alors, qui va s’occuper de la maintenance ?

J’ai longuement réfléchi à cela. Je crois que Benoît serait parfait.

Tu engagerais Benoît à l’année ?

Oui et Elise aussi. Ils sont bien et sont bien intégrés et en même temps très discrets. Benoît connait bien le boulot maintenant. Jacky en pense beaucoup de bien. Quant à Elise, je la trouve parfaite. Elle serait exactement à sa place à l’accueil du camp des familles. Elle…

… Tu lui donnerais ma place ?

Oui ! Pour que tu prennes la direction générale des deux camps. Avec ton savoir –faire, ton professionnalisme et ton logiciel de gestion, nous pouvons gérer les deux camps beaucoup plus facilement. Depuis que tu t’en occupes, les réservations sont plus nombreuses et nous n’avons plus eu de problème de double réservation. Les clients repartent ravis et le nombre de ceux qui me disent à l’année prochaine à plus que doublé. Tu serais moins à l’accueil, mais tu superviserais le tout : Elise du côté des familles et Charlotte côté adultes. Je préfère que la gestion et la comptabilité soient totalement entre tes mains. Pour en revenir à Elise, sa prestance et sa maturité physique, ainsi que son petit ticket pubien plairont aux nouveaux venus ainsi qu’aux habitués.

Directrice générale et épouse du grand patron !!! Hum ! J’adore ça ! Mais dis donc, je vois aussi que tu mates les épouses des autres, toi !

J’en ai maté une seule et je suis tombé fou amoureux. Maintenant je me méfie. Non, j’aime regarder les femmes, c’est vrai. Je le confesse.

Et tu aimes aussi leur faire l’amour ! Ne dis pas le contraire, je t’ai vu.

Tony marque un temps d’arrêt avant de répondre.

C’est tout à fait vrai. Tu sais, je sais combien je plais aux femmes. J’attire leur regard et tu en sais, toi aussi, quelque chose. Mais, je fais la différence entre toi et les autres.

Est-ce qu’avant moi, tu as aimé une autre femme ?

Non, jamais ! J’ai eu des conquêtes, oui ! Beaucoup ! Mais jamais je n’ai ressenti l’amour que j’ai pour toi. Tu es la première et l’unique pour moi. Tu es celle que j’attendais sans savoir qui elle était. Je t’ai pourtant reconnu tout de suite.

Malgré ça tu continueras, une fois marié, à baiser d’autres femmes ?

Nous vivons d’une manière particulière, tu le sais. Entre le camping naturiste et le club SM, bien des femmes vont passer ici. Et bien des hommes aussi. Jure-moi que tu n’es jamais tentée de regarder un homme nu ?

Sylvie baisse les yeux un instant. C’est vrai qu’elle passe son temps à mater les beaux mecs.

Je dois bien reconnaître que tu as raison !

Et, peux-tu me jurer que tu n’as jamais eu envie d’en connaître de plus… disons, de plus près ?

Là, Sylvie rougit carrément.

Tu rougis ! Je le vois bien !

Ben ! oui ! Mais c’est de ta faute aussi !

De ma faute ?

Oui ! Avant toi, je ne savais pas que les grosses bittes pouvaient donner autant de plaisir. Maintenant quand j’en vois une, je me demande toujours ce qu’elle peut faire si elle …

Si elle te pénétrait ? C’est bien ça ?

Voui ! Mais je ne l’ai jamais fait.

Sa réponse est presque inaudible.

N’est pas honte ma chérie. Je te propose une chose. Tu es belle à mourir. Tu ne le sais peut-être pas, mais beaucoup d’hommes se retournent sur toi et bandent immédiatement. Nous n’y pouvons rien, ni l’un ni l’autre. Aussi, profitons de cela. Laisse libre court à tes envies et moi aux miennes. Marions-nous afin de nous engager l’un envers l’autre de manière définitive. Je veux même mêler mes biens et propriétés aux tiennes. Nous serons ainsi totalement liés et tu seras la propriétaire des lieux tout autant que moi.

Mais tu es fou mon chéri.

Non ! Tout le contraire. Je te propose d’être un vrai et solide couple libertin et échangiste. Faisons l’amour quand nous le voulons avec qui nous voulons, car nous savons que notre amour sera toujours le plus fort.

Sylvie ne répond pas. C’est trop grave. Couple libertin et échangiste. Cela veut dire liberté totale pour eux deux. Elle se souvient combien elle avait eu honte en trompant Daniel et combien elle en avait retiré du plaisir aussi. Ce que Tony propose est dangereux, car ils pourraient se perdre aussi.

Mais… Comment ne pas se perdre ? Cela me fait peur, tu sais ?

Nous ne pouvons pas nous perdre. Etablissons une règle absolue : jamais de nuit complète avec quelqu’un d’autre à moins que nous soyons ensemble !

Et jamais de relation suivie et longue, alors également.

Oui, je suis d’accord sur cela. De même, nous nous dirons tout et nous saurons avec qui l’autre couche.

D’accord mon amour. Mais seulement quand tu m’auras passé la bague au doigt. Jusque-là, je te veux sage.

Ainsi que toi !

Moi, je le suis toujours.

Le pacte est conclu par un baiser appuyé.

Revenons à Jade ! Donc, tu la veux avec des mamelles !

Et toi un zizi fermé !

Voui ! Tu sais comment faire ?

J’ai pris des renseignements.

Jade, justement, arrive sur ses entre-faits. Elle vient s’agenouiller devant ses Maîtres et baise leurs pieds.

Bonsoir Maîtresse Sylvie ! Je baise Vos pieds avec dévotion et soumission. Bonsoir, Maître Tony, je suis Votre lopette soumise.

Tony la laisse accomplir son rituel du soir puis lui caresse la tête.

Nous parlions de toi lopette !

De moi, Maître ? Ai-je fait une faute ?

Pas du tout. Nous parlions de ton avenir !

Jade est tout à coup inquiète.

Mon avenir est à Vos pieds, Mes Maîtres. Je n’en veux pas d’autres.

Nous non plus, rassure-toi.

Jade a un hoquet et se met à pleurer.

Pourquoi ces pleurs ?

J’ai peur Maîtresse.

Peur de quoi ?

Peur que Vous me chassiez !

Nous ne voulons pas te chasser. Au contraire, nous avons des projets pour toi. Mets-toi en nadu devant nous et écoute.

Oui Maître.

Jade se place dans la position requise et baisse la tête. Tony explique longuement leurs projets la concernant : les seins, la féminisation, le zizi prisonnier à vie et le changement de travail. A aucun moment, Tony ne demande son avis à Jade. Sylvie le laisse parler puisque la lopette lui appartient. Puis arrive le moment le plus important : le divorce et le mariage qui suivra.

Comme tu le vois, nous te voulons encore plus belle et que tu sois remarquée et admirée. Je suis très fier de toi. Je veux que tu sois la reine du club en quelque sorte, car tu en seras l’esclave totale et à disposition de tous les Maîtres et de toutes les Maîtresses de la région. De plus, tous ceux et celles qui voudront s’essayer à la domination se feront la main sur toi. Tu pourras être louée pour la journée ou pour la semaine. Que dis-tu de notre projet ?

Sylvie est un peu étonnée par les dernières dispositions de son amant, mais apprécie l’idée et ne dit rien. Jade, elle, reste un long moment silencieuse. Elle réfléchit et enregistre toutes les paroles de son Maître.

Votre lopette n’a rien à dire, Maître. Votre projet la concernant est le meilleur puisqu’il est Votre idée.

Je sais, Jade. Je sais que tu n’as pas le choix, car tu es mon esclave, mais je te demande, cette fois, et cette fois uniquement ton avis. Nous avons toujours recherché ton bonheur jusqu’à maintenant. Le club peut ouvrir une voie nouvelle pour toi. La veux-tu ou bien préfères-tu rester comme tu es aujourd’hui ? Peut-être même, voudrais-tu renoncer et reprendre ta vie passée ?!

Renoncer ?! Non, Maître, jamais je ne reviendrais à ma vie passée. Rester près de Vous est ma seule espérance et mon seul désir. Maintenant, si le Maître et la Maîtresse veulent que je les serve autrement, dans le club, alors, je veux le faire et j’en serais heureuse et fière.

J’attendais cette réponse de ta part, mais j’aime savoir que tu partages mon idée et que ton bonheur assuré.

Oui Maître.

Abordons maintenant une dernière chose. Là, encore, je ne te demande ni ton avis ni ta permission. D’ici quelques jours, je ferai établir un contrat d’esclavage définitif te concernant chez un notaire. Dans ce contrat, outre tout ce que je viens de te dire, il y aura une clause supplémentaire.

Bien Maître !

Voici la clause : en devenant librement mon esclave tout le reste de ta vie, tu renonces bien évidemment à être libre, tu renonces aussi à être un homme ; ce que tu as fait depuis longtemps toute seule, tu renonces à tous tes droits de citoyen et enfin, tu renonces à ton acte de mariage. Cela signifie que tu vas demander à divorcer de Sylvie. Ce divorce sera prononcé par consentement mutuel.

Jade ne dit rien. Sylvie voit bien qu’elle accuse le coup. Elle s’affaisse légèrement, baisse davantage la tête. Tony ne dit plus un mot. Le silence se fait. Au bout de quelques secondes, ils voient Jade qui tremblote et sanglote en silence. Tony lui laisse le temps de faire son deuil de sa vie passée. Jade tout en pleurant se redresse et écarte davantage ses cuisses offrant la vue de son zizi en cage à ses Maîtres. Elle se calme et finit par mettre les mains derrière son dos. Puis elle lève la tête et regarde Sylvie.

Maîtresse a totalement raison de vouloir mettre fin à ce mariage qui n’existe plus et qui n’a existé que sur le papier. J’ai choisi de devenir une lopette esclave, mais j’avais demandé à ne jamais être séparée de Maîtresse, de toujours rester près d’elle par amour et par admiration, mais aussi dans l’espoir de reconquérir, peut-être un jour, le cœur de Maîtresse quand je pensais être encore un peu un homme. Maître vient de me signifier que je devais renoncer à tout y compris à cet espoir. J’ai le cœur lourd de dire adieu ainsi à Maîtresse, mais je suis aussi heureuse que Maîtresse et Maître se marient. J’accepte toutes les clauses, Maître. Si Maîtresse le permet, je désirerais conserver mon amour et mon admiration pour elle.

Sylvie se lève et vient près de Jade. Elle lui tend son pied et lui ordonne de lécher la semelle de sa chaussure.

Applique-toi bien et lèche bien le talon.

Jade obéit sans un mot comme elle le fait désormais depuis plusieurs mois en bonne esclave soumise.

Bien ! Tourne-toi et offre-moi ta chatte anale.

Jade obéit encore et se retrouve à quatre pattes, la tête penchée en avant et les fesses en l’air. Sylvie retire le rosebud qui bouche l’entrée de l’anus et constate que Tony a encore augmenté le diamètre du plug. Elle enfonce la pointe de son talon dans l’orifice béant.

Chienne, je te permets de m’admirer en silence et de loin. Je te permets de m’aimer, mais tu dois me prouver cet amour à chaque instant en étant la plus obéissante des esclaves de ton Maître. Je t’ordonne de le satisfaire en tout y compris en ce qui te paraît aujourd’hui impossible. Je t’ordonne de lui déclarer publiquement, le jour de notre mariage, ton amour pour lui seul.

Sylvie garde son talon enfoncé et appuie sèchement dessus. Cela oblige Jade à avancer sous la pression importante.

Oui, Maîtresse. Je Vous remercie et je serai la plus obéissante de toutes. Maître a tous les droits sur moi.

Tu n’oublies pas quelque chose ?

Si, Maîtresse : je dirais publiquement mon amour pour le Maître, en public le jour de Vos noces.

Bien, dégage maintenant ! Va dans ton cachot et enferme-toi. Demain, quand le minuteur ouvrira ta cage tu la refermeras et tu y resteras jusqu’à ce que je vienne te chercher.

Oui Maîtresse.

Jade disparaît en silence. Tony regarde sa future femme.

Quoi ?

Rien !

Quoi, dis-moi ?

Je t’assure, rien ! J’admire ma future femme et je reconnais en elle une Maîtresse accomplie qui va au-delà de ce que je pensais possible pour toi.

Oh ! Tu es en train d’essayer de me séduire, coquin, mais cela ne marche pas du tout !

Je ne te séduis pas, ma chérie. C’est moi que tu séduis.

Alors, viens immédiatement m’embrasser !

Oui, maîtresse !

 

Idiot !

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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:41

-          Que vas-tu faire à Jade ?

Demain ?

Oui !

J’ai l’intention de la mettre en condition. Je sais qu’elle a eu du mal à prononcer son renoncement à notre mariage malgré ses paroles. Je la connais mieux que toi. Je compte bien lui faire regretter son hésitation.

Tu vas donc la punir ?

Oui ! Et avec sévérité. Je veux qu’elle soit persuadée qu’elle n’a qu’une seule voie possible : être ta chienne.

Je peux assister.

De loin uniquement. Cela se passe…, disons, entre Daniel et Sylvie.

Je comprends. Alors je ne vous regarderai pas. Cela fait partie de votre ancienne intimité.

Merci. Je dois m’occupe d’Océane maintenant. Que comptes-tu faire ?

Je dois aller voir Charlotte afin de vérifier si tout est en ordre au club.

Attention, tu m’as promis !

Tu sais qu’avec Charlotte, il n’y a rien et il n’y aura jamais rien.

Sylvie embrasse son futur mari et se rend à la cuisine où attend Océane, comme chaque soir.

Océane est bien à sa place. Elle est assise sur son tabouret dans la cuisine. Sa gamelle est vide alors que celle de Jade est encore pleine. Sylvie s’approche d’elle et lui caresse les fesses qui débordent largement du tabouret spécial. Océane a un frisson, mais reste silencieuse.

Tu peux jeter la gamelle de la lopette. Elle ne mangera pas ce soir.

Bien Maîtresse.

Lève-toi et fais-le. Ensuite nous montons.

Océane obéit et va vider la gamelle dans la poubelle. Elle lave la gamelle et la range puis vient devant le tabouret, s’accroupit et le nettoie avec sa langue. Sylvie ne reste pas à regarder et monte directement au donjon.

La pièce est parfaitement rangée. Depuis qu’elle est là, Tony ne l’utilise pratiquement plus et la considère comme le donjon privée de sa fiancée. La cage d’Océane est en plein milieu. Malgré ses protestations silencieuses, Sylvie lui a fait mettre un matelas dans le fond fin qu’elle puisse se repose confortablement. Elle ne la met pas tous les soirs en tension sous les barres. La plupart du temps, elle se contente de l’obliger à se coucher et l’enferme sans avoir oublié de lui mettre sa laisse cadenassée au cou avec une chaîne très lourde qui la contraint à se pencher.

Tout autour, la pièce est parfaitement organisée. A droite, une chaise de gynécologue. A gauche, c’est une croix de Saint-André avec, disposé à sa droite, un râtelier contenant plusieurs fouets et cravaches de différentes souplesses. De l’autre côté, Sylvie a fait disposer un jacuzzi afin qu’Océane puisse se détendre avec elle quand elle ressent le besoin de se faire cajoler par sa soumise. Dans le dernier angle, c’est un pilori qui occupe l’espace. Ce pilori offre différentes positions et un palan est installé au-dessus qui permet d’empaler plus ou moins sa soumise selon ses envies.

Elle ouvre la cage. Le matelas sent l’odeur de sa soumise. La maîtresse de maison caresse doucement le matelas. Afin qu’Océane ne soit pas trop bien, le matelas est recouvert de toile de jute rêche et rugueuse. Océane entre. Elle vient immédiatement aux pieds de sa Maîtresse.

Va sur le pilori.

Océane se déplace et place ses bras et sa tête dans les espaces prévus puis elle attend que sa Maîtresse l’enferme. Il est déjà arrivé qu’elle passe une nuit entière dedans. C’est terrible, mais Océane ne se plaindrait pour rien au monde.

Non, je veux te voir sur le palan.

Océane se relève et enfile et fixe le gilet en lanières de cuir qui lui enserre le torse. Sylvie lui passe des menottes aux poignets qu’elle relie dans le dos. Elle se dirige ensuite vers la manivelle du treuil. Le cliquetis métallique retentit dans la pièce silencieuse. Océane s’étire puis ses pieds quittent le sol sur environ un mètre cinquante de hauteur. Elle tournoie lentement autour de l’axe du filin d’acier. Sylvie passe des contraintes à ses chevilles et les fixe par des cordes à deux crochets placés sur les côtés. Elle les tend pour que sa chienne soit immobile. Océane se retrouve les jambes écartées. Sylvie place ensuite un pieu épais entre les cuisses de sa soumise qu’elle enduit de lubrifiant gras. Le pieu a une extrémité déjà importante, mais s’évase très vite à la manière d’un cône de travaux que l’on trouve le long des routes et des autoroutes. Puis elle entame la redescente de sa soumise. L’extrémité du pieu est ajustée en face de l’anus de la femme. Sylvie bloque le treuil et règle le boitier de mise en marche automatique.

Je vais régler la descente sur un centimètre toutes les cinq minutes.

Sylvie enclenche le minuteur. Immédiatement, Océane descend d’un centimètre. Le pieu ouvre son anus, mais reste à l’entrée. Dans les 15 prochaines minutes, le pieu ne fera qu’ouvrir l’anus de manière très importante. L’anus se laissera pénétrer et ce sera relativement agréable pour elle de se sentir ouverte. Ensuite, Océane n’aura plus aucun répit, car l’engin entrera en elle et s’enfoncera tout en continuant à lui écarter la rondelle anale. A chaque descente, elle se sentira ouverte davantage et les cinq minutes qui lui resteront ne parviendront pas à lui permettre de s’adapter au nouvel écartement. Elle voudra, à un moment, essayer de résister en se contractant, sans espoir. L’anus continuera encore et encore à s’ouvrir.

Sylvie s’installe sur son fauteuil. Fauteuil rouge en cuir, confortable et moelleux. Elle étend ses jambes sur un petit tabouret et fixe sa soumise du regard. Elle aime cette femme mature. Elle aime sa beauté et sa tendresse. Elle aime sa docilité totale et la confiance qu’elle lui accorde. Elle la regarde et en est chaque jour plus fière. La séance d’aujourd’hui a un but précis. D’ordinaire, elle arrête toujours la descente au bout de 10 centimètres de pénétration. Cette fois, elle va attendre beaucoup plus. A dix centimètres, Océane commence à avoir beaucoup de mal à supporter l’écartement. Cela devient douloureux, car son anus est ouvert à ce moment précis à 6 centimètres de diamètre. Sylvie veut attendre ce diamètre avant de commencer à l’informer de ce qu’elle a en tête pour elle. D’une part, elle veut savoir et d’autre part, elle veut une réponse. Océane ne cèdera pas facilement. Elle est capable de supporter la douleur, mais cette fois, c’est la Maîtresse qui gagnera et Océane saura, sans doute pour la première fois depuis qu’elle la soumet, qu’elle est vraiment Sa Maîtresse !

Océane regarde Sylvie. Elle lui sourit, car elle aime bien qu’elle reste avec elle le soir. Maîtresse n’utilise pas souvent le pilori ainsi. C’est pourtant pour elle une soumission qu’elle aime et qu’elle redoute. Elle aime être prise analement, depuis toujours. Elle aimait déjà quand c’étaient les autres filles du pensionnat qui enfonçaient leurs mains entières dans son anus alors étroit et qu’elle en éprouvait tellement de honte. Elles l’attachaient et lui faisaient subir de multiples outrages. Toutes les filles passaient leur main dans son cul et elle devait toutes les nettoyer ensuite. Mais c’est aussi un supplice, car, Océane sait bien que son anus à une limite. Maîtresse ne peut pas savoir laquelle et elle ne sait jamais, même si depuis son installation, Sylvie n’est jamais allée trop loin, si elle saura s’arrêter à temps. Pourtant, sans le savoir, sa Maîtresse lui a ouvert le cul bien plus largement qu’elle ne l’a jamais été. C’est cette douleur intense et durable qu’elle redoute.

Le treuil est en marche depuis de longues minutes, l’anus s’ouvre. Océane sait que la partie évasée du pieu est maintenant en elle. L’écartement ne cessera plus. Elle respire lentement et essaie de se relâcher. Son anus palpite et c’est encore agréable pour le moment. L’intérieur étant creux, elle sent un courant d’air frais qui entre en elle. Sa Maîtresse la regarde toujours sans dire un mot. Océane sait qu’elle ne doit pas parler. Elle attend et tente de jeter des coups d’œil vers elle sans qu’elle s’en aperçoive. Elle aime de tout son cœur et de toute son âme cette femme hétéro. Elle sait qu’elle ne sera jamais dans un lit avec elle et qu’elle ne pourra jamais l’embrasser de son propre désir. Elle doit faire et fera ce que veut sa Maîtresse uniquement. Elle ne peut lui donner d’autre signe de son amour profond que par son obéissance et sa soumission totale.

Le pieu vient encore de s’enfoncer. Là, Océane sait qu’il a atteint ses limites, celles que sa Maîtresse lui a ouvert les autres fois. Pourtant, fait étrange, Sylvie ne bouge pas. On dirait même qu’elle s’est assoupie. Elle garde les yeux fermés. Océane commence à paniquer. Et si sa Maîtresse s’était endormie ? Le pieu va continuer sa descente. Son anus pourra-t-il résister longtemps ? Elle sera peut-être déchirée totalement. Elle pourrait crier pour réveiller sa Maîtresse, mais elle sait qu’elle ne le fera pas, car elle a confiance et si c’est son désir, elle souffrira pour elle, jusqu’au bout, jusqu’à …

Le pieu s’enfonce d’un nouveau centimètre. Là, elle a mal. Son anus est en feu. Elle ouvre la bouche, elle va crier. Mais elle se retient. Non, elle doit obéir. Sans s’en apercevoir, dans sa volonté de se relâcher, elle se met à pisser abondamment. Elle voit son jet, mais elle n’arrive plus à se contrôler. Le pieu doit appuyer contre sa vessie qui se libère. Elle n’aurait pas dû tant boire, ce soir. La honte et la colère d’être aussi sale la mettent en furie. Elle attend maintenant le nouveau centimètre avec hâte pour se punir elle-même. Elle ferme les yeux et laisse couler quelques larmes.

Tu pleures chienne ?

Sylvie a tout suivi patiemment et voit qu’Océane, cette fois perd le contrôle de sa soumission et de son corps. Elle veut qu’elle en perde aussi celui de ses pensées. Jamais avant elle ne l’a fait. Depuis la première fois où elle s’est donnée à elle, Océane a toujours guidée et dirigée. C’était leur accord et Sylvie ne lui en veut pas. Les punitions et les douleurs infligées ont toujours été de la teneur et de la force qu’Océane avait envie de recevoir. Sylvie avait trop peur d’aller plus loin. Mais cette fois, c’est elle qui prend les choses en mains.

Non, Maîtresse.

Menteuse ! Tu pleures ! Je n’aime pas que tu me mentes. Pour ta punition, tu vas prendre un centimètre de plus.

Océane ne dit rien, mais lance un regard perdu, mais en même temps de défi à sa Maîtresse. Que fait-elle ? Que cherche-t-elle ?

Les minutes se passent. Le minuteur tourne. Juste avant qu’il ne se déclenche, un petit cliquetis se fait entendre. Elles attendent toutes les deux. L’une avec crainte devenant peur et l’autre, impatiente d’arriver à l’instant où elle posera sa question. Le cliquetis tinte délicatement, le pieu se met en branle et descend, Océane pousse pour la première fois un cri de douleur, car son empalement devient insoutenable. Elle lance des regards de terreur à sa Maîtresse. Sa tête s’agite. Elle lutte pour demander qu’elle arrête tout en se refusant à demander cela à celle qu’elle aime et qui est Sa Maîtresse pour la vie. Elle ne veut pas non plus la décevoir.

Sylvie sent que le moment est arrivé.

Chienne, je veux savoir une chose. Jusqu’à présent, tu m’as répondu vaguement et de manière très imparfaite, mais je n’ai jamais eu la vraie réponse. Cette fois, je la veux. Tu as le choix : tout me dire en bonne chienne et esclave et j’arrête le pieu ou garder le silence et avoir ton anus totalement déchiré dans des souffrances horribles.

Océane regarde sa Maîtresse. Elle n’a plus devant elle la femme qu’elle aime. Elle est torturée par une Dominante sans amour qui dresse et soumet pour son plaisir uniquement. Une Dominante qui veut obtenir quelque chose et qu’elle devra lui donner parce qu’elle n’a pas le choix et parce qu’elle lui doit.

Je vois que tu es attentive. Alors ! Je veux savoir pourquoi, depuis tant d’années, tu conserves ton vagin fermé. Tu m’as servi l’histoire de ta sœur qui voulait être aimée pour elle seule. Je sais que c’est du bidon. Tony a voulu plusieurs fois te retirer cet anneau qui te condamne à une chasteté totale. Tu as toujours refusé sans lui donner la moindre explication. Pourtant, ta sœur est morte depuis longtemps et tu pourrais être aimée, même en esclave, pour toi-même. C’est fini ! Ou tu me donnes la réponse où tu seras déchirée et meurtrie à jamais.

Océane, cette fois la regarde dans les yeux et la défie. Sylvie, sa Maîtresse d’amour exige d’elle l’impossible, l’impensable. Elle ne peut ni ne veut révéler son secret. Elle a choisi, c’est vrai, d’avoir son sexe fermé et scellé à jamais. Elle s’est fait le serment de ne jamais retirer cet anneau, quel qu’en soit le prix. Elle a choisi de transformer son anus en sexe de plaisir et de renoncer à l’autre à tout jamais. Elle a même réussi, à force d’auto suggestion, à faire disparaître ses règles. Sa Maîtresse d’amour ne peut exiger cela d’elle maintenant. Non, elle ne peut pas.

Le cliquetis retentit à nouveau. Le pieu descend encore. La douleur est de plus en plus grande. L’anus est ouvert maintenant à huit centimètres. Cela correspond à deux mains qui la fouillent jusqu’aux poignets et même plus loin. Océane crie et hurle. Elle demande pitié à sa Maîtresse. Elle vient encore de pisser. La douleur ne cesse pas. Elle est constante.

Sylvie a posé une seule fois la question. Elle sait qu’Océane a parfaitement entendu. Il est inutile de la reposer.

Maîtresse, je ne peux pas Vous le dire. Pitié.

Sylvie ne répond pas. Elle se lève et descend dans la cuisine. Elle a soif. Elle se sert un verre d’eau fraîche. Océane en voyant partir sa Maîtresse se sent totalement abandonnée. Elle hurle maintenant autant par sa douleur que par sa peur d’être seule, de rester seule, d’être abandonnée. Pourtant, son secret est trop lourd ! Elle ne veut pas le partager même avec la femme qu’elle aime le plus au monde et qu’elle admire. Cette honte qu’elle porte en elle ne peut être partagée. Elle ne veut pas Sali Sa Maîtresse avec cette ignominie.

Sylvie revient avec son verre d’eau. Une buée glacée s’est formée sur le verre. Elle boit à petites gorgées. Océane a soif tout à coup et voudrait boire aux lèvres fraîches de sa femme chérie. Mais le pieu est là qui lui rappelle ce qu’elle est et qui attend lui aussi la réponse. Bientôt le minuteur va encore se déclencher. Elle ne pourra pas supporter encore bien longtemps la douleur. Son anus va craquer. Sa Maîtresse la regarde sans dire un seul mot. Elle boit !

Sylvie a peur. Elle essaie de se donner une contenance. Elle tient son verre serré en espérant qu’Océane est suffisamment troublée pour ne pas remarquer qu’elle tremble de peur. Peut-être va-t-elle trop loin. Et si elle ne dit rien ? Va-t-elle attendre qu’elle soit déchirée ? L’anus est ouvert à plus de huit centimètres maintenant. Bientôt il va lâcher. Elle doit arrêter avant, car elle ne veut pas estropier sa soumise. Elle l’aime trop pour ça. Elle l’aime ! C’est la première fois que cette pensée la traverse. Elle aime cette femme comme elle aime son futur mari et comme elle n’a jamais aimé Daniel.

Le minuteur se déclenche à nouveau. Le pieu descend. Océane hurle

Maîtresse ! Stop, par pitié. Je… je vais…. Tout Vous dire.

Le cœur de Sylvie bat à tout rompre. Elle ne bouge pas. Elle reste immobile un long moment sans dire un mot. Puis elle se lève et s’approche de son esclave.

Répète chienne !

Je vais … tout Vous dire, Maîtresse. Pitié, retirez le pieu Maîtresse, il me déchire.

Je ne vais pas le retirer. Je vais juste arrêter la descente. Il ne sera retiré que lorsque je serai satisfaite par tes réponses.

Océane regarde son impitoyable Maîtresse. Jamais, elle n’a été aussi dure avec elle. Elle est bien une Maîtresse comme Océane l’a toujours reconnue. Ce serait avec une autre soumise, elle pourrait l’admirer. Mais pour l’instant elle ressent de la haine et de la colère envers elle.

Je… reconnais, Maîtresse… J’ai fait le serment, un jour, de ne jamais faire ouvrir l’anneau. Je l’ai fait poser. Ce n’est pas ma sœur qui a décidé…

Je t’écoute. Et n’oublie pas, je veux l’entière vérité.

… quand j’ai été reprise et achetée par ma sœur, je venais d’être violée, Vous vous souvenez ?

Oui !

Je Vous ai dit que le médecin n’avait rien vu. En fait, j’étais enceinte.

Toi ? Tu as eu un enfant ?

J’ai poursuivi ma grossesse chez ma sœur. Elle m’a enfermée dans la cave dès qu’elle s’en est aperçue. Quand est venu le temps d’accoucher, ma sœur a refusé d’appeler un médecin. Elle m’a enchaînée et j’ai accouché toute seule. Cela…

Océane se met à pleurer à l’évocation de ce souvenir douloureux. Sylvie s’approche et lui caresse les joues. Elle dépose un baiser sur ses lèvres. Océane répond à ce baiser et embrasse sa Maîtresse avec fougue et passion.

Ma chérie, continue !

Oui, Ma Maîtresse !... Cela s’est mal passé. C’était une petite fille toute blonde. Je l’ai appelée Cristal. Elle n’a vécu que quelques heures. Je n’ai pas réussi à la faire téter. Elle avait du mal à respirer. Elle est morte dans mes bras.

Océane s’arrête et pleure. Sylvie est, elle aussi, envahie  d’une intense et profonde émotion. Elle est tentée de faire remonter le pieu pour soulager à la fois la douleur et la peine de sa soumise, mais elle doit aller jusqu’au bout. Elle sent confusément qu’elle doit le faire pour respecter Océane qui lui donne son plus grand acte d’amour. Elle lui caresse les cheveux et lui tend son verre d’eau. Océane refuse le verre. Elle l’embrasse sur les joues, sur les yeux, sur la bouche.

Quand ma sœur est venue nous délivrer, elle avait l’intention d’abandonner ma fille en la déposant devant la première maison venue. Elle a emporté sa dépouille et je ne l’ai jamais revue. Je ne sais pas ce qu’elle en a fait. Sans doute l’a-t-elle jeté dans une poubelle…

Océane a les yeux cernés et le teint pâle.

C’est donc toi qui t’es fait percer les lèvres vaginales et qui as fait placer les anneaux ?

Oui, Maîtresse, en jurant que jamais plus ce ventre ne s’ouvrirait et ne donnerait du malheur. Ce sexe est maudit.

Océane ! Est-ce que tu m’aimes ?

Océane regarde sa Maîtresse, surprise !

Vous le savez Maîtresse. Je Vous aime tellement. Vous êtes la femme de ma vie. Je ferai et serai tout pour Vous.

Je veux que tu me donnes ce que tu as de plus précieux en toi en gage de cet amour.

Je Vous donne tout ce que je suis, Maîtresse. Mais, Vous…

Moi, quoi, chienne ?

Est-ce que …

Est-ce que je t’aime ? C’est bien ta question ?

Océane ne répond pas.

Ma chérie, je n’ai jamais éprouvé de sentiment amoureux ni d’attirance pour une femme. Jamais avant toi. Oui, je t’aime. Je t’aime d’amour. Et je veux de toi ce que tu as enfoui le plus profondément…Désormais, aucune de tes pensées, même les plus secrètes ne doivent m’être cachées.

Vous voulez mon sexe, Maîtresse ?

Oui ! Je veux te retirer tes anneaux et libérer son sexe.

Ce trou immonde qui donne le malheur et la mort ?

Ce sexe divin que j’ai envie de goûter et d’aimer. Ce sexe dans lequel j’ai envie de me plonger. Je te désire ma chérie tellement fort.

Mais Maîtresse, j’ai fait le serment de ne jamais plus l’ouvrir.

Tu as fait aussi le serment d’être mon esclave totale pour le reste de ta vie. Je désire de toi que tu m’offres ton sexe. Ainsi, je te retire tout droit, toute liberté et je prends l’entière propriété de ton âme et de ton corps. En échange de ces anneaux, je t’offrirai un autre anneau, en or que nous porterons toutes les deux à l’annulaire droit. Je veux que tu deviennes ma femme. Je veux épouser ma chienne soumise au club devant tous nos amis et devant des étrangers. Je veux que mon futur mari sache que je suis devenue lesbienne aussi.

Devenir Votre femme, Maîtresse ? Vous épouser ? Porter Votre alliance ?

Oui, ma chérie !

Oh, Maîtresse, Maîtresse…

De nouveau, Océane se met à pleurer. Sylvie la laisse se calmer.

Prenez une tenaille, Maîtresse, et cassez ces anneaux du malheur puisque que je vais en avoir un unique : celui du bonheur. Mais, avant de les briser, laissez-moi ici, empalée, Maîtresse.

Tu veux rester ici ?

Oui, Maîtresse. Revenez demain matin avec des tenailles. Laissez-moi cette nuit de douleur afin que je dise adieu à mon enfant. Elle a souffert à cause de moi. Je veux souffrir pour elle, pour me faire pardonner.

Mais, ton enfant n’exige pas cela de toi ma chérie. Elle sait que tu n’as pas pu, que tu n’es en rien responsable.

Faites-le pour moi, Maîtresse. Et même, descendez-moi encore d’un centimètre !

Un de plus ?!

Oui, Maîtresse.

Tu es certaine de toi ?

Certaine.

Sylvie la regarde interdite.  Elle se dirige vers le treuil. Au moment de l’actionner, elle se tourne vers Océane.

Je vais le faire chienne mais ce n’est pas un, mais deux centimètres que tu vas recevoir. Je suis ta Maîtresse. Le temps de mon apprentissage est fini. Désormais, je n’accepterai plus aucune suggestion de ta part. Tu vas devenir ma femme, mais aussi mon esclave. Je fais préparer un contrat pour toi.

Sylvie met en marche le treuil. Océane pousse un cri de douleur. Sylvie attend que le deuxième cran enfonce le pieu dans le cul de sa soumise. Cette fois, Océane ne crie plus. Elle regarde sa Maîtresse puis baisse les yeux.

 

Oui, Ma Maîtresse, oui Ma Femme.

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Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 18:50

Jade a refermé la porte de sa cage comme le lui avait ordonné Sylvie. Elle ne s’est pas recouchée. Elle s’est mise à genoux et attend sans rien dire. Cette nuit a été agitée. Sa femme, enfin sa Maîtresse désormais va se remarier donc ils vont divorcer. Elle s’attendait à cette nouvelle, un jour. Elle ne pensait pas que ce serait si vite. Mais tout a été si vite ces derniers mois. Ses Maîtres ont parlé de sa féminisation. Jade est ravie et heureuse, mais angoisse malgré tout.

Elle reconnaît le pas de sa Maîtresse. Sylvie se présente devant la porte, compose le code, l’ouvre et lui jette une robe qu’elle a empruntée à Charlotte. C’est une robe sans bretelles et dont la longueur s’arrête au-dessus des genoux.

Enfile ça. Tu as cinq minutes.

Jade regarde la robe avec étonnement. Pourquoi sa Maîtresse lui demande-t-elle de s’habiller ? Perplexe, elle l’enfile. Le contact du tissu lui procure du plaisir. Porter une robe ! Elle a toujours voulu le faire. Parfois, quand elle était seule à la maison, elle enfilait certaines de sa femme. Elle se regardait dans une glace et prenait des pauses. Cette fois, elle va devoir sortir ainsi vêtue et devant Sylvie en plus. Elle enfile ses chaussures à hauts talons et se présente devant sa Maîtresse.

Reste debout que je vois ce que cela donne. … Tourne ! … Pas mal. Evidemment il manque du gonflant au niveau des seins, mais cela viendra. Bien ! Nous allons en ville. Je…

En ville Maîtresse ? Je vais devoir aller en ville en fille ?

Tu viens de me couper la parole et de parler sans permission. Tu seras punie à notre retour. Oui, tu vas te promener en ville en fille sans rien dessous. Tu as quelque chose à dire ?

Jade baisse la tête et ne répond pas. L’idée de sortir du camp en fille la terrifie. Ici, elle se sent bien et n’a plus aucune honte à sortir nue avec son zizi en cage. Elle n’a pas plus de honte à se faire enculer devant plusieurs hommes et femmes qui la regardent. Mais, ici, tout le monde a l’habitude. Dehors, ce n’est pas la même chose. Que vont dire les gens ? Ils vont la regarder, la juger, l’insulter peut-être. Elle a peur tout à coup.

Sylvie appelle l’ascenseur et sans attendre son ex-mari descend et rejoint sa voiture. Jade la suit en silence te monte à côté d’elle. La dernière fois que cela s’est produit, c’était lui qui conduisait.

Serre tes cuisses et remonte un peu ta robe qu’on voit tes cuisses.

Le ton est sec et sans appel. Sa femme est devenue une Maîtresse accomplie qui sait qu’elle doit être obéie. Jade obéit.

Le chemin vers la ville est relativement long sur ses routes toutes droites et monotones. Le cœur de Jade se met à battre plus fort quand le panneau de la grande ville apparaît. Sylvie les conduit au centre-ville. Elle gare la voiture dans un parking souterrain.

Viens ! Tu restes derrière moi, à cinquante centimètres. Je ne te mets pas de laisse. Retire ton collier de chienne et laisse-le sur ton siège.

Jade retire le collier qu’elle porte depuis des mois. Il lui manque dès qu’elle ne l’a plus.

Les deux femmes sortent du parking et se mêlent à la foule. Jade avance les yeux baissés. Les passants la croisent sans rien dire. Parfois, un regard se tourne vers elle. Dans une rue commerçante, une jeune femme la heurte et s’excuse avec un « pardon mademoiselle, je ne vous avais pas vu ». Sylvie se retourne et sourit.

Nous sommes arrivées.

Docteur Anselme, médecin généraliste et acupuncteur. La plaque renseigne mieux qu’une explication. Le salon est presque vide. Un homme attend. Les deux femmes s’assoient. Jade réalise qu’elle doit adopter une attitude de fille. Elle serre les cuisses. La cage la gêne un peu. Elle regarde Sylvie qui a pris un magazine et se demande si elle peut faire de même. Mais sans demander la permission, elle n’ose pas. L’homme la regarde. Il a l’air intrigué. Il cherche quelque chose qu’il ne doit pas trouver. Des seins peut-être ?!

Le médecin appelle l’homme. Il entre dans son cabinet. Sylvie pose son journal.

Tu es ici pour passer une visite médicale. Tu vas devoir également demander au docteur de te prescrire une hormonothérapie pour te féminiser.

Je vais devoir demander cela, Maîtresse ?

Oui ! Ah, bien sûr, tu m’appelles Sylvie devant le médecin et tu me tutoies.

Je dois Vous… te tutoyer ?

Tu es idiote ou quoi ? Tu as bien entendu. Tu demandes une visite médicale complète, car tu désires une hormonothérapie en vue de devenir une fille. Le médecin va te demander pourquoi. Tu lui répondras que tu te sens fille depuis toujours et que tu ne veux plus qu’on dise de toi que tu es un garçon. Ta tenue vestimentaire sera un bon argument.

Et… et si.. le médecin refuse.

On verra bien !

La porte s’ouvre. Sylvie se lève et d’un regard ordonne à Jade de se lever à son tour. Elles entrent dans le cabinet.

Asseyez-vous ! C’est pour qui ?

Pour mademoiselle !

Parfait !

Le médecin dévisage sa nouvelle patiente un instant.

Vous n’êtes jamais venue, je ne vous connais pas.

Jade reste silencieuse ne sachant si elle doit parler.

Jade est un peu timide. Non, elle n’est jamais venue. Elle habite la région depuis quelques mois seulement.

Ah bien ! Je vous écoute. Qu’avez-vous ?

Jade regarde Sylvie qui lui envoie un coup de pied discret dans la cheville. Elle finit par se décider et ouvre sa bouche.

Je viens, docteur, pour faire un bilan de santé.

Vous êtes malade ?

Non, pas du tout, mais je … je…

Oui ?

Je voudrais que… vous… me prescriviez…

Quoi donc ? Allons ne soyez pas si timide. Ecoutez, avant de vous prescrire quoi que ce soit, je vais vous examiner. Retirez votre robe, mais gardez votre culotte et votre soutien-gorge et venez vous installer ici.

Le médecin se lève et fait signe à Jade de le suivre. Jade panique. Elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge et le médecin va voir sa cage de chasteté. Il va tout comprendre.

Allez, Jade, fais que ce te demande le médecin. Dépêche-toi !

Elle est vraiment timide cette gentille dame.

Oui, très timide.

Allez, du courage ! Ce n’est sûrement pas la première fois que vous allez chez un médecin tout de même.

Jade se lève. Ses jambes tremblent. Elle s’avance vers la table d’auscultation. Elle hésite. Elle sent Sylvie qui est derrière elle et descend sa fermeture éclair. La robe n’est plus près de son corps. Elle sent que ces bretelles quittent ses épaules et la robe tombe.

Ah ! Je comprends mieux les hésitations de la petite dame. Allez, montez sur la table.

Jade s’allonge. Le médecin prend son stéthoscope et commence son examen.

La cage ne vous fait pas mal ? Depuis combien de temps la portez-vous ?

C’est Sylvie qui répond.

Depuis le 4 août dernier !

Sans interruption ?

Sans !

Hummm ! Et, est-ce que vous vous videz la prostate de temps en temps ?

Sylvie va pour répondre, mais le médecin lève la main.

Je veux entendre la demoiselle maintenant.

Jade regarde le médecin. Maintenant qu’il sait tout ! Il ne semble pas offusquer.

Non, jamais monsieur !

Jamais !? Ah, ce n‘est pas bien ça. Vous devez la vider au moins une fois par mois. Vous savez comment faire, jeune fille ?

Euh, non-Monsieur !

Je vois, tournez-vous et mettez-vous à quatre pattes sur la table.

Jade obéit. Elle connaît bien cette position. Elle se demande si le médecin va la sauter et comment il va faire pour monter sur cette table étroite. Elle voit le docteur prendre un gant de latex. Il l’enduit d’un gel lubrifiant et s’approche.

Vous vivez ensemble, madame ?

Oui !

Approchez-vous ! Je vais vous montrer comment vider la glande de cette petite chaque mois. Vous prenez un gant bien lubrifié et vous entrez deux doigts, comme ceci dans son anus. Vos doigts doivent appuyer vers le bas.

Jade sent les doigts du docteur qui s’enfoncent dans son cul. Elle s’ouvre et pousse instinctivement. Elle sent une pression forte sur son bas-ventre. Son zizi se met à lui faire un peu mal. C’est désagréable. Puis elle sent un fluide chaud qui coule à travers la cage.

Oh ! Eh bien ! Il était temps. C’était bien plein. Vous avez vu, il faut appuyer fort et presser la glande. Le sperme sort tout seul.

Bien ! C’est parfait.

Il retire son gant et le jette dans une poubelle ainsi que le tissu absorbant qui a servi à recueillir le sperme.

Alors ! Vous me semblez en pleine santé. N’étant pas malade, je suppose que cette fameuse prescription concerne votre état ! Non ?

Cette fois, Jade, qui n’a plus rien à cacher ayant offert son cul à ce médecin, n’hésite plus. La vidange de sa prostate a provoqué une chose curieuse. Elle ne sent plus la pression dans son bas-ventre qu’elle avait depuis des semaines.

Je… voudrais devenir une fille, monsieur.

Une fille ! Mais comment cela ?

Je voudrais commencer une hormo…

Une hormonothérapie ?

Oui, monsieur.

Vous savez ce que cela implique et ses conséquences ?

Non ! Monsieur ! Je suppose seulement.

Vous supposez quoi ?

Cela va me permettre d’avoir des seins !

Oui, j’imagine que cela doit vous manquer. C’est dommage d’avoir un aussi beau décolleté sans n’avoir rien à montrer dessous. Mais la prise d’hormones n’est pas anodine. Il faudrait suivre un régime, ne pas fumer, ne pas boire, faire du sport et surtout ne pas se droguer.

Je ne fais rien de tout cela !

Très bien ! Vos seins vont pousser modérément. Si vous voulez en avoir des gros, il faut envisager une mammoplastie. Vous allez aussi modifier votre voix et votre système pileux va s’amoindrir.

Je n’en ai pas beaucoup de toute manière.

Vous n’avez jamais eu de poils ou vous vous épilez ?

Non, jamais beaucoup. Un peu au niveau du pubis, mais sans plus.

Pas de barbe ?

Non, très peu.

Bien, bien ! Ah, j’oubliais ! Ces hormones vont modifier votre terrain hormonal en bloquant vos hormones mâles et en les remplaçant par des hormones femelles. La conséquence sera que vous ne pourrez plus… Je suis bête, j’imagine que la présence de cette cage de chasteté vous empêche déjà de bander ?!

Elle ne bande plus depuis le jour où elle a porté sa cage !

Oui, c’est évident. Donc, les hormones vous rendront impuissante.

J’en suis consciente.

Bien ! Je vais vous prescrire donc un examen sanguin complet. Quand vous recevez le compte-rendu, on se revoit et nous commencerons vos hormones. Mais en attendant, je vais vous prescrire une crème pour vos seins. Cela va les rendre plus sensibles et favorisera ensuite le gonflement avec la prise d’hormones. Il faut mettre une noix sur chaque sein deux fois par jour et bien masser jusqu’à complète absorption.

Le médecin établit les certificats. Sylvie lui tend la carte verte de Daniel.

Daniel ! Cela ne vous va pas du tout. Jade est bien plus jolie.

Il se tourne vers Sylvie.

Vous pensez faire modifier sa carte et son état civil ensuite ?

Non ! Pour quoi faire ?

Vous avez raison. Hihihi. Je vous revois donc avec les résultats ?

Comptez sur nous, docteur. Merci !

Les deux femmes ressortent du cabinet.

Bien ! Te voilà presque femme et tu as vu, ce médecin n’a pas fait de commentaire sur toi et ta cage.

Oui, Maîtresse. J’ai eu bien peur.

Tu ne dois pas ! Tu es une lopette. Si je l’exige, tu retires ta robe maintenant et tu te montres telle que tu es devant tout le monde !

Maî…Maîtresse !

Rassure-toi, je ne le ferai pas, mais sache que je pourrais.

Oui, Maîtresse.

Sylvie se dirige maintenant vers le quartier près du port. Elles s’engagent dans une ruelle étroite et très fréquentée. Plusieurs jeunes hommes sifflent sur leur passage. Sylvie pousse la porte d’une boutique de tatouages et de piercings. Une jeune femme avec un piercing dans le nez et des tatouages sur tout le corps les accueille avec un grand sourire.

Bonjour ! Je suis une amie de Charlotte ! J’ai rendez-vous avec Steeve.

Sans répondre, la jeune femme se pencher vers un escalier qui descend.

Steeve ! Ton rendez-vous est arrivé !

Qu’elles descendent !

D’un geste, la jeune femme désigne l’escalier. Les deux filles l’empruntent.

La salle est une cave voutée encombrée par plusieurs tables et chaises. Steeve est un grand gaillard qui doit avoir du mal à se mouvoir en se tenant debout.

Salut ! Charlotte m’a appelé. Elle m’a expliqué le topo. C’est pour qui ?

Pour elle !

Viens ici poulette. Vire ta robe et assois-toi sur la chaise.

Jade doit encore une fois se dévêtir devant un étranger. Celui-là ne semble pas vouloir prendre de gant avec elle.

Grouille-toi ! Charlotte m’a dit que c’était une bonne lopette obéissante. On ne dirait pas.

Jade !!!! Obéis, chienne !

Jade sent monter la honte. Elle retire sa robe et viens s’assoir.

Ecarte tes guiboles, salope !

Steeve observe la cage un moment.

Il faut la retirer si tu veux que je la perce !

Jade avale de travers. La percer ??? Que veut faire sa Maîtresse ? Elle voit Sylvie qui tend la clé à l’homme. Celui-ci la prend et ouvre la cage, retire l’anneau pubien et tend le tout à Sylvie.

Tiens, la poulette n’en aura plus besoin. Elle pourra servir à une autre.

Il prend le zizi de Jade entre ses mains et l’examine, le retrousse, lui presse les boules.

Dis donc, tu n’as pas grand-chose entre les cuisses. Je comprends que tu sois juste une lopette. Bon, tu sais ce que je vais faire ?

Non !

Une gifle arrive sur sa joue. C’est Steeve qui vient de la lui balancer.

On ne t’a pas appris la politesse ?

Pardon, Monsieur !

C’est mieux ! Comme ce ça, tu ne sais pas ce que je vais faire.

Il se met à rire. Sylvie ne dit rien, elle se contente d’aller s’assoir sur une chaise. Elle sort un téléphone portable et appelle Tony.

Je vais te percer le zizi, tu vois, juste au bout. Et puis, je vais aussi te percer sous les boules. Je vais y mettre des anneaux. Ensuite, je mettrais un anneau qui reliera les deux autres. Après, tu ne pourras plus jamais faire durcir son vermicelle. Remarque, il ne doit pas durcir souvent avec ta cage. Tu ne vas plus avoir besoin d’en porter une.

S’adressant à Sylvie :

Je lui mets un anneau comme prévu ?

Absolument.

Steeve prend un anneau pénien qui enfile à la base du sexe puis prend ses aiguilles.

Tu peux regarder, mais si tu as peur, ferme les yeux. Si tu bouges, je t’attache. Cela va faire un peu mal au moment où je vais percer. Quand je te le dis, tu souffles fort. Tu as compris salope ?

Oui Monsieur !

J’y vais ! Souffle.

La douleur est vive. L’homme perce le gland en passant par le méat urinaire et ressort dessous. Le gland saigne légèrement, mais la douleur s’estompe vite. L’aiguille reste plantée. Il perce vite aussi sous les boules. Puis il se tourne et choisit parmi les différentes formes et tailles des anneaux.

Charlotte m’a demandé de lui mettre ceux-là. Tu verras ensuite si tu les veux plus gros.

Faites !

Okay !

Steeve remplace les aiguilles par des anneaux. Jade observe son zizi dont le bout s’écarte pour laisser passer un anneau assez gros. C’est encore un peu douloureux.

Voilà le travail ! Il ne reste plus qu’à sertir le tout. Tu veux que ce soit définitif, si j’ai bien compris !

Absolument !

Eh bien, ma poulette, dans une seconde ton zizi va être définitivement sous toi. Tu ne pourras même plus le faire durcir un peu. Dans la cage, tu pouvais encore le faire, mais plus maintenant. Tu vas être une vraie femelle, dis donc. Félicitations lopette.

Merci Monsieur.

L’anneau est serti. Jade sent son zizi qui tire et s’allonge mollement. Il disparait sous elle. Sylvie paie et elles sortent. Cela fait bizarre à Jade de marcher sans sentir le poids de la cage. Son zizi est entre ses cuisses. Quand elle marche, ses cuisses frottent légèrement contre lui. Celui lui provoque des envies, mais elle sent qu’elle ne peut rien faire sans qu’une douleur se ressente.

Elles regagnent la voiture. Sylvie s’arrête devant une pharmacie et envoie Jade chercher sa pommade et elles rentrent au camping des Fauvettes. Sylvie n’a plus rien dit depuis la sortie du médecin. Quand elles arrivent au camp, elle ordonne à Jade de monter dans son donjon et de l’attendre toute nue.

En arrivant dans la salle, Jade découvre Océane qui est dans sa cage. Elle semble dormir, agitée sans doute de rêves érotiques, car elle gémit et sourit en même temps. Jade retire sa robe et s’agenouille devant la cage.

Sylvie, le matin très tôt, avant de rejoindre Jade est venue voir Océane. Elle était toujours empalée sur son pieu diabolique. A demi comateuse, elle regarda sa Maîtresse entrer.

Bonjour Maîtresse.

Elle souriait.

Sylvie l’embrassa sur ses lèvres sèches et actionna le treuil très lentement pour dégager sa soumise. Toute la nuit, elle avait mal dormi et plusieurs fois, en cachette presque, elle était venue la voir pour s’assurer qu’elle allait bien. Quand Océane fut dégagée, elle la soutint et l’aida à aller jusqu’à sa cage où Océane s’allongea en remerciant Sylvie.

Dors maintenant ma chérie. Repose-toi.

Jade redresse la tête à l’entrée de Sylvie. Sa Maîtresse s’est drapée dans un paréo transparent qui renforce encore sa beauté.

Laisse sa sœur dormir en paix et approche-toi.

Jade se lève sans crainte malgré le ton dur et cassant de sa Maîtresse. Sylvie lui désigne le pieu sur lequel était enfoncée Océane quelques heures avant.

Tu vois ce harnais, enfile-le et place-toi jambes écartées au-dessus de cette bitte.

Jade aperçoit alors la bitte monstrueuse. C’est avec des pas hésitants qu’elle s’approche et enfile le harnais. Elle se place au-dessus et écarte lentement ses cuisses en regardant sa Maîtresse d’un regard suppliant.

Ce matin, je t’ai dit que tu serais punie pour avoir parlé et avoir été désobéissante. Tu vas rester plantée sur ce pieu jusqu’à ce soir.

Sylvie fixe les chevilles de Jade pour maintenir ses jambes bien ouvertes puis enduit son anus d’une grosse noix de vaseline. Elle prend bien soin de lubrifier tout l’intérieur. Avant, jamais elle n’aurait ainsi enfoncé ses doigts dans l’anus de son mari ou de personne d’autre d’ailleurs, mais aujourd’hui, ce geste était naturel et lui plaisait beaucoup. Jade aimait aussi, car elle se laissait faire. Sylvie actionne enfin le treuil et Jade monte lentement. Sylvie aligne le pieu et fait redescendre la machine. Jade sent immédiatement la pénétration. Le pieu entre en elle lentement en l’écartant. Son anus souple et habitué à être pénétré se laisse faire sans réagir. La descente se poursuit et maintenant Jade sent que cela force. Une douleur commence à poindre.

Aie, Maîtresse !!!!!!

Pour toute réponse, Sylvie appuie encore sur le bouton de commande de descente et le pieu s’enfonce encore.

Il n’y a pas de « aie » qui tienne lopette. Tu es punie et ton anus va être élargi. Il comblera tes futurs amants. Je vais être magnanime, car je ne vais pas l’ouvrir aujourd’hui, autant que celui d’Océane, mais on y arrivera, fais-moi confiance.

Sans s’occuper davantage des gémissements de Jade, Sylvie prend le tube de pommade qu’elles ont acheté plus tôt le matin. Lisant la notice, elle vérifie la posologie.

Chaque matin et chaque soir, tu viendras ici afin que je masse ses seins avec la pommade.

La jeune femme enduit chaque sein en devenir d’un peu de gel et masse à deux mains et malaxant les pointes des tétons qui réagissent en durcissant et en pointant légèrement.

Un bruit derrière elle. C’est Océane qui vient de se réveiller et qui est à ses pieds. Elle sent un baiser sur chacun de ses mollets.

Hummmm, ma douce, tu es déjà réveillée ?

Oui, Ma Maîtresse. Votre douce voix emplit mon cœur de bonheur.

Tu es un amour. Regarde ta sœur Jade ! Elle aussi va avoir son cul agrandi. Tu vois, ma chienne, cette lopette vient d’être percée et son zizi est condamné par un anneau. Et toi, tu vas être libérée, car je veux que mon esclave soit une femme à part entière. Viens t’installer sur la table.

Océane suit sa Maîtresse sans rien dire. Elle se souvient de ses paroles dans la soirée précédente. Elle monte sur la table qui fait face à Jade et écarte ses jambes. Sylvie a emporté une paire de tenailles.

Regarde lopette, toi, tu viens d’être condamnée à la chasteté perpétuelle et ma chienne va être libérée.

Sylvie prend la pince et coupe l’anneau qui depuis ces vingt dernières années fermaient lèvres vaginales d’Océane. Puis elle enduit sa main de vaseline et enfonce lentement ses doigts entre les lèvres vaginales quasiment vierges. Cette pénétration est encore plus jouissive pour elle que celle de l’anus de Jade. Océane respire fort. Elle sent pour la première fois depuis son viol, une main qui entre en elle. Son vagin est étroit. Sylvie sent qu’elle ne pourra pas entrer sa main comme elle en a envie. Avec deux doigts, elle glisse lentement entre les parois nappées de soie la plus douce. Océane se met à gémir. Sylvie, excitée, se met à la masturber doucement, sans à-coups. Son pouce masse le clitoris qui n’a guère été sollicité depuis bien longtemps. Océane se cabre soudain et jouit d’une manière violente. Elle crie et se redresse presque. Elle va pour serrer ses cuisses, mais, réalisant son geste, elle les rouvre immédiatement.

Oh ! Maîtresse, Maîtresse !!!

Oui ma chérie, tu es mon esclave, mais tu es redevenue une femme. Ma femme, tu te souviens ?

Oui, Ma Maîtresse. Merci de m’avoir libérée. C’est si merveilleux !

Sylvie retire sa main très doucement. Elle relève Océane de sa position et l’entoure de ses bras.

Viens mon amour !

Elle l’entraîne vers le jacuzzi qu’elle met en marche. Des bulles se forment rapidement à la surface. Elle entre dans le bassin et aide sa soumise à la rejoindre. Elles s’installent l’une contre l’autre dans l’eau tiède et bouillonnante.

Tu es et tu resteras ma chienne, mon esclave le reste de ta vie, mais, bientôt, tu seras aussi ma femme.

Sylvie prend les lèvres d’Océane et s’empare de sa bouche, lovant sa langue dans la sienne. Ses mains caressent ses seins, son corps, son sexe. Océane se laisse faire, éperdue d’amour et heureuse de pouvoir enfin éprouver tout son amour pour cette femme dont elle est tombée amoureuse au premier regard.

 

Jade observe la scène tout en sentant son anus ouvert. Elle pleure doucement. Il n’y a pas si longtemps, c’est elle que Sylvie embrassait en lui disant des mots d’amour. Elle sent encore la douceur de ses mains sur sa peau. Mais Jade est une lopette et elle n’aura plus jamais droit à cette tendresse de la part de sa Maîtresse. Cela aurait dû être comme cela depuis toujours.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Camping naturiste - Communauté : plaisirs SM
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