Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 13:25

Une bonne surprise !

 Paul était ravi. Pour la première fois depuis longtemps, il rentrait tôt. La semaine avait été dense, mais fructueuse. Il avait placé tous ses contrats en trois jours. Il avait repris le train, ce matin et, le bus le déposait devant la maison. Lisa n’était sûrement pas encore arrivée : il avait tout le temps pour lui préparer une bonne surprise !

Paul, comme tout bon commercial s’absente une bonne partie de la semaine pour son travail. Il part le dimanche soir et ne revient jamais avant le vendredi dans la journée. Il est exceptionnel qu’il rentre ainsi un jour avant. Paul a 38 ans. Il est marié avec Lisa depuis 5 ans. Ils vivent heureux dans un appartement spacieux au dernier étage d’un immeuble confortable, loin du centre-ville, mais suffisamment proche des centres commerciaux et des commerces de proximité. Ils n’ont pas d’enfants, hélas ! Ils ont longtemps cherché à en avoir, mais la nature ne les a pas favorisés.

 Il monte quatre à quatre les marches. Il refuse toujours de prendre l’ascenseur pour garder la forme. Il dépose sa valise dans l’entrée, boit un verre d’eau et redescend dare-dare. Il file tout droit chez le traiteur et commande de la nourriture chinoise – la nourriture préférée de Lisa. Puis il achète des roses et enfin, une bouteille de champagne.

Les bras chargés, il remonte chez lui et arrive en nage. En cette fin avril, les journées sont plus chaudes. Il range les courses et prend une bonne douche. Rafraîchi et reposé, il se met en devoir de préparer la table. Il met une belle nappe en dentelles sur la table et dépose des chandelles.

Tout était prêt !

Lisa est une jeune femme de 32 ans. Elle travaille à mi-temps à la poste du quartier. C’est une jolie femme brune, au physique agréable sans être d’une grande beauté. Elle rit souvent et attire toujours la sympathie de ses voisins et amis. Paul est tout son contraire. Pour un commercial, il est plus « pantouflard ». Il aime peu voir du monde en dehors de son travail. C’est parfois le sujet de dispute entre eux. Mais ce sont des disputes qui ne durent jamais, car une grande complicité et un amour profond les lie. Pour Paul, Lisa est le grand amour de sa vie – le seul aussi, car il n’a jamais connu d’autres femmes. Lisa, elle, a eu plusieurs amants avant de rencontrer son mari. Paul représente pour elle une grande sécurité et une stabilité qui lui a toujours fait défaut.

 Paul regarde l’heure : Lisa va rentrer d’un moment à l’autre. Il s’assoit dans le fauteuil le plus en face de l’entrée et attend. Il savoure à l’avance la réaction de sa femme quand elle le verra là. Bientôt l’ascenseur s’arrête au dernier. La porte couine toujours un peu à l’ouverture. C’était parfois agaçant quand les voisins rentraient tard. Mais depuis deux mois l’appartement d’en face est vide et Paul a presque oublié le son grinçant. Il reconnaît la voix de Lisa. Elle parle avec animation. Elle ne semble pas être seule !

La porte s’ouvre. Lisa apparaît dans la plénitude de ses 32 printemps. Elle est de plus en plus belle !

Le large sourire de Paul se fige, car un homme entre à la suite de Lisa. Il lui tient la main. Lisa n’a pas vu Paul. Elle referme la porte et se tourne vers l’inconnu. Elle passe ses bras autour de son cou et l’embrasse. L’homme passe ses bras autour de sa taille et relève sa robe. Il saisit fermement les fesses de la jeune femme et lui écarte légèrement. Lisa pousse une plainte animale et se suspend au cou de l’étranger tout en nouant ses cuisses autour de la taille large.

Paul est devenu pâle. Il est immobile, silencieux. Le regard fixe : il regarde sans voir, sans réaliser ce qu’il voit. Sans vouloir admettre même ce qui se déroulait devant ses yeux.

Lisa ne porte même pas de culotte sous sa robe.

Les deux amants continuent à s’embrasser. L’homme insinue son index entre les fesses de Lisa et semblait la fouiller. Lisa pousse de longs râles qui en disent long sur le plaisir qu’elle éprouve.

Oui, vas-y fouille le cul chéri ! Oh oui enfonce ton doigt encore un peu. Là ! Comme ça !

Tu veux deux doigts, salope ?

Oui mon cœur défonce moi ! Écarte-moi bien ! J’ai envie de sentir ton sexe dans mon cul.

Alors, suce !

L’homme a joint le geste à la parole. Il ressort son doigt de l’anus de Lisa et lui tend. Lisa ouvre la bouche et avale l’index et le majeur de sa main droite. Elle suce goulûment les doigts qui s’écartent à nouveau de sa bouche et redescendent vers ses reins. Paul assiste toujours sans rien dire, sans marquer aucune réaction. Il a la gorge serrée. Il ne croit pas ce qu’il voit ni ce qu’il entend. Jamais Lisa ne lui a dit de telles choses. Jamais il n’a osé lui enfoncer ses doigts dans le cul !

C’est l’homme qui aperçoit le premier Paul. Il le fixe sans pour autant arrêter ses caresses impudiques. Il se tourne simplement afin que Lisa puisse voir son mari.

Lisa marque juste un petit temps de surprise. Elle dénoue ses jambes et se laisse descendre, comme à regret. L’homme a retiré ses doigts que Lisa baise délicatement. Elle lisse sa robe froissée et s’avance vers Paul sans avoir lâché la main de son amant.

Bonjour Paul ! Je… te présente Nils !

Bonjour, Paul, dit l’inconnu, au nom curieux.

 Paul ne répond pas. Lisa hésite quelques secondes et reprend :

Il est… je pense, inutile de te faire croire autre chose que ce que tu as vu. Je te trompe. Je suis avec Nils depuis 6 mois. Mais avant lui, il y en a eu d’autres. Tu es cocu mon chéri.

La déclaration de Lisa est abrupte et sans détour. Tout en disant ses paroles assassines, elle se colle contre le corps de son amant, lui saisit les mains et les plaque contre sa poitrine. Nils, saisit à pleines mains les mamelons et les serrent. Lisa pousse à nouveau un petit gémissement de plaisir et de douleur confondus. Nils descend les bretelles de la robe et dégage les seins ronds et fermes de Lisa. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Nils attrape les tétons et les pince fortement. Lisa ouvre la bouche et crie :

Oui chéri fais-moi mal. Je te veux. Montre au cocu ce qu’il ne sait pas faire.

 Paul voudrait répondre, mais le mot « cocu » le frappe en pleine figure. Il vient de mettre enfin un mot à la situation. « Cocu ! » Sa Lisa, sa chérie le trompe ! Elle s’envoie en l’air avec d’autres hommes que lui !

Nils lâche un des seins de Lisa et descend sa main vers le bas de sa robe qu’il relève brutalement, dévoilant le bas ventre de la jeune femme. Lisa est toute nue sous sa robe. Nils passe la main dans l’entrejambe de Lisa qui tient sa robe relevée et écarte les cuisses.

Comment peux-tu me faire ça ? Regarde-toi ! Tu te conduis comme une putain !

Paul ! Je ne suis pas une putain : je suis sa Femme, sa meuf ! Tu sais que je t’aime. Mais c’est un amour qui est devenu tendresse. Lui me donne du plaisir. Je me sens femme, tu comprends : FEMME ! Je trouve que tu es le plus merveilleux des maris : attentionné et prévenant. Mais hélas, tu es un piètre amant. J’ai connu des hommes avant toi et j’ai toujours eu du plaisir avec eux : avant et depuis. Mais pas avec toi. Jamais. Ton sexe est tout petit. Je ne le sens pas du tout. Tu bandes peu.

Mais enfin, chérie ! Pas devant cet homme !

Paul a maintenant envie de pleurer. Il a honte. Honte de voir sa femme impudique. Honte de la voir faire et de l’entendre prononcer des mots qu’il n’imaginait pas dans sa bouche. Honte de s’entendre dire ce qu’il ne sait que mieux sur sa virilité. Honte qu’un homme entende tout cela. Honte de ne pas être capable de mettre un coup de poing dans la gueule de ce sale type. Honte d’être lâche, comme toujours.

Lisa a maintenant les cuisses ouvertes et Nils lui fouille le sexe. Lisa ouvre la bouche et se tord de plaisir.

Nils est un amant merveilleux et il sait tout de nous. Regarde comme il me fait jouir rien qu’avec ses doigts ! Il sait que tu es incapable d’avoir une érection longue et importante. Il sait que tu éjacules très vite. Il sait tout… Il sait même que parfois pour te faire bander, je suis obligée de te gifler le sexe ou de te mettre une carotte dans le cul !

Lisa ! Paul était maintenant rouge de honte. Lisa a tout dit de leur intimité à cet homme. Il est là, devant lui et le regarde. Pourtant Nils n’a pas une attitude arrogante. Il semble presque aussi gêné que Paul. Il se penche vers Lisa et lui dit quelques mots à l’oreille.

- Non mon amour, tu restes. Il fallait que cela arrive un jour : c’est fait maintenant. Passons à la suite !

La suite ??? Quelle suite ? demanda Paul. La suite est simple. Ou bien ce monsieur dégage ou c’est moi ! C’est tout !

Paul mon chéri, viens avec moi. Il faut que nous parlions entre tête-à-tête maintenant. Nils tu t’installes au salon et tu te sers un verre. Viens Paul.

 Lisa tend la main vers Paul qui dans un premier temps, refuse de la saisir et de la suivre. Mais il se sait pas résister à sa femme. Il prend sa main et se laisse conduire dans leur chambre.

Une autre surprise attend Paul. Leur lit est défait et des vêtements d’homme, ne lui appartenant pas, traînent sur le lit.

-  Nils dort là durant la semaine.

Ah ! Paul ne trouve rien d’autre à dire. Il est de nouveau lâche. Il devrait gifler sa femme. Mais il ne l’a jamais touchée et n’a pas le courage de le faire.

Paul assied-toi et écoute-moi.

 Paul refuse de s’asseoir sur le lit et préfère le fauteuil.

Lisa se place en face de lui et s’assoit en tailleur sur le lit. Paul peut voir sous sa robe son sexe luisant de plaisir. Lisa s’en aperçoit et ne fait rien pour soustraire son intimité à son mari.

 -          Voilà Paul. Je voudrais que tu m’écoutes sans m’interrompre. Ensuite tu me diras ce que tu en penses.

Pourquoi me fais-tu cela ? Tu ne m’aimes donc plus ?

Paul, Non ! Je t’aime toujours autant. Mais mon amour pour toi est différent. Reconnais que tu n’as jamais été très fier de tes performances sexuelles. Rappelle-toi quand tu me racontais combien tu avais essayé de draguer des filles et qu’elles te riaient au nez…

Paul reste silencieux !

Comme je te l’ai dit. Je ne jouis pas avec toi. Faire l’amour est une corvée. Je sais que tu y prends du plaisir, mais pas moi. Je t’aime, je le répète et je ne désire pas te voir partir. Je ne veux pas divorcer ni me séparer de toi. Tu es aussi essentiel à ma vie que mes amants. Normalement tu n’aurais jamais dû découvrir la vérité et notre vie aurait continué ainsi longtemps. Mais voilà, tu as eu la bonne idée de revenir plus tôt ! C’est de ta faute aussi ! Maintenant il faut savoir comment nous allons faire. Au fait, pourquoi es-tu là ? … Tu soupçonnais quelque chose ?

Je… Non ! J’ai rempli mon carnet de commandes plus vite et j’espérais te faire une surprise. Mais c’est toi, plutôt, qui m’en fais une ! Vire ce type pour que nous nous retrouvions tous les deux mon amour.

Paul fait mine de se lever pour prendre Lisa dans ses bras. Lisa le repousse doucement, mais fermement.

Non ! Tu as promis de ne rien dire. Je n’ai plus envie de toi, ni te sentir me toucher ! C’est clair !

Paul se recule et s’enfonce dans le fauteuil comme un petit animal blessé. Lisa lisse pour la deuxième fois sa robe et croise ses jambes afin de ne plus exposer son sexe à son mari.

 -          Voilà comment je vois les choses ! Notre vie ne peut plus être la même désormais. Je ne veux plus que tu me touches, je ne veux plus coucher avec toi ni même dormir. Pourtant je veux continuer à vivre avec toi ! Première solution : tu ne peux pas accepter que je reçoive mes amants et que tu sois cocu et nous nous quittons. Tu sais ce que je pense de cette solution. Nous divorçons. Maintenant le divorce est simple et rapide. Deuxième solution : tu acceptes, tu deviens le mari cocu. Tu connais mes amants. Quand ils sont là, tu restes dans ta chambre. Notre vie reprend son cours normal ensuite. Mais pas question de faire l’amour avec toi. Je ne pourrais pas supporter de te sentir en moi désormais. Tu es donc cocu et si tu veux, tu peux chercher ailleurs des compensations. Mais je sais que tu n’en es pas capable et ta vie sera triste : sans jouissance. Tu sais que les femmes rient de toi. Il est possible que tu plaises à des hommes. Comme tu aimes te faire enculer avec une carotte, tu aimeras sans doute avoir leur sexe en toi comme une lope, un p.d.. Troisième solution : tu es le mari cocu soumis !

Soumis ?

Soumis : cela veut dire que, comme dans la deuxième solution, tu assistes, tu ne baisses plus, mais tu nous sers de domestique. Domestique homme ou femme d’ailleurs. Tu fais tous les travaux ménagers, la cuisine, la vaisselle, etc.…

Domestique femme !???

Oui une soubrette si tu préfères ! Tu t’habilles uniquement en femme pour nous servir. Dernière solution : tu es le cocu soumis et chaste. Tu n’es plus mon mari, tu ne baises plus, car tu portes un dispositif de chasteté permanente. Tu es notre domestique, mais le fait de porter une ceinture de chasteté donne le droit à mes amants de te baiser. Leur sexe remplacera la carotte que tu aimes tant. Tu deviens vide-couilles et tu nettoieras toujours après leur passage. Dans cette solution, tu peux être aussi une femme, une soubrette.

Je… ne comprends rien à tout ce que tu dis. Chérie, je t’aime. Je ne veux pas que tu me quittes… Je ne suis pas une femme, une soubrette. Je ne suis pas un p.d. !

 Paul se met à pleurer. Il se jette aux pieds de Lisa et pleure, comme un enfant, dans ses cuisses. Lisa lui caresse les cheveux.

-Paul, moi non plus, je ne veux pas que tu me quittes. Mais je crois que tu te trompes en disant que tu n’es pas une femme. Tu ne baises pas comme un homme et tu as des envies de femme. Tu aimerais être sailli. Ce que j’aimerais, mon chéri : c’est que tu choisisses la dernière solution. Deviens notre soubrette castrée et soumise. Tu jouiras toi aussi en sentant les gros sexes de mes amants en toi et tu seras débarrassé de ton petit sexe si ridicule. Je sais que tu es p.d. dans le savoir. Je t’offre la possibilité de réaliser ton rêve le plus secret. Nous serons toujours ensemble et tu seras une fille. Je sais que parfois, tu mets mes culottes en cachette. Accepte et tu pourras en porter tout le temps !

Paul lève vers Lisa ses yeux rougis.

Tu sais pour les culottes ?

Bien sûr ! Tu ne les remets jamais en place correctement, ainsi d’ailleurs que mes soutiens-gorges. Ecoute, voilà ce que je te propose. Je vais passer la soirée avec Nils. Nous allons profiter de ton petit dîner. Puis nous viendrons ici et nous ferons l’amour. Toi, tu vas être enfermé dans le bureau. Tu vas profiter de ce temps pour réfléchir et pour aller visiter un site porno particulier sur Internet. Quand Nils part, je t’ouvre et tu me dis qu’elle est ta décision.

Vous allez faire l’amour ici ?

Oui, Nils vient tous les soirs : du dimanche au jeudi depuis 6 mois. Il dort, mange et baise ici, chez toi, dans ton lit.

Bien !

 Paul ne trouve rien d’autre à dire. C’était une réponse aussi ridicule que la situation présente. A-t-il le choix ? Sans doute pas. Il ne veut pas la quitter. C’est vrai qu’il aime s’habiller en fille ? C’est vrai qu’il est un amant minable. C’est vrai qu’il a toujours pensé qu’il aimerait connaître le sexe d’un homme entre ses fesses à la place de la carotte hebdomadaire.

 -          Je n’ai pas le choix apparemment ! Tu connais des sites pornos sur Internet ? Depuis quand ?

J’aime le sexe et durant les longues soirées où tu étais absent, j’ai surfé et découvert un site dans lequel je suis bien et où j’ai des amis.

 Lisa se penche et embrasse son mari sur la bouche. Puis elle le relève et l’entraîne dans la pièce voisine.

Tu peux faire ce que tu veux, même te masturber. D’ailleurs, je voudrais que tu retires tous tes vêtements et que tu me les donnes.

Tous ?

Tous. Tu vas rester tout nu. Nils ne te verra pas, sauf si tu le veux !

Euh… non. Je ne sais pas !

Hum, tu aimerais peut être que Nils te voit nu tout à l’heure.

Non… Pourquoi crois-tu que j’aimerais. Tu ne trouves pas que tu m’as déjà humilié devant lui suffisamment !

Je pense mon petit Paul que tu aimes être humilié. Sur le site Internet où tu vas aller, tu vas rencontrer des hommes comme toi. Simplement, eux savent qu’ils aiment vivre ainsi. Toi, pas encore. Mais quand je te propose que Nils te voie nu, tu hésites.

… Non… Oui. Je ne sais plus. Ce soir tout ce que je savais de toi, de nous a volé en éclats. Que sais-je de moi, de ce que je veux ou souhaite ?

Moi, je te connais plus que toi-même. Je sais ce dont tu rêves. J’ai beaucoup discuté sur mon site. J’ai parlé avec des hommes, des femmes et des couples qui vivent et connaissent ce que nous vivons ou allons connaître. Crois-moi. Je sais ce qui est bien pour nous. J’ai une idée ! Au lieu de te poser la question après le départ de Nils. Je viendrais te la poser avant son départ. Si tu acceptes, tu viendras tout nu devant lui pour nous la dire. Et là, tu verras ! tout sera simple et beau pour nous trois ! Je t’écris l’adresse du site sur ce bloc. Voici aussi l’identifiant et le mot de passe. Une fois sur le site, tu devras te présenter en tant que « paul » sans majuscule. Les personnes présentes sur le site te guideront à tout comprendre.

 

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Pola - Communauté : Récits Erotiques X
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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 13:30

Le site Internet : « Chastes soumis » !

Paul retire ses vêtements. Lisa jette un regard amusé sur son bas ventre.

Regarde, tu ne bandes même pas !

Comment le pourrais-je ?

Oui, tu vois bien que même cela ne te fait pas bander ! Passe une bonne soirée. Je ferme la porte à clé. Ne sois pas sage ! Sois toi – même, enfin !

 Paul se retrouve dans le noir. Il n’a aucun vêtement à sa disposition. Machinalement, il porte la main à son sexe. C’est vrai qu’il est mou et tout petit, pense-t-il !

Paul allume l’ordinateur. La lumière bleutée de l’écran éclaire son corps. En plus de bander mou, Paul n’est pas très costaud. Ce Nils est bien plus baraqué que lui. Le système a démarré. Il double-clique sur l’icône d’Internet. Il entre l’adresse du site. Ses doigts tremblent légèrement.

Quand il était jeune, il lisait parfois des revues pornos qu’il trouvait. Il se masturbait et trouvait qu’il avait le plus joli sexe. Il tremblait toujours en le faisant. S’il avait été une femme, il aurait aimé ce corps ! S’il avait été une femme. C’est vrai que cette idée de devenir une femme a toujours été en lui. Maintenant Lisa voudrait, elle aussi, qu’il devienne une femme.

Le site apparaît à l’écran. Paul a un choc ! En dessous du nom du site : « Chastes-soumis », une photo montre un homme à genoux, les mains attachées dans le dos, les cuisses écartées. Son sexe est enfermé dans une cage en plastique transparente. Il porte une cagoule sur le visage et des pinces sur ses seins. Sous la photo, une inscription invite les curieux à passer leur chemin. Une petite fenêtre apparaît qui demande un identifiant et un mot de passe. Paul recopie les informations de Lisa et clique sur le bouton « OK ». La page s’efface et le site s’ouvre sur la même image, mais l’homme ne porte plus la cagoule. Son visage exprime le bonheur d’être photographié devant tout le monde, au risque d’être reconnu. Paul est désorienté. La partie gauche de la page est occupée par des boutons donnant accès à des menus. « Messages », « Forums », « Galeries », « Annonces », « Outils », « Documentation », « Liens ». Paul n’a pas l’habitude d’aller sur Internet et encore moins sur les sites pornos. Par où commencer ?

 Une nouvelle fenêtre s’ouvre brusquement !

Bonsoir Dame Lisa ! je suis honoré de Vous savoir parmi N/nous ce soir !

C’est un message qui vient de s’afficher. Il porte un nom « soumyves ». Lisa lui a dit de se présenter. C’est peut-être le moment. En examinant la fenêtre, il s’aperçoit qu’il peut répondre juste en dessous. Les doigts tremblant de plus en plus, il écrit :

Bonsoir monsieur. Je ne suis pas Lisa, mais Paul, son mari.

Paul remarque que sa réponse vient de s’inscrire sous la première ligne. Après quelques secondes, une réponse s’affiche.

Bonsoir paul. Enchanté de faire ta connaissance. Dame Lisa nous a beaucoup parlé de toi. Nous désespérions de te connaître. Sans doute, Dame Lisa ne t’a pas expliqué les comportements de politesse et de bienséance du site. Si tu le veux, je vais te conduire un peu.

Oui merci monsieur.

Pas de monsieur entre nous. Dame Lisa nous a dit beaucoup de choses sur toi. On sait ici que tu es impuissant : tu es un sous-homme. Comme moi et comme tous les sous-hommes présents ce soir et membres de ce site. Je t’explique :
Ce site regroupe des membres masculins dotés d’attributs sexuels insignifiants ou inopérants. Nous sommes donc des sous-hommes. Les étalons sont ceux qui sont par contre dotés de beaux attributs sexuels. Seuls ces étalons ont le droit d’honorer les Femmes. Ce sont des Dominants. Tu remarqueras que j’utilise des majuscules et des minuscules. Ce n’est pas par hasard…

Oui Lisa m’a dit de faire attention et d’écrire en minuscule mon prénom.

Tu dois tout écrire en minuscules puisque tu es un sous-homme. Certains disent aussi une lope et même une lopette quand ils appartiennent à des hommes. En tant que sous-hommes – je dirais lope à l’avenir -  le droit d’utiliser notre zizi nous est formellement interdit. Nous portons tous une ceinture ou une cage de chasteté et nous n’avons même pas le droit à l’éjaculation. Nous n’avons pas de sexe masculin, aussi nous désignons ce qui pend entre nos cuisses en disant zizi, nouille, vermicelle… au choix. Certains d’entre nous n’ont plus aucun sexe, d’autres ont un sexe féminin : leur chatte c’est-à-dire leur anus. Quand ils ont une chatte anale, les lopes deviennent femelles. Je suis une lope femelle. Les Femmes sont toutes Dominantes et chacun de nous doit obéissance et respect à toutes les Femmes et tous les étalons. Tous les Dominants peuvent nous ordonner, nous commander et nous punir. Toutes les lopes sont au service de Tous et de Toutes. Aucune lope ne peut par contre donner des ordres aux autres lopes. Est-ce que tu comprends ?

Oui yves ! je comprends.

Bien, mais dis-moi lope yves ou lope tout court, si tu veux bien. Tu dois vouvoyer les Dominants et tutoyer les lopes.

Oui lope yves. Je suis donc moi : lope paul ?

Oui pour le moment, mais tu vas devoir attendre que ta Maîtresse te baptise ou qu’Elle demande aux membres Dominants de le faire lors d’une cérémonie d’intronisation.

Une cérémonie d’intronisation ?

Oui ta Maîtresse t’expliquera elle-même cet acte important et obligatoire. Par ce même acte, Dame Lisa deviendra Maîtresse aussi.

 Paul découvre un monde complètement ignoré de lui. Comment Lisa a-t-elle découvert ce monde secret ? Comment y est-elle venue ? Paul n’a jamais soupçonné que sa femme pouvait avoir ses rêves secrets, là !

 -          Tu vas commencer par demander une connexion provisoire. Tu vas en haut à droite et tu demandes à t’inscrire. Tu vas devoir mettre un nom d’identifiant et un mot de passe. Ta Maîtresse devra connaître ces paramètres. Je reprends contact avec toi ensuite.

 Somyves met fin à la conversation. Paul, toujours tremblant, clique sur la demande d’inscription. Il marque lope paul comme identifiant et comme mot de passe. La connexion est faite automatiquement.

Bravo lope paul ! C’est bien de mettre lope dans ton identifiant. Tu corresponds bien à ce que tu as dit de toi Dame Lisa. Tu as déjà été saillie ? Au fait tu préfères que je parle de toi au masculin ou au féminin ?

Lisa…

Non fais, attention ! Sois toujours respectueux : tu dois dire Dame pour une Dominante et Maîtresse pour la tienne.

Maîtresse Lisa voudrait que je devienne une soubrette castrée et soumise. Elle veut que j’appartienne aussi à son amant.

C’est super : tu as déjà « couché » avec un homme ?

Non jamais !

Tu vas voir c’est très bon de sentir un Dominant qui te transperce la chatte et qui t’inonde de sperme. Moi, tous les amants de ma Maîtresse m’ont saillie. Je suis une lopette depuis peu, car ma Maîtresse m’a vendue à un Maître. Je suis donc une femelle et je vais bientôt être baptisée avec un nom de femelle : ce sera gladys.

Tu as été vendue ?

Oui

C’est possible ? Moi aussi, je pourrais être vendue ?

Cela dépend du contrat que tu signeras avec ta Maîtresse. Moi, c’était dit dans le contrat d’esclavage que j’ai signé. Dans mon nouveau contrat, c’est aussi le cas. Mon Maître peut me vendre, me louer, me prêter ou me prostituer.

Merde !

Attention lope, tu viens de dire un gros mot. C’est formellement interdit aux lopes qui doivent surveiller leur langage. Je vais être obligé de le dire à ta Maîtresse.

Pardon lope yves, je ne savais pas.

Ce n’est rien lope paul. Maintenant que tu as une idée du site, je te propose de faire un tour tranquillement pour visiter chaque rubrique puis rejoins-nous sur le forum. Tu feras connaissance avec les membres présents. Moi je te quitte, car je suis responsable du forum et je dois être présente.

D’accord lope yves ! A tout à l’heure !

Paul, cette fois, met fin lui-même à la conversation. Il clique sur la rubrique « Galeries ».

Une page s’ouvre sur une planche contact où apparaissent les visages des différents membres avec leur nom dessous. Un nom et une photo attirent immédiatement son attention. « Lisa et paul ». Une photo d’eux en maillot de bain, prise l’an dernier en vacances au bord de la mer est visible. Paul clique sur l’image. Une nouvelle page s’ouvre dans laquelle il découvre plusieurs photos d’eux très surprenantes. La première image est celle prise au bord de la mer. Ce jour-là Lisa – Maîtresse Lisa, voulait faire du naturisme. Cela avait étonné Paul qui n’aimait pas se mettre nu en public. Lisa l’avait entraîné dans des dunes et avait fait une photo d’eux en maillot de bain en calant l’appareil sur une clôture protégeant les plantations de la dune. Puis elle avait voulu que Paul la prenne enlevant son soutien-gorge puis une autre sans slip – toute nue. Puis ce fut son tour. Paul se rappelle être rouge de honte en retirant son maillot et en exposant son sexe – non il faut dire zizi – au soleil et à la vue de tous. Heureusement , il n’y avait personne.

C’était ces photos qui étaient sur le site. Les visages étaient floutés, mais Lisa les avait exposés sur un site Internet tout nu ! Un petit commentaire accompagnait les photos en introduction :

« paul est un mari presque impuissant. Incapable de bander dur et longtemps, il balance sa purée claire tout de suite. Bientôt paul sera une bonne lope, car paul adore se faire enculer. Que pensez-V/vous de lui ? ».

Des commentaires venaient répondre à cette question :

« paul doit rapidement être castré et sailli »

« paul est une lope qui a trop de poils »

« j’aimerais voir son cul : il doit avoir une chatte agréable à prendre »

« Dame Lisa est superbe Elle ne mérite pas une lope pareille. Il faut la dresser rapidement, je peux m’en charger »

Paul a la gorge sèche en lisant les commentaires. Machinalement, il a prit son zizi en main et il se caresse. Son zizi bande un peu. Paul a tout à coup honte de lui, mais il sent monter une excitation nouvelle. Lisa avait sans doute prémédité son coup avec les photos l’été dernier. Cela veut dire qu’elle y vient depuis longtemps. Beaucoup de gens ont déjà vu paul nu et le pire c’est qu’il est excité et qu’il a envie de se masturber. Lisa a dit qu’il pouvait le faire.

Il clique sur plusieurs galeries. Elles sont toutes présentées de la même manière. Il peut voir des photos de Dominantes nues : de belles femmes et d’autres moins belles. Mais il est surtout attiré par les photos des hommes, des lopes. Certains sont entièrement rasés. Presque tous portent des cages de chasteté comme sur l’image d’accueil. Plusieurs ont les seins percés par des anneaux. Une série montre des zizis percés. Paul sent que son zizi gonfle de plus en plus. Dans une série, paul voit un homme couché sous une femme qui lui pisse dessus. L’homme a la bouche grande ouverte. Il boit de la pisse ! Dans une autre série, un homme est attaché dans un pré et il est sailli par un cheval !

Paul ne se contrôle plus. La tête lui tourne. Son zizi bande comme rarement depuis longtemps. Il se masturbe. C’est bon ! Paul aime se masturber. Il préfère presque cela à faire l’amour, car en se masturbant il peut aller lentement et prendre son temps. Une nouvelle série montre deux hommes attachés ensemble qui subissent du fouet. Puis ils sont écartelés tout en étant attachés par le gland de leurs zizis qui sont percés par des anneaux et reliés par une chaîne lourde. Deux femmes sont derrière eux et enfoncent des battes de base-ball dans leur cul !

Paul est au bord de la jouissance. Derrière la porte, il entend Lisa qui passe. Elle parle fort à Nils. Ils viennent d’arriver dans la chambre. Nils doit prendre Lisa, car elle crie de jouissance. Ils font l’amour derrière la cloison. Lisa fait l’amour à un homme et paul est là derrière impuissant, comme toujours, encore plus que d’habitude et pourtant il bande. Lisa est en train de jouir. Paul aussi. Sans le vouloir, il crie lui aussi. Il éjacule devant lui. Le sperme tombe sur le carrelage. Paul continue à se masturber encore alors que son zizi a déjà ramolli et repris sa taille minuscule.

Paul ?

C’est Lisa qui l’appelle.

Oui chérie ?

Oui Maîtresse ! imbécile !

Pardon !

Tu as éjaculé ?

Oui Maîtresse !

 Cela semble irréaliste. Paul parle à sa femme à travers la cloison. Elle dans leur chambre avec son amant et lui tout nu dans le bureau qu’il lui avoue qu’il vient de se masturber.

 -          C’est bien ! C’est la dernière fois, peut–être, aussi que tu le faire ! Tu vas lécher ton jus maintenant. Mets-toi à quatre pattes pour le faire, en écartant les fesses.

Oui Maîtresse !

Fais-le tout de suite ! Avale tout. Je vérifierais qu’il ne reste aucune trace tout à l’heure.

Oui Maîtresse !

 Paul se met à quatre pattes. Il a la tête vide. Il écarte les cuisses, ouvre ses fesses. Il sent un air frais sur son anus. Il réalise alors qu’il aimerait recevoir sa carotte dans le cul. Il est tout excité. Il avance son visage près de la flaque de sperme. Il a déjà goûté une ou deux fois à son sperme. Il n’y a jamais trouvé beaucoup de plaisir. C’était pour essayer. Il pourrait faire croire à Lisa qu’il l’a fait et essuyé avec un linge, mais il réalise qu’il n’a rien pour essuyer. Seulement sa langue. Il est coincé !

Paul ouvre sa bouche et sort sa langue. Il touche le sperme qui a déjà refroidi au contact du carrelage froid. Il lape une première fois. Le sperme se dépose sur sa langue. Il se redresse et rentre sa langue. Il avale. Un goût salé, un aspect gluant. Ce n’est pas bon – ce n’est pas mauvais non plu. Il recommence. Petit à petit, la flaque disparaît. Il a tout léché. Il a léché du sperme – son sperme !

 -          Alors c’est fait ?

Oui Maîtresse.

Tu aimes avaler du sperme ?

Oui Maîtresse

 Paul vient de répondre sans réfléchir. Il entend Lisa et Nils éclater de rire dans la chambre voisine.

 -          Si tu es sage, lope, tu goûteras le mien bientôt !

 C’est la voix de Nils que Paul vient d’entendre. Nils lui promet son sperme à lui. Paul va vraiment devenir une lope, une soubrette. Il sent qu’une nouvelle érection commence à poindre. Il est excité de savoir qu’il va devenir la femelle de l’amant de sa femme !

 -          Oui Maître !

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je crois que Paul vient de prendre une décision ! Paul veux-tu que j’ouvre la porte maintenant ? Es-tu prêt à nous donner ta réponse ?

Oui Maîtresse

 Paul entend sa femme qui se lève. Elle vient devant la porte du bureau et tourne la clé. La porte s’ouvre et Lisa lui apparaît toute nue dans l’encadrement de la porte.

 -          Paul, je suis fière de toi et je t’aime. Elle s’approche de lui et le prend dans ses bras. Elle sent l’odeur de l’amour. Tu vas voir, nous allons réaliser nos rêves les plus fous et les plus excitants. Nous le ferons ensemble ou séparément, mais ce sera super !

Séparément ?

Ne t’inquiète pas. Je ne t’abandonnerais jamais. Mais, parfois, tu connaîtras des sensations fortes sans que je sois présente. Tu verras !

Oui Maîtresse.

 Paul réalise alors que, tout à l’heure, lope yves lui a dit qu’elle pouvait être prêtée, louée ou prostituée par son Maître. Devait-il s’attendre à la même chose ?

 -          Mets-toi à quatre pattes et suis-moi !

 Paul obéit et suit docilement Lisa ; arrivé dans la chambre, il voit Nils couché dans son lit, tout nu. Son sexe est au repos, mais il est impressionnant en longueur et en grosseur. Lisa rejoint son amant et prend son sexe dans sa main.

 -          Tu vois ce qui me fait jouir vraiment. Tu comprends que tu es maintenant à ta vraie place !

Oui Maîtresse.

Nous t’écoutons lope !, dit Nils. Que veux-tu devenir ?

Je veux devenir une lope. Je renonce à être le mari de Lisa.

Tu acceptes de perdre totalement et définitivement tes droits d’homme

Oui Maître

Bien ! tu acceptes de devenir une femelle, de jouir, de vivre et de souffrir en femelle ?

Oui Maître

Tu acceptes de signer un contrat d’esclavage pour le reste de tes jours en renonçant à tous tes droits d’homme libre ?

Oui Maîtresse

Acceptes-tu d’être une lopette ? Sais-tu ce que cela veut dire ?

Oui Maître. Une lopette appartient à un Maître.

Oui c’est cela !

Oui Maître.

Tu sais qu’en devenant une lopette : tu dois vivre, même à ton travail en femelle. Tu devras satisfaire toutes les envies de ton Maître et de ses amis hommes. Tu devras aussi satisfaire tout ce qui porte un sexe mâle et qui bande.

A mon travail Maître ?

Oui même à ton travail !

Mais comment ferais-je ?

Tu vas changer simplement de travail et aller dans une boîte qui prend des lopettes comme toi.

Oui Maître.

Bien sûr, dit Lisa, tu renonces aussi définitivement à faire l’amour à une femme.

Oui… Maîtresse.

Tu hésites ?

C’est dur de renoncer à faire cela !

Mais tu y as déjà renoncé depuis toujours puisque ton zizi n’a jamais été capable de le faire.

 Paul regarde Nils. L’homme lui sourit et paul se sent rougir de confusion.

 - Oui Maîtresse j’y renonce aussi.

 Nils se lève et va prendre dans une mallette un collier de cuir et une chaîne. Il s’approche de Paul et lui passe le collier au cou. Puis il attache une laisse au collier et tire sur la laisse.

 -          Viens chienne !

Paul suit Nils jusqu’au lit. Lisa s’est assise et a ouvert ses cuisses, découvrant son sexe luisant de mouille.

 -          En tant que lopette, tu dois toujours nettoyer tes Maîtres. Lèche ta Maîtresse.

 Paul avance sa langue et la pose doucement sur le sexe de Lisa. Il lèche. Mélangé à la mouille, il reconnaît le goût du sperme. C’est presque le même que le sien. Sauf que là c’est celui de Nils, de son Maître. Pendant ce temps Nils, tout en tenant la laisse, s’est placé derrière Paul. Paul sursaute en sentant quelque chose effleurer son anus. Un doigt. Celui de son Maître caresse l’entrée de son cul. Le doigt s’éloigne et revient. Il est humide.

Lope, je mouille ta chatte. Je vais te saillir. Acceptes-tu d’être saillie ?

Oui Maître ! dit Paul entre deux lèches.

Je vais te pénétrer et éjaculer en toi sans préservatif. Acceptes-tu d’être fécondée chienne ?

Oui Maître, j’accepte d’être fécondée.

Bien ! Tu es désormais une femelle. Tu t’exprimeras uniquement au féminin. A cette seconde tu n’es plus un homme, mais une femelle soumise. Ton cul devient ton seul sexe.

 Nils s’accroupit et présente son sexe turgescent devant l’entrée. Paul instinctivement écarte ses fesses et cherche le contact avec le gland de son Maître.

 -          Salope ! on dirait que tu as fait cela toute ta vie ! Tu as vu chérie, elle s’ouvre toute seule et cherche à venir.

Oui mon cœur, je t’avais dit que c’était un p .d. Mais je ne savais pas à quel point. C’est une vraie putain !

Oui, ça tombe bien !

 Paul sent le gland qui pèse sur son entrée. Nils appuie un peu plus et le gland commence à pénétrer. Paul sent la verge s’enfoncer toujours plus profond en lui. Il aime ! Il découvre qu’il adore être enculé. C’est ce qu’il a toujours voulu ressentir. Il sait maintenant qu’il sera ce qu’on veut qu’il soit. Qu’elle soit. Une putain ? Oui. Une salope ? Oui aussi ! Tout ! Absolument tout !

 Nils est en lui maintenant. Il commence à ressortir pour mieux le pénétrer. Paul a l’impression qu’il va chaque fois plus loin en lui. Nils accélère ses mouvements. Paul lèche de manière désordonnée la chatte de sa femme. Non ce n’est plus sa femme, c’est sa Maîtresse !

 -          Quel nom allons-nous donner à cette salope ?

Je ne sais pas encore mon cœur. Nous allons aller sur le site pour l’inscrire au catalogue.

Bonne idée. Allons-y maintenant !

 Nils se retira d’un coup sec !

 -          Ne t’inquiète pas salope. Tu vas être fécondée. Mais devant des spectateurs ! Je veux que tout le monde sache ce que tu es !

 Paul ne dit rien. Il ne savait pas comment tout le monde allait pouvoir le voir se faire enculer, mais il était prêt pour cela !

 

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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 13:32

Une nouvelle femelle est accueillie!

C’est à quatre pattes que Paul rejoint pour la deuxième fois de la soirée le bureau. La laisse tenu par Nils, Paul avance docile et soumis. Lisa suit les deux hommes. Elle n’en revient pas de la facilité avec laquelle Paul s’est soumis. Il dépasse de loin tous ses pronostics. Depuis plus de 2 ans déjà, elle est membre du site. Au début, elle est venue y chercher des réponses aux impuissances de son mari. Elle cherchait à savoir en quoi le fait de lui enfoncer une carotte dans le cul suffisait à lui donner une petite virilité. Elle a très vite compris que beaucoup d’hommes étaient comme son mari. Au fur et à mesure des discussions, elle a même durant un temps « dressé » un homme en virtuel. Tous les soirs, elle faisait de lui ce qu’elle voulait. L’homme était aussi docile que Paul ce soir. Elle le faisait mettre nu à la fenêtre de chez lui. Il avait dû acheter des sous-vêtements de femme. Lisa s’amusait bien avec lui et rapidement découvrit qu’un homme comme lui jouissait du plaisir de ne plus bander. Il avait acheté une cage de chasteté et devant elle à l’écran, il avait ouvert le paquet qui contenait le cadenas, mis les clés dans une enveloppe qu’il avait expédiée chez Lisa. Elle n’avait plus de contact avec lui depuis 3 mois, car il avait dû être hospitalisé, mais il reprendrait sûrement contact avec elle quand il rentrerait. Elle avait aussi connu Nils sur le site. Durant des semaines, ils avaient discuté en chat avec Cam. Ils avaient découvert ainsi qu’ils habitaient dans la même ville et étaient sortis ensemble un soir. L’attirance avait été immédiate.

 Nils connaissait donc déjà Paul avant d’être l’amant de Lisa.

 -          Arrête-toi là ! Mets-toi à genoux en écartant les cuisses et place tes mains sous tes seins, paumes ouvertes et orientées vers le haut. C’est un signe d’offrande et de soumission. Ecarte tes cuisses davantage.

Oui Maître !

 Nils se dirige vers l’ordinateur. Il allume la lampe du bureau et demande à Lisa d’allumer le plafonnier de la pièce. Paul se retrouve inondé de lumière. Nils disparaît dans la chambre et revient avec deux peignoirs. Il en tend un à Lisa et enfile le deuxième. Paul note que c’est son peignoirs qu’utilise Nils. Mais dorénavant, il sait que tout ce qui lui appartenait a disparu. Il a accepté tout à l’heure de tout perdre.

Nils se branche sur le site avec son identifiant. Lope yves, comme tout à l’heure est là pour l’accueillir.

Bonsoir Maître Nils. Heureuse de Vous revoir.

Bonsoir lope. Qui est sur le forum.

Tout le monde est là Maître.

Bien annonce à T/tous que je vais me brancher en Cam. J’ai une inscription au catalogue à proposer.

Bien Maître. La lope paul sans doute ?

Oui lope c’est cela ! Comme d’habitude, les lopes doivent être bloquées en participation.

 Paul avale sa salive. Que peut bien être cette inscription au catalogue ? Nils a cliqué sur le bouton du forum. La fenêtre qui apparaît est constituée d’une quantité de petites fenêtres qui occupent le pourtour de l’écran. Le centre reste noir. Nils effectue quelques manipulations et le centre s’éclaire. Il représente à présent l’intérieur d’une pièce très éclairée avec un homme nu à genoux. Paul réalise alors que c’est lui qui est à l’image. Nils s’approche du micro et se met à parler.

 -          Bonsoir à Tous Dames et Sirs. Merci d’être là, fidèles à nos soirées si agréables.

Plusieurs voix saluent Nils par un « Bonsoir à toi Nils ».

Certaines voix saluent également Lisa. Ce qui prouve que pour tous les membres Nils et Lisa sont bien un couple officiel. Lisa répond à son tour en saluant particulièrement certains membres plus connus. Durant quelques minutes, plusieurs conversations se croisent. Paul reste immobile et silencieux. Son regard est entièrement centré sur sa propre image sur l’écran. Actuellement tous ces gens le voient tout nu et dans cette position dégradante et humiliante. Paul regarde maintenant un à un les visages des membres présents. Ils sont de tous âges et des deux sexes.

 -          Je Vous propose mes amis d’inscrire au catalogue des lopes soumises et castrées, une nouvelle femelle. Celle qui est actuellement à genoux derrière moi. Vous savez sans doute de qui il s’agit qui ce soir nous a surpris. Dame Lisa a merveilleusement exploité la situation pour obtenir de la lope qu’elle nous rejoigne. Il y a quelques minutes à peine la lope a accepté son statut. Vous allez pouvoir l’entendre de nouveau. Puis comme d’habitude, Vous la baptiserez et elle sera fécondée devant Vous. Je précise que je l’ai déjà ouverte : elle est très bonne et accueillante.

 Lisa prend à son tour la parole.

 -          Mes amis ! Voilà déjà deux ans que je Vous parle de mon ex-mari. Ce soir ce cher paul nous a fait l’honneur de nous préparer un bon dîner et de s’offrir à notre communauté. Ayant dû attendre longtemps le moment favorable pour cette inscription, je voudrais Vous proposer une inscription particulière. Après le baptême et la fécondation. La lope sera mise aux enchères. Je vais écrire un nombre précis sur un morceau de papier que je garderai en permanence visible à l’écran durant tout le temps de la cérémonie d’inscription. Ensuite, Vous pourrez faire des enchères en proposant un nombre. Celui ou celle qui donnera le nombre le plus proche du mien pourra à sa convenance disposer de la lope durant 8 jours complets. Je choisis un nombre à 3 chiffres.

 Lisa n’a pas fini de parler qu’un tonnerre d’applaudissements retentit dans les haut-parleurs de l’ordinateur. Paul blêmit de honte et de peur. Lisa ne perd pas de temps pour prêter sa lope à ses amis.

 -          Ma chère Lisa, tu es géniale. Peut-être pourrions-nous ajouter cette pratique à nos prochaines inscriptions. dit Nils.

Oui ! absolument dit une autre voix. Et je propose que toutes les anciennes inscriptions fassent l’objet d’une mise à niveau.

Lope yves intervint.

 -          Chères Dames et chers Sirs ! Je peux immédiatement mettre en place un sondage sur cette question si Vous le désirez.

Oui, fais-le ! répondit Nils. Bien, revenons à notre sujet de ce soir.

 Nils se tourne vers Paul.

 -          Paul ! tu vas maintenant à haute voix nous redire ce que tu as accepté tout à l’heure. Sache que parmi nous une lope secrétaire va prendre en sténo tout ce que tu vas dire et rédigera un contrat que tu iras ensuite signer chez un notaire demain matin. Ce que tu vas dire t’engage donc définitivement. As-tu bien compris ?

Oui Maître, j’ai compris !

Avant de commencer, intervient une voix. Tu n’as, à compter de cette minute, plus le droit de dire « je ». Puisque tu vas devenir une lope soumise et castrée, tu perds toute dignité jusqu’au droit de te considérer comme une personne. Tu dois donc t’exprimer à la troisième personne : celle des insignifiants, des chiens et des esclaves humains. Tu vas utiliser le « je » pour la dernière fois dans ta déclaration.

Bien Monsieur !

On dit Sir, paul aux Dominants que l’on ne connaît pas.

Pardon Maître ! Bien Sir !

Veuillez excuser chers amis sa mauvaise connaissance de nos règles.

Ce n’est pas lui qui est coupable, mais lope yves qui a mal fait son travail. Sitôt le sondage en ligne, elle sera punie.

Bien, commençons ! Dis une autre voix encore. Lope yves sait ce qui l’attend. Cela va être un deuxième plaisir ce soir. Commençons !

 Lisa s’approche alors de paul.

Si tu veux encore renoncer et partir, tu le peux. Mais ensuite, tu ne pourras plus jamais faire machine arrière. Car ton contrat sera publié ici et tenu en lieu sûr chez le notaire. Si jamais tu voulais rompre le contrat, il serait publié et placardé partout avec en prime la vidéo qui va être enregistrée de ta déclaration. Tu seras alors un homme fini.

Je ne veux pas renoncer ! dit paul en regardant dans les yeux une dernière fois sa femme. Je le fais parce que je t’aime et t’aimerais toujours et parce que tu m’as fait découvrir ce soir le monde dans lequel j’aurais toujours voulu vivre. C’est mon cadeau de « divorce ». Je te donne ma vie !

 Lisa embrasse Paul sur la bouche une dernière fois. Tous les deux savent que plus jamais cela n’arrivera. Nils se détourne, car, sans le montrer, il est touché par les paroles d’amour que vient de prononcer cet homme qui va renoncer à toute dignité pour sa femme et qui va s’enfoncer dans un monde de tourments et de souffrances, mais aussi de grandes jouissances. Il approche la webcam et le micro de paul, vérifie que le cadrage et la lumière sont bons, fait un dernier essai de micro. Tout est prêt ! dit-il enfin.

 Paul écarte ses cuisses au maximum, replace ses mains sous ses seins et commence :

 -          Je renonce dès cet instant et pour tout le reste de ma vie, en sachant que jamais je ne pourrais, ni ne voudrais, revenir en arrière pour être un homme. Je renonce à la virilité que je n’avais guère. Je sais que mon zizi ne servira plus jamais qu’à faire pipi. Je renonce à ma liberté totalement, Je renonce à tous mes droits. J’accepte de devenir UNE esclave. J’accepte d’être castrée. J’accepte d’être battue, punie, marquée sévèrement. Je désire devenir une femelle, une soubrette, une lope ou une lopette selon le bon vouloir de mes Maîtres et Maîtresses. Je sais que je suis dès maintenant la propriété de toute la communauté ici présente et à venir. Je ne pourrais jamais refuser ou dire non ou me défiler. Je sais que je serai pour cela toujours punie sévèrement et je demande à être punie deux fois pour chaque faute. J’ai trouvé enfin ce soir ma vraie place. Je suis un sous-homme, un inférieur et je mérite d’être ce que je suis et là où je suis.

 Paul baisse la tête et se met à pleurer en silence. Un deuxième tonnerre d’applaudissements retentit dans l’ordinateur. Lisa sourit fièrement. Plusieurs personnes la félicitent.

 -          Mets-toi à quatre pattes et montre ta chatte, ton sexe désormais à tes Maîtres. Paul se tourne et offre le spectacle de ses fesses ouvertes aux spectateurs.

 Nils se place de côté et avec ses doigts se met à fouiller l’anus de paul.

 -          Vous remarquez mes amis que sa chatte est luisante, car j’ai déjà ouvert la voie. Regardez la souplesse du vagin.

 Mettant ses doigts en tenailles inversées, Nils, d’un doigt de chaque main, ouvre l’anus de la lope. Paul a un anus élastique et souple. Le fruit du travail de plusieurs centaines de carottes. Paul s’est toujours enculé depuis son enfance. Son cul sait ce que veut dire s’ouvrir et recevoir le phallus.

 -          Comment allons-nous appeler cette lope ? Faites vos propositions. Le gagnant proposera, comme d’habitude, la première punition.

 Plusieurs noms s’inscrivent sur l’écran : paula, pola, polux, pute. Le vote est en direct et les pourcentages montent rapidement sur chacun des noms. Nils continuait à assouplir et ouvrir la chatte de paul. Lisa s’est accroupie en face de sa tête qu’elle coince entre ses cuisses. Paul ne doit ni voir ni entendre ce qu’on lui prépare. Elle en profite pour lui malaxer les tétons. Cette caresse rude donne des envies à paul qui sent son zizi gonfler un peu. Il a toujours eu cette réaction quand on lui pince les tétés : il bande.

Le vote cesse.

Le nom qui arrive en tête était « pola ». Son auteur explique qu’il a pensé à ce nom sigle. En effet pola pouvant signifier : « Pute Ouverte Largement de l’Anus ». C’est désormais le seul état civil de la nouvelle lope et il lui va comme un gant.

Nils se place derrière pola et présenta son sexe devant la chatte de pola. Il la déplace légèrement afin que tous puissent assister à la fécondation. Lisa retire ses jambes et libère la lope de sa tenaille.

 -          Ton nom est désormais et pour le reste de ta vie « pola : p – o – l – a » Tu te présenteras toujours en disant lopette pola.

Oui Maître lopette pola est heureuse de son nom.

Bien que demandes-tu maintenant ?

Lopette pola demande à être fécondée Maître.

Tu sais que je vais le faire sans préservatif !

Oui Maître.

Acceptes-tu pola de toujours être fécondée par les membres de notre communauté sans préservatif ?

Pola marque un temps de silence.

 -          Oui Maître lopette pola accepte.

Bravo. Tu es courageuse et obéissante. Sache que les membres qui te féconderont sans protection seront toujours autorisées à le faire, car elles auront démontré à ta Maîtresse Lisa qu’elles peuvent le faire sans risque pour toi. Les Dominants ont tous les droits sur toi, mais ils ont aussi le devoir de préserver ta vie et ta santé. Quand tu seras saillie et fécondée, tu sauras que tu peux l’être sans risque aucun.

 Nils présente son gland gonflé de désir devant l’entrée et pousse, cette fois, d’un coup sec. Il va se planter immédiatement au fond du trou anal de la lope. Pola pousse un cri étouffé, surprise par la rudesse de la pénétration. Nils s’active en elle. Il la prend sauvagement. Il se couche sur elle et lui attrape les tétons qu’il pince furieusement. Pola a mal de partout, mais en même temps elle jouit comme jamais avant. Des commentaires vont bon train sur l’écran, mais tous s’accordent à dire que la nouvelle femelle est une bonne lope et qu’elle va plaire. Pola jouit ! Elle sent tout à coup que quelque chose se passe au niveau de son zizi. Elle doit être en train de pisser sans doute, car elle sent un liquide s’écouler d’elle lentement. Elle n’a jamais connu cette sensation avant. Mais Lisa s’en aperçoit. Elle passe la main entre les cuisses de son amant et de la lope et recueille quelques gouttes du liquide.

 -          Chers amis, la lope a joui, mais a fauté aussi, car elle vient de lâcher le jus interdit.

 Pola vient d’éjaculer sans bander et sans aucune sensation de jouissance et de plaisir. Nils se retire d’elle, la contourne et la gifle brutalement. Pola reçoit la gifle sans dire un mot tellement elle est surprise. Un goût de sang lui emplit la bouche. Des larmes lui montent aux yeux. Jamais elle n’a été giflée par un homme. La gifle la rend femelle définitivement. Ce sont les femmes que l’ont gifle. Et tout cela devant plein de gens qui regardent et apprécient. Jamais non plus elle n’a été sodomisée !

Nils l’attrape par les cheveux et l’oblige à lécher le jus sur le sol. Pola lèche avec application son propre sperme. Puis Nils l’oblige à se retourner et la reprend par-derrière. Il s’active avec fougue. Son va-et-vient devient de plus en plus rapide. Il explose et libère son sperme qui envahit la cavité anale de pola. Elle est désormais une vraie femelle fécondée. Nils se dégage sans attendre et, face à elle, lui relève la tête et lui présente son sexe. Pola sait ce qu’elle doit faire. Elle l’a déjà fait plus tôt. Elle suce son Maître et le nettoie.

 Lisa demande, pendant ce temps à lope yves où en sont les résultats des enchères. La lope publie immédiatement les résultats. Tous les participants ont émis une enchère à trois chiffres. Lisa déplie alors le papier et le montre à la webcam : 609.

Lope yves se charge spontanément de vérifier et bientôt le gagnant s’affiche sur l’écran.

Voilà Dame Lisa. Comme convenu, pola passera 8 jours chez Notre heureux gagnant : Sir Lievin.

Bravo mes amis. Je propose Sir Lievin de me contacter rapidement pour connaître la période où pola sera à Vous. J’aimerais que Vous dressiez, pola selon votre plaisir et votre humeur. Comme Vous l’avez entendu, elle accepte tout ! Menez là sur le chemin de la déchéance et de l’esclavage total.

 Pola a fini de nettoyer son Maître. La tête lui tourne. Elle réalise qu’elle va vivre 8 jours, 1 semaine loin de Lisa et qu’elle va connaître le S.M. dans toutes ses tendances. Elle se met à trembler de peur et se remet à pleurer.

 -          Dames et Sirs, intervient lope yves. Qu’elle est ma punition pour ma faute impardonnable ?

Les participants hésitent, un moment puis Maître Janus déclare :

Je propose que lope yves soit mise au pilori durant 24 h en place publique avec chatte ouverte. Afin de contrôler l’exécution et d’assurer sa sécurité qui la prend avec lui ?

Les membres du groupe acceptent très rapidement. Maître Fabert se propose alors de venir la chercher d’ici une demi-heure. Lope yves déclare qu’elle est déjà prête et attendra dehors son Maître. Fabert ajoute que la lope sera au pilori dans 45 minutes.

 Lisa donne le bonsoir à tous et coupe la communication en webcam sans interrompre la connexion.

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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 13:33

Une première journée en lope!

Nils sort de la pièce et revient bientôt avec de la corde et du ruban adhésif. Il demande à Lisa d’aller prendre une couverture et un coussin. Nils attache chaque poignet de pola avec la corde et la fixe solidement avec le ruban adhésif. Puis il relie les poignets au collier de cuir que pola porte toujours autour du cou. Maintenant pola a les mains à hauteur de ses seins. En aucun cas, elle ne peut se toucher le zizi et se donner du plaisir. Nils lui ordonne de se coucher sur la couverture que Lisa vient d’apporter dans le bureau.

 -          Je vais laisser l’ordinateur allumé pour que tu voies lope yves sur son pilori. Sache que cela t’arrivera aussi sûrement quand tu seras désobéissante.

Oui Maître.

Je ne veux pas t’entendre. Tu as le droit de te lever pour aller aux toilettes uniquement. Dès que le jour se lève, tu ne dois plus bouger. Tu te mettras sur le dos, les cuisses ouvertes et la nouille offerte. Tu resteras sans bouger. Si je viens te voir dans la nuit. Tu te mets immédiatement dans la même position. Vas-y montre-moi !

 Pola se couche sur le dos et écarte ses cuisses. Elle éprouve un sentiment étrange, nouveau et doux. Elle a conscience de la signification profonde de cette position. C’est celle du chien qui marque sa soumission. Son petit zizi est vraiment minuscule et pitoyable. Nils approche la main. Pola a un mouvement de recul instinctif. Mais Nils lui caresse seulement. Sa main est douce et chaude. Pola aime se faire toucher par une main d’homme. Elle découvre un plaisir nouveau et inattendu. Nils se relève et sort en éteignant les lumières. Pola reste seule avec juste la lueur de l’écran. Elle reste sans bouger, les cuisses ouvertes pour prolonger la douceur de la caresse. Sur l’écran, plusieurs membres semblent discuter. Le centre de l’image reste noir pour l’instant.

 Soudain, le bureau se fait plus lumineux. L’écran s’est enrichi d’une image centrale. Une femme bedonnante apparaît. Elle est habillée d’une robe rose très courte qui lui enserre la taille en la boudinant. Elle vient près de la Cam et salut en baisant les yeux. Cette femme est en fait un homme. La future gladys sans doute ! La soixantaine passée, les cheveux blancs et bouclés, lope yves se déshabille entièrement. Dessous, elle porte un soutien-gorge, un panti et des bas de contention. Elle retire tous ses vêtements sauf les bas. Sa poitrine est bien développée du fait du gras qui la sangle. Son zizi est encore plus petit que cela de pola. Il dépasse à peine du bas ventre. Une autre personne apparaît à l’image. Maître Fabert. C’est, par contre, un jeune homme. Tout au plus 25 ans. Il porte des lunettes et fait penser à un étudiant. Il porte un pantalon de cuir et des bretelles de cuir pour toute chemise. Il amène un véritable pilori comme on utilisait au moyen-âge. Lope yves passe sa tête et ses mains dans les trous et Maître Fabert referme la planche qu’il cadenasse des deux côtés. Il montre la clé à la caméra et l’accroche à un crochet inaccessible pour la lope. Il fixe ensuite ses chevilles à une barre qui lui écarte les pieds et l’oblige à se cambrer fortement. Maître Fabert baisse la planche afin que la cambrure soit moins forte et que la lope se retrouve penchée en avant. Ses fesses s’ouvrent et laissent apercevoir sa chatte offerte lisse et parfaitement propre. Maître Fabert prend un objet métallique que pola connaît mal. Cela ressemble à un tube qui s’ouvre en deux et s’écarte. Sans être certaine, pola croit avoir vu ce genre d’ustensile chez le gynécologue de Lisa – de Maîtresse quand, pola était le mari de Lisa. Oui, c’est bien cela : un spéculum. Maître Fabert enduit le spéculum de pommade et introduit le bout entre les lèvres anales du vagin de la lope. Lope yves fléchit légèrement les genoux au contact du métal. Maître Fabert poursuit son introduction rapide puis écarte les deux mâchoires. Pola voit la lope se cambrer, sans doute, sous la douleur de l’ouverture profonde qu’elle est en train de subir. Le Maître complète son dispositif de punition par des pinces munies de poids qu’il suspend aux tétons charnus de son esclave. Il se tourne ensuite vers la caméra et salut les membres du groupe avant de se retirer de la pièce. Lope yves reste seule. Pola a du mal à croire qu’elle va devoir rester ainsi 24 heures !

 La nuit est longue et pénible. Pola a du mal à trouver le sommeil. Elle n’a pas l’habitude de dormir par terre, à la dure. Elle a toujours détesté le camping. Le froid du carrelage monte même à travers la couverture. Et puis, que de changements depuis le matin. Comment aurait-elle pu imaginer ce matin, en se levant, pour aller prendre son train, qu’il serait devenu elle dans la journée et qu’elle connaîtrait tant d’humiliations , mais aussi de plaisirs et de souffrances, en une seule journée. Pola pense aussi sans arrêt à Lisa ! Sa Maîtresse désormais. Lisa dort en ce moment même avec un homme sous leur propre toit et ils font sans doute l’amour en ce moment, sans se soucier de lui – non d’elle. Cocue ! Elle est cocue, le sait, l’accepte et en est malheureuse et heureuse à la fois ! Elle repense à la déclaration qu’elle a faite devant des dizaines d’inconnus. Les mots lui venaient naturellement. Oui naturellement – c’est bien le mot. Il était naturel qu’elle dise cela un jour.

 Tout au long de cette longue nuit, pola regarde très souvent la lope sur l’écran. Elle est toujours « pendue » à son pilori. Il semble que son Maître ait aménagé son supplice, car elle a le buste allongé sur une planche. Cela doit lui soulager le dos et lui permettre de reposer un peu ses jambes. Les poids pendent toujours des seins qui se sont allongés sous la traction permanente et la chatte est toujours grande ouverte par le spéculum. Pola remarque que le ventre de lope yves s’est débarrassé de quelques fluides corporels. Un tas sombre est au sol derrière elle. Pola se demande qu’elle sera la réaction de son Maître demain !

Le plus dur est de se lever pour aller faire pipi. Pola doit faire de gros efforts pour cela. Se lever sans les mains est très compliqué. Elle s’applique à ne pas faire de bruit. Arrivée aux w.c., nouvelle difficulté. Comment faire pipi sans en mettre partout. Son zizi « froissé » ne gicle pas droit. Elle essaie de se plier un peu sur ses cuisses, mais le jet part un peu dans tous les sens et elle en met à côté et sur la planche. Elle ne peut même pas essuyer. Penaude, elle retourne sur sa couverture. Le couchage est aussi difficile que le lever.

Au petit matin, pola est réveillée quand elle entend son Maître se lever. Immédiatement, elle se met sur le dos et écarte les cuisses. Elle aimerait que la Cam soit allumée pour que tout le monde puisse la voir,comme hier soir. Elle est prête pour accueillir son Dominant. Nils passe devant le bureau et jette un œil. Puis se dirige vers la cuisine. Il fait soudain irruption dans le bureau et attrape pola par les cheveux et tire pour l’obliger à se lever. Il attrape la laisse et l’entraîne rudement derrière lui. Il la mène devant les toilettes.

 -          Qu’est-ce que c’est, sale truie ?

Pardon ! en voulant faire… , j’ai fait à côté.

 Une gifle part immédiatement dans sa figure, suivie d’une autre, mais située sur son bas-ventre. Pola a l’impression d’être éventrée par la douleur. Le coup a porté directement sur les testicules. Pola a le souffle coupé.

 -          Le « je » t’est interdit salope ! C’est pardon Maître ! Et enfin, tu dois pisser comme une femelle : tu t’assoies sur la faïence directement. La planche est réservée aux Dominants. La seule différence c’est que femme pisse de face et toi de dos uniquement. Tu dois faire tes besoins en te cachant. Tu as compris lope ?

Oui Maître !

Bien ! A genoux putain !

 Pola se met à genoux devant Nils. La douleur est toujours là. Nils lui attrape les cheveux, une nouvelle fois, et l’oblige à se courber. Quand elle a le visage au raz de la faïence, Nils lui dit :

Lèche maintenant ! Tu vas nettoyer tes salissures sur la cuvette et parterre avec ta langue.

 Pola veut se lever et refuser cet ordre. Cela dépasse ses limites. Non, elle ne veut pas faire cela. Elle tente de faire non avec la tête. Mais Nils augmente sa pression de la main. Il plaque avec force la tête de pola contre la cuvette des w.c.. Pola se cogne la lèvre supérieure. La cuvette est froide et sa bouche est sur une flaque de pisse. Pola réprime un frisson de dégoût. Elle est coincée. Lécher de la pisse ! Non, elle ne peut pas faire cela, jamais !

 -          Je te rappelle que tu as renoncé hier soir à toutes tes libertés et que tu t’es donnée à tous. Tu n’as pas le choix. Sinon, tu pars tout de suite et tu ne reviens jamais. Décide. Je compte jusqu’à trois. Un… , deux….

 Pola sort sa langue et lape très vite la première flaque.

 -          Avale aussi.

 Pola a envie de vomir en avalant. Mais n’ayant rien avalé depuis hier midi, elle n’y arrive même pas.

Pourquoi pola s’est-elle décidée ?

pola ne veut pas tout arrêter, car elle sait que c’est cette vie qu’elle a toujours voulue. C’est vrai qu’elle a tout accepté hier. Tout, même l’inacceptable, comme en ce moment ! Puisque c’est désormais le genre de vie qu’elle aura, elle doit lécher la pisse. Elle sait, à cette seconde, qu’elle fera désormais tout ce qu’on lui dira de faire.

 -          Continue ! Nettoie toute la cuvette puis le sol. Attend, je vais te détacher les mains pour le faire.

 Nils coupe la cordelette et libère les mains du cou. Pendant ce temps, Lisa réveillée par le bruit, arrive et assiste en frissonnant à la scène. Pola en se tournant, aperçoit son ex-femme. Le sentiment de honte refait surface et elle rougit. Mais elle vient d’accepter tout. Alors elle se tourne et offre ses fesses à ses Maîtres. Elle lèche maintenant le sol en prenant soin de bien écarter les fesses. Curieusement, le fait que Lisa soit là, donne à pola du plaisir à le faire. Devant Lisa, elle a toujours honte, mais encore plus de plaisir à s’humilier.

Lisa, elle, détourne rapidement les yeux et repart. Elle aussi a envie de vomir. Jamais elle n’aurait pensé que son mari pourrait être cela.

 Une fois le nettoyage terminé, Nils ordonne à pola d’aller dans la cuisine et de préparer le déjeuner. Pola se lève et disparaît dans la cuisine. Lisa s’y trouve.

 -          Maîtresse ?

Oui pola !

Que prend le Maître le matin ?

 Lisa et pola sont aussi gênées l’une que l’autre. C’est la première fois qu’un matin se déroule ainsi depuis le début de leur histoire.

 -          Du café ! Pour le reste c’est comme pour moi. Tu nous sers au salon !

Oui Maîtresse.

 Lisa sort de la pièce et rejoint Nils. Pola les entend discuter de manière vive. Elle se concentre sur sa tâche. Elle sort un plateau et dispose tout ce qui est nécessaire à un bon petit déjeuner. En sentant l’odeur du café, elle réalise qu’elle a faim. Peut-elle manger elle aussi ? Le Maître n’a rien dit. Elle n’a pas envie de connaître rapidement la même douleur au bas-ventre. Elle a encore mal d’ailleurs. Elle ne touchera pas une miette du déjeuner. Mieux vaut mourir de faim !

 Pola apporte le plateau fumant au salon. Lisa est dans les bras de Nils. Ils se câlinent. La discussion semble finie. Pola pose le plateau et va pour se retirer.

 -          As-tu mangé quelque chose dans la cuisine ?

Non Maîtresse.

Bien ! Tu n’auras droit qu’à deux repas par jour. Le matin et le soir. Rien à midi. Le repas du soir sera limité et contrôlé. Mais le matin tu pourras manger ce que tu veux sauf si tu es punie. Aujourd’hui, tu es punie et tu devras attendre ce soir.

Oui Maîtresse.

Mets-toi à genoux, les cuisses ouvertes et les mains sur la tête pendant que nous mangeons.

 Pola obéit et assiste avec la faim au ventre et la douleur au bas-ventre au repas de ses Maîtres. Elle se sent de plus en plus chienne. Tout en déjeunant, Nils et Lisa bavardent. Leur sujet de conversation est bien sûr pola. Ils parlent comme-ci pola était transparente.

 -          Tu la rases entièrement puis tu l’habilles.

Crois-tu que je vais trouver sa taille ?

Oui, elle n’est pas très grosse. Pense à prendre un peu serré, car elle va perdre du poids. Pas question de garder une lope grasse.

Tu as réservé pour les piercings ?

C’est fait. On t’attend à 11 heures.

Bien. Et toi, tu reviens quand ?

Normalement demain matin. Le trajet est toujours plus long dans ce sens.

Je n’aime pas être toute seule jusqu’à demain ici avec elle.

N’aie crainte, elle ne pourra rien faire.

 Nils finit son petit déjeuner, se lève et embrasse Lisa. Il passe devant pola sans un regard. Lisa pensive, reste à table. Elle mange machinalement. Nils s’habille très vite et après un dernier baiser, claque la porte.

Lisa se tourne alors vers pola.

Tu vas débarrasser, ranger et nettoyer. Puis tu me rejoins dans ma chambre.

Oui Maîtresse.

 Lisa sort de la pièce. Pola se lève et accomplit sa tâche. En prenant le bol de Nils, elle le porte à ses lèvres et lèche le bord. Un frisson la parcourt. Un moment, elle est tout à la pensée que peut-être Lisa va la libérer de ses tourments et qu’ils vont faire l’amour dans leur lit. Pleine d’espoir, elle se dépêche et tout ranger et se présente devant la chambre. Déception ! Lisa est déjà habillée. Sur le lit ouvert aux draps froissés, pola découvre un soutien-gorge, un porte-jarretelles et une paire de bas. Pola reconnaît ces vêtements. Paul les avait offerts à Lisa pour son anniversaire. Mais Lisa a toujours refusé de les mettre. Le soutien-gorge était trop petit et elle ne voulait pas mettre cet ustensile qu’elle jugeait barbare et dégradant.

 -          Tiens regarde ce que j’ai retrouvé. Je te les donne. Mais d’abord, tu vas aller t’allonger sur le bureau.

 Pola prend les vêtements et retourne dans le bureau. Lope yves, toujours à l’écran est dans la même position. Son Maître est là. Il a un fouet à la main et martyrise les fesses de la lope. D’après la couleur des fesses, la fessée a commencé depuis un moment. Lope a les yeux fermés, des larmes coulent et elle semble souffrir beaucoup.

 -          Hum la lope a l’air de jouir. Allonge-toi sur le dos et écarte tes jambes.

 Lisa tient un rasoir, une serviette, une cuvette d’eau et de la mousse à raser. Elle attaque le rasage complet de pola en commençant par les jambes. Puis elle remonte au pubis, le ventre. Elle termine par les bras et la barbe. Puis pola se tourne et Lisa rase intégralement la partie arrière de son corps.

 -          Tu ne dois avoir aucun poil. Dans quelque temps, tu iras te faire épiler au laser. Mais pour aujourd’hui cela va suffire. C’est fini ! Viens te doucher !

Pola se lève et suit Lisa à la salle de bain. Elle ouvre la porte de la cabine de douche.

 -          Laisse la porte ouverte et n’utilise que l’eau froide !

L’eau froide ?

Oui !

Mais, Maîtresse, je…. Pola craint l’eau froide ! elle ne peut pas…

Ta gueule. Ouvre le robinet ! Mouille-toi, savonne et rince en silence.

 Pola obéit et ouvre le robinet. L’eau est glacée et le supplice est immense. C’est presque plus difficile à faire que de laper la cuvette des toilettes. Pola se savonne et se rince très vite. Paul passait de longues minutes sous de l’eau bouillante. Cela aussi est bien fini.

Lisa tend une serviette à la lope qui s’essuie en grelottant.

 -          Bien ! Tu vois que ce n’est pas si difficile !

Oui Maîtresse.

Suis-moi !

Lisa retourne dans le bureau et fait signe à pola de se remettre sur le bureau. Une fois en place, elle attrape un ceinturon qui était posé à côté du rasoir et que pola n’a pas vu tout à l’heure.

 -          Tu as fauté cette nuit. Et ce matin, tu as commis plusieurs erreurs. Tu as aussi failli refuser d’obéir à ton Maître. Tu as été punie de déjeuner, mais la punition n’est pas terminée. Je vais te fouetter la nouille que tu as entre les cuisses. Sois tu restes immobile et tu reçois 10 coups. Soi tu bouges, je suis obligée de t’attacher et tu en reçois le double.

Maîtresse, lope pola a déjà très mal au sexe !

Tu viens de gagner 5 coups de plus pour avoir dit un mot qui n’a pas de sens pour toi. Un sexe, toi !!!

 Sans aucune préparation, Lisa lève le ceinturon et applique le premier coup sur la verge molle de pola. Nils lui recommander d’y aller doucement pour les premiers coups. Pola ne réagit pas au premier. Elle appuie un peu le deuxième : pola bouge légèrement. Le troisième puis le quatrième tombent. Pola commence à gémir. Au cinquième, Lisa appuie son coup vraiment et là, pola ferme ses cuisses et met ses mains en protection. Lisa n’attendait que cela. Nils lui a dit que pola allait tenter de résister d’abord puis se protègerait. Elle pose la ceinture et prend le ruban adhésif. Elle fixe les mollets aux pieds de la table et les poignets au collier de chien que pola porte toujours. Puis elle monte sur le bureau et s’assoit sur le ventre de pola en lui tournant le dos. Elle reprend son ceinturon.

 -          Donc, tu as bougé. Tu vas recevoir 25 coups et on recommence à zéro !

Non, Maîtresse, pitié !

Non pola ! Tu vas apprendre à obéir, c’est tout !

 Sans écouter les suppliques de pola, Lisa frappe et frappe encore. Elle y met un peu de rage. Elle a honte aussi de faire subir cela à son ancien mari. Mais elle y prend aussi du plaisir. Elle se venge de toutes les jouissances perdues en couchant avec lui. Il l’inondait et la laissait insatisfaite. Elle le sent sous elle qui se tord, souffre. Mais elle sent aussi sa culotte qui s’inonde. Elle jouit elle aussi ! Il reste encore 5 coups à porter. Soudain, pola se met à bander. Lisa n’a jamais vu Paul bander aussi fort. Le zizi est presque impressionnant. Rien à voir avec celui de Nils mais quand même. Lisa est tentée de le prendre dans sa main et de jouer avec. Mais elle résiste. Pola ne doit plus utiliser cet objet. Elle n’aura d’ailleurs plus aucune possibilité de bander dans quelques heures. Lisa continue de frapper le zizi. Il bande toujours et il se met bientôt à s’agiter de petits soubresauts. Lisa n’a plus compté ses coups. Il y en a eu plus que 25. Si elle continue, pola va jouir. Elle s’arrête. Pola crie presque derrière elle. Heureusement qu’elle n’a pas de voisin ! Lisa redescend. Pola est en larmes. Elle geint, elle crie, elle pleure. Son visage est inondé de larmes. Le zizi est toujours dressé droit, mais les tressaillements ont cessé. Tout doucement, la verge retombe molle et flasque. Elle reprend sa taille normale.

Joli chant du cygne pense Lisa. Pour la dernière fois que cette nouille peut bander, elle a donné un beau spectacle. Dommage que la lope ne l’ait même pas vu !

Sans que pola comprenne, Lisa se met à rire. Elle détache sa soumise et l’aide à se relever.

 -          Mets-toi à genoux devant moi.

 Pola obéit en sanglotant, mais sans dire un mot.

 -          Désormais, tu as bien compris qu’il n’y aura jamais de retour en arrière. N’espère plus rien de moi que de la souffrance et de l’humiliation.

Oui Maîtresse ! pola a compris que tout le passé est mort à jamais. Pola est, et sera toujours, pour Vous, une lope soumise obéissante. Pola ne sera plus jamais un homme ni le mari de Maîtresse. Maîtresse peut tout exiger de pola et pola le fera.

Bien pola. Tu vas voir très vite que je vais tout exiger de toi. Maintenant, habille-toi !

Pola enfile maladroitement le soutien-gorge. Il est serré, mais cela va quand même. Lisa règle les bretelles puis lui explique comment mettre les bas et le porte-jarretelles. Pola enfile par-dessus un pantalon et un blouson. Lisa lui donne des ballerines à talonnettes. On voit nettement que c’est des chaussures de femme. Mais Lisa ne fait aucun commentaire et pola s’abstient d’en faire aucun.

 Lisa prend un manteau et elles quittent l’appartement. Dans l’ascenseur, elles ne rencontrent personne. Lisa prend sa voiture. Pola s’assoit à côté.

 -          Serre tes cuisses, pola ! tiens-toi droite, cambre-toi !

 Lisa mène la voiture en centre-ville. Elle se gare dans un parking et les deux femmes se dirigent dans la partie basse de la vieille ville. Lisa s’arrête plusieurs fois pour se repérer. Elle lit les plaques des rues et compare leur nom avec un petit plan qu’elle tient à la main. Pola doit affronter la rue en femme. C’est la première fois. Elle n’ose pas regarder les passants. Elle garde les yeux baissés.

 Lisa entre soudain dans une boutique. Pola est effarée : c’est un sex-shop !

 Ni pola ni Paul n’étaient jamais entrés dans ce genre d’endroits. Lisa semble à l’aise. Le magasin ressemble à n’importe quel magasin : des rayons et des allées. Seuls les produits et les affiches sont particulières. Il y a le rayon des DVD ou des cassettes vidéos pornos soft ou hard. Le rayon des godemichés est plus loin. Un fléchage est présent dans tout le magasin. Sur la droite, des cabines permettent de visionner des films. Sur la gauche, ce sont les vêtements. A côté, des salons d’essayage et plus loin des salons de massage. Lisa se dirige vers un escalier qui descend. Au sous-sol, c’est l’antre du S.M.. C’est ce qui est écrit. Une vendeuse habillée en vamp, tout en cuir et assez dénudée, accueille Lisa et pola.

 -          Bonjour ! Bienvenue. Puis-je vous être utile ?

Bonjour, je désire m’équiper pour cette lope.

 La vendeuse jette un œil vers pola et le détourne immédiatement. Son regard revient vers Lisa.

Oui Madame ! Je suis toute dévouée à vous servir. Commandez et Vous serez obéie.

Bien. Il me faut le contenu de cette liste.

 Elle tend à la vendeuse une liste. La vendeuse consulte la feuille de papier et disparaît après avoir proposé un siège uniquement à Lisa. Pola reste debout à côté. Lisa lui ordonne de retirer son blouson et son pantalon. Pola, le rouge aux joues, se déshabille. Un homme passe devant elles et la reluque. Un regard de Lissa le fait se détourner. Pola est presque soulagée de voir revenir la vendeuse.

 Celle-ci marque un léger temps d’arrêt pour apprécier la vue. Elle porte différents objets dans ses bras.

 -          Voici déjà les premiers éléments :

Une cagoule

Une cravache

Un fouet

Une série de plugs de différentes tailles. Ils sont vendus ensemble afin de s’adapter aux possibilités de la soumise.

Un écarteur buccal

Un spéculum

Des pinces mammaires

Des poids. C’est également un assortiment.

Des bracelets de contention.

4 paires de menottes

une gamelle

 -          Est-il possible que tout cela soit livré chez moi ?

Absolument Madame. Il suffira de donner Votre adresse à la caisse et un livreur sera chez Vous à l’heure qui Vous conviendra. Pour la cage de chasteté, j’ai besoin de connaître la taille.

Je n’ai aucune idée. Le mieux est peut-être que vous voyez directement avec pola !

Oui Madame, en effet !

Pola se recule légèrement en voyant la vendeuse tendre la main vers son bas-ventre.

pola semble nouvelle et peu habituée.

Oui c’est son premier jour !

Puis-je l’aider, Madame ?

Faites.

Merci. Pola n’ait crainte. Je suis moi aussi une soumise. Regarde !

 La vendeuse soulève sa jupe. Elle baisse, ensuite, son string de cuir et offre le spectacle d’un sexe entièrement fermé par des anneaux. Pola regarda sans y croire, tellement il y a d’anneaux.

-          Mon Maître m’interdit la pénétration depuis deux ans. Je m’appelle Nelly.

Nelly prend un mètre de couturière et mesure le tour des testicules et la longueur du pénis. Pola se laisse manipuler rouge de honte.

 -          Suivez-moi Madame. Viens, pola !

 Le trio s’enfonce dans le sous-sol et arrive très vite au rayon des ceintures de chasteté. Il y a le côté femmes et le côté hommes. Du côté femme, une dame est en train de faire son choix. Elle a retiré sa jupe et essaie sur elle différents modèles. Elle jette un coup d’œil à pola et revient très vite à son choix.

 -          Hum ! Il n’est pas grand ! Je pense que le modèle CB 2000 est le seul qui conviendra. Mais il faut le sécuriser. Avez-Vous, Madame, l’intention de la faire percer ?

Oui en effet ! Je vais mettre un Prince-Albert. J’y vais tout à l’heure.

Alors c’est le choix qu’il faut. Voici le modèle en question.

 Nelly sort d’un emballage une cage en plastique transparent composé de deux anneaux dont un est renforcé par une cage et relié par des tiges.

 -          Le système de fermeture est au choix par un cadenas à clé ou à code chiffré.

Quelle est la meilleure sécurité ?

Le code. Il permet de n’avoir pas de clés que l’on peut toujours perdre. Mais pour pola, il faut deux cadenas, car le Prince-Albert doit être cadenassé par devant. Cela maintient le pénis au fond de la cage et rend impossible tout retrait.

Bien je prends ce modèle. Pouvez-vous le placer tout de suite avec un cadenas à code ?

Tout de suite Madame. Je Vous montre comment le mettre.

Vous préférez quelle couleur ? Je l’ai en transparent, noir ou rose.

Le rose fera très bien avec son teint.

Oui Madame. Nelly sourit.

 Nelly ouvre le paquet et en sort les différents éléments. Elle mesure à nouveau la circonférence des parties génitales de pola. Recherche le meilleur anneau. Pour le placer, elle passe l’anneau autour des testicules puis fait rentrer le pénis en l’écrasant. Pola se laisse manipuler. Elle n’a plus aucune gêne. La femme, sa propre ceinture de chasteté à la main, regarde la mise en place. Nelly place ensuite la tige centrale puis la cage elle-même. Elle place ensuite le cadenas.

- Voilà Madame, si Vous voulez bien fermer Vous-même la fixation !

Lisa prend le cadenas et le referme en regardant pola dans les yeux, manifestement satisfaite et soulagée.

 -          Voilà lope ! Désormais ta nouille est définitivement inutile.

Oui Maîtresse, Merci !

Tu verras pola, intervient Nelly. C’est le plus merveilleux cadeau à faire à ta Maîtresse que de renoncer à jouir comme un être humain normal.

 La femme, un peu voyeuse, approche et regarde sans aucune gêne la cage de plus près.

 -          Vous avez des modèles plus grands ?

Oui Madame, bien sûr.

Parce que mon mari a un bidule beaucoup plus gros que cet avorton ridicule.

C’est normal, se permet d’intervenir Lisa. Cette lope n’est pas un homme. Cela se voit d’ailleurs. Elle n’a pas besoin d’avoir quelque chose de plus grand.

Oui en effet. Je trouve que vous avez beaucoup de courage de garder une chose pareille.

Mais vous-même, pourquoi prendre une ceinture pour vous et pour votre mari.

Oh non ! Celle-ci n’est pas pour moi, mais pour sa secrétaire. Ils sont amants. Mais avec ça, ils ne pourront que travailler ensemble…

 Pola assiste sans rien dire à sa déchéance totale. Des femmes parlent entre elles de sa virilité absente et se moquent visiblement d’elle.

 Lisa semble ne pas vouloir continuer cette conversation.

 -          J’ai encore besoin d’une cage.

Une cage animale ?

Oui, c’est cela.

Suivez-moi.

Le trio repart à l’opposé du magasin, laissant la cliente à sa ceinture de chasteté.

Voici les cages. Je me permets très respectueusement de conseiller à Madame celle-ci. Elle convient parfaitement à la taille de pola mais peut être réduite de moitié par une cloison amovible. Le sol est protégé par un plateau qui peut recueillir les salissures et autres déjections. Les mailles de la grille ont une bonne taille pour fixer pola et empêcher qu’elle puisse sortir plus qu’un doigt. La sécurité est totale grâce à un système de fixation hors de portée de l’intérieur. De plus la cage peut être suspendue en permanence.

Elle me semble parfaite. Je la prends.

Bien Madame, elle sera livrée et montée par notre livreur.

C’est parfait. Je crois que j’ai tout ce qu’il me faut.

 Nelly tend à pola le pantalon et le blouson. Pola se rhabille rapidement trop heureuse de ne plus exhiber sa cage de chasteté. La cage fait une bosse sur le devant du pantalon. Lisa ne semble pas l’avoir remarqué. Elle semble plus détendue maintenant. Nelly les raccompagne jusqu’à la caisse. Lisa paie. Le caissier lui indique par un signe sur le ticket le code du cadenas. Il lui remet un autre cadenas à code pour le piercing futur. Les deux femmes sortent du magasin. Pola respire d’un grand coup.

Alors pola, comment te sens-tu ?

Bien Maîtresse.

Pas évident de se montrer toute nue dans un magasin et de faire à savoir à tout le monde que tu es impuissante ?

Non Maîtresse, pola a eu honte.

C’est bien ! Mais tu vas souvent avoir honte maintenant, car tu vas avoir beaucoup d’occasions de te montrer telle que tu es. Je te félicite pour ton obéissance. Je ne te croyais pas capable de ça !

 Lisa n’en dit pas plus. Elle montre la direction à prendre et part. Pola la suit . Le magasin suivant n’est pas très loin. C’est une boutique de fringues. La devanture affiche clairement sa destination. « Chez Sonia, tout pour les trans et TV ».

 -          Ici on va t’habiller un peu !

La vendeuse est sans l’ombre d’un doute une travestie. Sa voix est plutôt grave. Elle est maquillée outrageusement et ses vêtements petits et serrés laissent voir son absence de poitrine et son pénis écrasé sous un pantalon de soie rose presque transparent.

Lisa n’a visiblement pas l’intention de rester longtemps. Elle indique à la vendeuse ce qu’elle désire. La vendeuse, sans insister pour faire l’article, invite Lisa et pola à la suivre. Lisa achète plusieurs soutiens-gorge bien à sa taille, des bas. Deux robes assez courtes ainsi que deux jupes très courtes et deux chemisiers transparents. Pola essaie, rideau ouvert, chaque vêtement. La vendeuse lorgne pendant tout le temps de l’essayage, la cage de chasteté de pola avec des yeux gourmands. Mais elle ne fait aucun commentaire.

Lisa règle et sort. Pola porte les paquets.

 -          Je n’aime pas cette boutique. Mais c’est la seule dans le coin.

Maîtresse est déjà venue ?

Oui lope. Tu n’es pas la première lope que je dresse. Pendant 3 mois, j’ai eu une lope comme toi. Elle ne vit pas très loin d’ici d’ailleurs. Mais depuis que j’ai rencontré Nils, je l’ai revendue à un ami et elle est à l’hôpital pour le moment pour des examens. Nous la rencontrerons sûrement. La fille a essayé de m’arnaquer.

 Lisa n’insiste pas. Pola est surprise d’entendre que sa femme a eu une autre lope.

Lisa repart d’un bon pas. Elles marchent un bon moment avant d’entrer dans un troisième magasin. « Tatoue et piercing ».

 -          Bonjour Jean. C’est moi !

 Lisa se tourne vers pola.

 -          Ici aussi, je suis déjà venue et j’y viens encore.

Bonjour Lisa. Tu es juste à l’heure. Je m’occupe de toi tout de suite.

Bien ! Je m’installe où ?

Va dans le salon 4, j’arrive.

 Lisa parle avec un jeune homme d’une vingtaine d’années tout juste. Lisa se dirige vers le salon 4. Elle s’assoit dans un fauteuil et laisse pola debout.

 -          Retire ton pantalon et ton blouson !

Oui Maîtresse.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Pola - Communauté : Récits Erotiques X
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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 13:33

Chapitre 5 : Percée et tatouée!

Pola est de nouveau presque toute nue. En soutien-gorge et porte-jarretelles et bas, elle exhibe sa cage de chasteté.

 -          Mets tes mains derrière le dos afin de ne rien cacher. Tu dois toujours montrer ce que tu es.

Oui Maîtresse.

 Le jeune homme de tout à l’heure entre et s’arrête un moment pour regarder pola.

Tu as changé de lope, ma chérie ? dit-il en embrassant Lisa.

Oui ! Cette fois je te présente pola. C’est mon ex-mari.

Ah ! Ca y est, tu t’es décidée ! Très bien. Bonjour pola. Je vois que tu as déjà ta cage. Lisa m’a souvent parlé de ta nouille molle. Je vois en effet qu’il fallait la mettre en cage. C’est la meilleure manière de bien la voir.

 Il éclata de rire ainsi que Lisa.

 -          Allez viens ici. Couche-toi ici.

 Il désigne à pola un fauteuil de dentiste.

 -          Bien ! Alors que faut-il lui faire à la chérie ?

Je veux un Prince-Albert avec un anneau derrière les couilles et des mamelons. Un code barre sur le pubis et un logo entre les reins.

Super. Je vais chercher les modèles. Il me faut le code-barre et le logo.

Pour le logo, le voilà. Pour le code-barre, tu peux me faire une inscription sur le registre ?

Pas de problème. Je reviens avec le micro.

Tu vas voir Yann est un artiste. Tu vas avoir le gland de ta nouille percé et un anneau sera placé dedans. Tes seins vont recevoir aussi un anneau.

Mais Maîtresse ! Cela doit être très douloureux sur le zizi !

Oui peut-être, mais cela ne fait rien, n’est-ce pas ?

N’est-ce pas ???

Non… Maîtresse !

 Yann revient. Il pose un ordinateur portable sur la tablette et tape pendant un instant. En attendant une réponse de l’ordinateur, il montre à Lisa des modèles d’anneaux.

 -          Je veux ceux-là pour les seins et celui-là semble bien pour le P.A., non ?

Pour les seins, tu veux lui éclater les tétons ?

Oui !

Alors c’est très bien. Pour le P.A., il faudrait que je voie l’engin, de plus près.

Lisa actionne le code d’ouverture du cadenas et laisse Yann retirer la cage. Pola se laisse faire, sans résistance. Elle a posé ses mollets sur les bras du fauteuil. Elle est devant cet homme, les cuisses ouvertes et offertes. Elle se laisse toucher le zizi par un étranger. Après Nelly, la vendeuse du sex-shop, c’est maintenant Yann qui la touche. Tout le monde peut la tripoter ! D’ailleurs ce n’est pas désagréable de se faire toucher le zizi par un homme !

 -          Oui ! Je vois ! Cela va convenir parfaitement. La sécurité sera totale, je peux te l’assurer. Il…

Elle !

Elle va avoir un peu mal quand je percerai, mais à part cela, tout ira très bien. Je suis sur le site. Tu veux bien entrer les différents éléments pour avoir le code. Moi, je vais commencer par le gland.

 Lisa se met à l’ordinateur et commence à taper sur les touches de manière régulière. Pola ne quitte pas des yeux Yann. Il attache pola avec des sangles puis retrousse le gland et le désinfecte.

 -          Je vais te faire mal, mais cela va être très rapide. Un conseil ne regarde pas. Je t’explique ce que je vais faire. Je vais passer cette aiguille dans ton trou à pipi et ressortir sous le gland par-derrière en perçant le canal urinaire. C’est là que cela fait un peu mal. Avant, je vais t’injecter un anesthésiant local. Tu es prête ?

Oui Monsieur !

Lisa, dès que tu as le code tu l’imprimes, s’il te plaît !

Lisa répond d’un hochement de tête. Pola, un instant distraite par ce que faisait Lisa, sent tout à coup une douleur aiguë.

 -          Voilà, tu vois. Tu es percée ! Maintenant l’anneau… Voilà. C’est fait. Regarde tu as un bel anneau sur ton zizi.

Pola regarde son zizi. Il saigne un peu et un gros anneau lui transperce le gland.

 -          Pola pourra faire… pipi normalement, Monsieur ?

Oui pola, tu pourras faire normalement. Pendant trois semaines, tu dois être désinfectée deux fois par jour et tu dois faire tourner l’anneau régulièrement aussi souvent que tu peux le faire. C’est pour éviter qu’il colle à la plaie et qu’elle s’infecte. Si tu fais bien, le trou sera très beau et très propre. Pour les seins et le périnée, ce sera pareil !

Voilà Yann, j’ai imprimé le code.

Yann  prend le code et le pose à côté de lui. Il désinfecte maintenant le téton gauche. La douleur de l’aiguille est plus grande. La douleur reste longtemps et lance. Puis c’est le téton droit qui subit l’outrage du piercing. Pola a les larmes aux yeux, mais ne dit rien. Elle serre les dents. Yann lui présente enfin un miroir. Pola peut voir deux anneaux assez gros prendre de ses tétons. Pour finir, il perce rapidement la peau du périnée et y pose un dernier anneau plus petit.

 -          Regarde comme elle est belle maintenant !

 Lisa observe pola en souriant.

 -          Le code est SLRN 491-420-315 ! annonça-t-elle. Désormais tu es fichée et reconnue comme lope soumise castrée. Voilà le code-barre.

Tu veux juste le code ?

Non, mets aussi le matricule au-dessus.

Et pour le logo.

Regarde !

Hum ! Joli ! pola sais-tu ce qu’il représente ?

Non, Monsieur !

Regarde lope tu vas avoir un succès fou avec ça !

Yann lui tend un feuillet sur lequel est dessiné le cul d’un homme dans lequel un bras musclé et poilu est introduit dans son anus jusqu’au milieu de l’avant-bras.

 -          Tu peux le dessiner ?

Bien sûr ! Si tu permets, je ferai des photos ensuite et « elle » prendra place dans mon catalogue.

D’accord, mais tu mettras aussi les références de la lope : son nom et son matricule. Si un client est intéressé, il n’aura qu’à aller sur le Registre et trouvera mes coordonnées.

C’est une idée géniale. Bon, je me mets au travail. Si tu veux aller faire des courses, reviens dans deux heures. Elle sera prête.

OK ! Je vais aller faire les magasins. A tout à l’heure !

 Lisa part sans un regard pour pola qui reste attachée à son fauteuil. Yann prépare ses instruments en silence. Pola n’est plus pour lui qu’une toile sur laquelle il va exercer son art. Le temps passe très vite, car pola se concentre tant qu’elle peut le faire sur le travail de Yann. Assez rapidement, une série de lettres et de chiffres puis des lignes noires plus ou moins épaisses apparaissent sur son pubis lisse. Yann tire de temps à autre sur la cage de chasteté qu’il a replacée. Il a aussi mis le deuxième cadenas qui fixe le gland de la lopette. Puis il détache pola et la retourne. Cette fois, il ne l’attache pas. Pola se laisse allongée sur la chaise qui vient de se transformer en banquette. Yann reprend son travail. Il dessine maintenant le logo.

Lisa revient au bout de deux heures, les bras chargés de paquets. Elle s’assoit dans le fauteuil et observe en silence. Une jeune femme vient lui apporte un rafraîchissement. Pola se souvient alors qu’elle n’a pas mangé depuis la veille. Son estomac se tord de contractions.

 -          Voilà ! C’est fait ! annonce Yann.

Lisa se lève et vient admirer le travail.

 -          Tourne-toi lope !

Je l’ai placé un peu haut afin qu’il soit visible même si elle doit mettre un maillot ou autre

Tu es un génie ! Comme toujours, le travail est bien fait. Bravo. Lope, dès que Yann a fini avec les photos, prends la robe rose et habille- toi !

 Pola réalise qu’elle va devoir sortir dans la rue en fille. Elle va devoir rentrer chez elle en portant une robe rose.

Yann, je peux te donner le pantalon et le blouson ?

Bien sûr ! Je peux les donner à un clodo qui vient quelques fois.

Absolument. Si cela t’intéresse, j’ai toute une garde-robe à te donner.

Super, je vais pouvoir habiller mes clodos.

C’est gentil de faire cela !

Oui, mais j’y gagne. Ils se laissent faire quand j’essaie de nouveaux modèles. Ce sont mes cobayes !

Tu as le sens du commerce !

Pendant ce temps, pola a remis son soutien-gorge et ses bas. Elle enfile sa robe. Yann lui tend des compresses stériles.

-          Mets ces compresses sur tes seins. Cela évitera que tu taches ta robe et la cicatrisation se fera plus vite s’il n’y a pas d’irritations.

 Lisa a payé ; Il faut maintenant affronter la sortie. Pola hésite, mais Lisa la pousse littéralement dans la rue. Elle est dehors et tout le monde peut la voir en fille. Pourtant, les gens passent sans marquer le moindre étonnement. Rassurée, pola aligne son pas sur celui de sa Maîtresse.

-          La journée n’est pas encore finie lopette. Nous allons maintenant chez le notaire. Évidemment, tu n’as pas faim ?

Non… Maîtresse !

Je sais que c’est faux, mais tu n’as pas le droit de manger à midi.

Oui Maîtresse, pola le sait.

Moi, j’ai fait un excellent repas au petit resto en face. Une bonne salade de tomates et de concombres avec des filets de rougets et une crème brûlée. Excellent.

Oui Maîtresse…

 Lisa regarde pola en coin et s’aperçoit que son tourment porte comme elle le voulait. Pola a un visage défait. Elle marche à deux pas derrière elle. Lisa aime de plus en plus cette domination qu’elle ne pensait pas pouvoir mener si loin aussi vite.

 Pola a de nouveau une angoisse. C’est vrai qu’une secrétaire a dû mettre son engagement par écrit. Une nouvelle humiliation l’attend sans doute.

L’étude de Maître Brouillard se trouve dans le centre-ville. Les deux femmes sont obligées de traverser toute la zone piétonne. Pola aperçoit quelques regards sur son passage. Elle est rouge de honte, mais avance en essayant de ne pas y penser.

 -          Je crois que tu es repérée lopette ! Regarde les deux mecs là-bas.

 Pola tourne la tête dans la direction désignée par sa Maîtresse. Deux jeunes garçons d’environ 15 ans la montrent du doigt en rigolant. Un des garçons sort son téléphone portable et s’approche. Dès qu’il est assez près, il pointe son téléphone vers elle et prend une photo. Puis il part en courant.

 -          Tu vois, tu es déjà célèbre.

Oui Maîtresse, murmure pola honteuse.

Nous voilà arrivées. Entre là.

 La porte-cochère monumentale, par laquelle elles viennent d’entrer, est entièrement sculptée. Elles pénètrent dans une cour à moitié dans la pénombre. Lisa regarde un instant les boîtes à lettres disposées dans un petit couloir. Elle pointe du doigt un nom et se dirige vers l’entrée d’un immeuble en fond de cour. L’entrée est fraîche. Pola frissonne. Lisa s’arrête devant un ascenseur.

 -          C’est au troisième, enlève ta robe et prend les escaliers.

Pola ne semble pas comprendre. Lisa envoie une paire de claques à pola.

-          Puisque tu es conne, enlève ta robe.

 Pola retire sa robe et se retrouve dans le hall de l’immeuble en sous-vêtements. Elle regarde de tous les côtés, craignant de voir quelqu’un apparaître.

 -          La prochaine fois, tu réagiras plus vite. Maintenant tu montes à pied et tant pis pour toi si tu croises quelqu’un. Cela lui fera des souvenirs de voir une fiotte en soutien-gorge avec une cage de chasteté.

Oui Maîtresse.

 Lisa appelle l’ascenseur et regarde pola monter. Quand elle arrive au troisième, pola est devant la porte de l’ascenseur et attend. Elle est essoufflée.

Tu es montée trop vite !

Pola avait peur de rencontrer quelqu’un, Maîtresse.

Peut-être, mais il va falloir attendre que tu respires normalement maintenant. Mets-toi à quatre pattes en haut des escaliers et écarte tes fesses.

 Pola ne discute pas cette fois, elle se place dans la position voulue et écarte ses fesses. Lentement, sa respiration redevient normale.

 -          Allez, relève-toi et rhabille-toi.

 Pola a, à peine le temps de remettre sa robe que Lisa, déjà, sonne à la porte de Maître Brouillard. Une dame dans la cinquantaine vient ouvrir.

 -          Bonjour mesdames !

Bonjour, je viens voir Maître Brouillard.

Oui, vous avez rendez-vous ?

Monsieur Nils Saransk a téléphoné ce matin.

Absolument, vous êtes Madame Fontaine.

Exactement !

Veuillez vous donner la peine de passer dans le salon d’attente, Maître Brouillard viendra vous chercher.

Merci !

 Lisa s’avance vers la pièce indiquée par la secrétaire.

 -          Euh… Excusez-moi Madame, mais la femme qui vous accompagne n’est peut-être pas habillée correctement…

Ah bon ?

 Pola n’ose se retourner.

 -          Et, selon vous, comment cette « femme » devrait être vêtue ?

Je… euh… suppose que le contrat dont parlait Monsieur Saransk concerne cette personne ?

Tout à fait !

Dans ce cas, Maître Brouillard ne la recevra que complètement nue !

Voyez-vous cela !

Oui Madame, Maître Brouillard n’admet que les personnes de qualité habillées, les autres doivent être totalement nues pour bien montrer leur… soumission.

Mais dites-moi, je vois que vous êtes très au courant des dossiers de votre patron !

Que Madame me pardonne, mais je suis la secrétaire lope qui a pris en sténo la confession de cette lope hier soir.

Ah parfait ! Allez, lope à poils !

 Pola, sans rien dire, vaincue par son devenir, ôta sa robe. La secrétaire reste devant elle et observe le déshabillage.

 -          Maître Brouillard veut les lopes complètement nues !

 Pola retira également son soutien-gorge, ses bas et ses chaussures.

 -          Elle ne retirera pas sa cage par contre, je m’y oppose.

Cela ne sera pas la peine, Madame. La cage est une partie du corps de cette lope, pas un vêtement.

Nous sommes entièrement d’accord.

 La secrétaire disparaît un moment, puis revient avec une cagoule. Elle demande la permission de mettre la cagoule à pola. Visiblement, Lisa n’est pas au courant de ce qui se passe dans cette étude. Néanmoins, elle autorise la pose de la cagoule. C’est une capuche en cuir ne comportant qu’une seule ouverture pour respirer par la bouche. La secrétaire emprisonne la tête de pola et la ferme à l’aide d’une fermeture éclair placée derrière la tête. Pola se sent immédiatement enfermée. Elle ne voit rien. Elle peut cependant respirer normalement grâce à l’ouverture pour la bouche.

 -          Madame doit ordonner à la lope de se mettre à genoux dans la position d’offrande.

Bien merci, est-ce tout ? demande Lisa, visiblement irritée au ton de sa voix.

Oui Madame. J’applique les consignes strictes de Maître…

Bien merci.

 Pola n’entend plus rien. La secrétaire doit être partie. Pola est donc à genoux, les mains paume vers le haut et les cuisses largement ouvertes. Lisa feuillette un journal dont elle tourne les pages nerveusement.

 Le temps passe lentement. Rien ne semble bouger durant un temps très long pour pola. Soudain, une voix forte retentit dans le couloir. Maître Brouillard apparaît enfin dans l’embrasure de la porte.

 -          Bonjour Madame Fontaine. Veuillez excuser mon retard, mais une affaire importante et soudaine s’est présentée. Ah, je vois que la lope est prête.

Bonjour Maître ! Je suis assez surprise de la manière dont les choses se déroulent.

Veuillez entrer, s’il vous plait. Suivez-moi. La lope doit rester ici pour le moment.

 Lisa se lève et sans un regard pour pola, qui n’a pas bougé, suit le notaire dans son bureau.

 -          Bonjour, Lisa ! Excuse-moi ce décorum, mais nous nous connaissons. Je m’appelle Bernard, sur le site.

Bernard ?!! Je comprends mieux maintenant.

Oui, j’avais demandé à Nils de ne rien dire pour te faire la surprise.

Et pour une surprise c’en est une ! Bravo. Mais dis-moi, ta secrétaire…

C’est une lope femelle.

Une lope femelle ??? Comment cela ?

Figure-toi que j’ai mis la main sur la seule femme qui a un clitoris aussi gros que le zizi de ta lope.

Tu es sûr que c’est une femelle ?

Complètement et gynécologiquement certain. Tu vas d’ailleurs pouvoir en juger par toi-même.

Ah bon ?

Oui, je vais la faire venir, car elle assiste à tous les actes notariaux SM.

Mais dis-moi, tu ne l’as jamais montré en Cam ?

Non, justement. Elle s’est donnée complètement à moi et accepte d’être montrée et utilisée par les autres Dominants, mais ne veut pas être vue par les inférieurs.

Pourquoi cela ?

Tu ne l’as pas reconnue ?

Non !

C’est l’ancienne épouse d’un homme politique en exercice. Elle est apparue très souvent avec lui durant ses campagnes et, même si, ils sont divorcés, elle ne veut pas lui faire du tord. Elle me fait confiance et sait que je ne l’exposerais dans sa vraie condition que devant des êtres respectables et sûrs. Par contre, le jour, où son ex sera hors du jeu politique, elle veut être exposée publiquement en affichant sa vraie condition.

Alors là, tu m’en bouches un coin !

Hum, j’aimerai bien t’en boucher plusieurs…

Bernard !!!! Tu sais que je suis avec Nils !

Oui, pardonne-moi ! mais devant tant de beauté, j’ai du mal à résister. Si tu as envie de changer de partenaire, fais-moi signe.

Je prends note, après tout.

Très bien. Bon, on a du travail.

Bernard attrape un cordon dissimulé derrière le rideau de la fenêtre. Quelques instants après, la secrétaire entre.

Maître ?

Entre Caroline. Lisa désire s’asseoir.

Oui Maître.

Caroline se met à quatre pattes et se présente derrière Lisa. Elle baisse la tête et attend. Bernard fait signe à Lisa de s’asseoir sur Caroline. Lisa s’installe en hésitant. Le dos de la secrétaire est très confortable. Caroline se cambre pour offrir le maximum de bien-être à la cliente de son Maître.

Tu vois Caroline est bien dressée. Avant que je fasse entrer la lope, tu vas pouvoir vérifier ce que je te disais à propos de cette chienne. Si tu arrives à la faire bander, elle est à toi.

A moi ?

Oui, absolument. Tu pourras en disposer le temps que tu veux pour ce que tu veux. Caroline n’a aucun tabou. N’est-ce pas chienne.

Oui Maître. La chienne accepte de tout faire aux Maîtres et aux Maîtresses à qui elle est offerte. Que Maîtresse demande ce qu’elle veut.

Mais seulement si tu l’as fait bander.

Elle bande en plus ?

Oui, elle un clitoris aussi gros que le zizi de pola d’après ce que j’ai vu hier soir. Mais elle ne bande pas facilement. Il va falloir que tu la travailles. Si tu t’y prends bien, tu verras le résultat. Pendant ce temps, je vais m’amuser avec ta lope. Tu sais que cela fait partie de la signature du contrat.

D’accord, cela me va. Évidemment, je peux faire ce que je veux pour la faire bander.

Elle est à toi durant tout le temps de la séance avec pola. Si tu n’y arrives pas quand moi j’ai fini c’est perdu.

Le jeu me plait et le risque de gain est bien plus intéressant que les risques de perte qui sont presque nuls.

Je suis bien d’accord.

 Bernard se lève et disparaît. Lisa reste un moment immobile sur caroline. Caroline est vêtue d’une jupe noire plissée assez courte et d’un chemisier blanc boutonné dans le dos. Lisa commence à déboutonner le haut. Caroline reste parfaitement immobile et silencieuse. Le chemisier, une fois libéré de ses boutons, tombe sur les mains de caroline. Lisa passe une main sur le dos de la chienne et la caresse. Elle ne porte pas de soutien-gorge malgré une poitrine généreuse. Elle sent la peau de sa « chaise » se hérisser. Caroline a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans le bureau. C’est plus sûrement dû au plaisir de la caresse douce. Lisa, encouragée par la réaction de la secrétaire, poursuit ses caresses et glisse sa main sur le flanc droit. Puis, lentement elle se rapproche de la poitrine. Caroline ne réagit toujours pas, mais Lisa sent la pointe de son téton droit se durcir au passage de sa main. La femme aime les caresses de Lisa. La Maîtresse observe la nuque de la femme. Elle a les cheveux grisonnants. Sa peau est chaude et lisse, mais l’âge a marqué son passage sur sa peau sur laquelle on peut lire de minuscules rides. La femme prend soin de son corps. Il est parfumé. Elle fait aussi du sport, car, elle me semble pas faiblir sous le poids de Lisa. Elle quitte la poitrine pour revenir aux épaules et aux avant-bras. Ils sont musclés. Pendant un long moment, Lisa ignore les parties sensuelles de la chienne et la caresse sur tout le haut du corps qui lui est accessible.

 Pendant ce temps, Bernard a rejoint pola. Il commence par la fouetter avec sa ceinture. Il aime quand les fesses des lopes sont écarlates. Aussi, il frappe le dos, les cuisses. Tout l’arrière de la lope est rouge et boursouflé. Pola gémit doucement, car au premier cri, Bernard a redoublé de force. Pola a vite compris qu’elle devait subir en silence. Il lui ordonne de se mettre sur le dos et d’écarter les cuisses pour s’offrir. Pola en frémissant, obéit. La séance de fouet continue. Bernard a maintenant une badine. Les coups sont plus précis et laissent des marques fines qui gonflent très vite. Certaines se mettent à saigner. Bernard évite cependant de frapper près des testicules, car il ne veut pas estropier la lope. Elle doit seulement penser qu’à tout moment, elle subira la douleur suprême. Bernard s’applique donc à porter des coups très précis et le plus près possible de la cage de chasteté. Le torse, la poitrine de pola ne sont plus que stries écarlates. Les cuisses prennent vite une belle couleur carmin. En lui même Bernard est épaté par l’obéissance de pola. Il cesse enfin et va s’asseoir dans un fauteuil. Il observe la lope qui pleure en silence tout en gardant les cuisses ouvertes. La position est pitoyable et humiliante, mais pola ne semble plus craindre cette humiliation. Elle est brisée. C’est que cherchait Bernard. Il n’oublie pas son rôle de notaire. Il doit s’assurer que la motivation de la lope est suffisante pour respecter les clauses du contrat qu’elle va signer dans un moment. pola a, elle-même, mis la barre très haute dans sa confession d’hier soir. Bernard veut que tout soit en ordre et la correction qu’elle vient de subir semble de bon augure. Il se lève et oblige la lope à le suivre à quatre pattes.

Lisa est revenue maintenant à la poitrine de la secrétaire. Les tétons sont très durs et pointus. La femme apprécie les caresses. Lisa s’applique à bien remonter les seins sous sa main. Elle s’est mise à califourchon sur elle afin de s’occuper des deux nichons en même temps. Elle synchronise ses mouvements. Caroline gémit doucement. Lisa se tourne. Elle est désormais assise vers son cul. Elle commence par remonter lentement la jupe. Les fesses apparaissent rondes et nues. Caroline, comme toute lope et toute soumise, ne porte pas de culotte non plus. Lisa l’envie presque de pouvoir s’abandonner ainsi et de ne porter que les vêtements que son Maître lui impose. Lisa pense à Nils qui est beaucoup plus dominateur qu’elle. Elle se prend à s’imaginer à la place de Caroline, soumise et obéissante. A cette pensée, elle sent son sexe se tremper. Serait-elle, elle aussi, une soumise ? Elle caresse les deux lobes fessiers en s’appliquant toujours à bien caresser les deux fesses de la même manière et dans le même temps. Elle se rapproche tout doucement de la fente. Ses caresses sont circulaires et lentes. Parfois proche de la raie culière, elle s’éloigne aussitôt pour aller caresser les flancs de la chienne. Puis elle revient. L’antre est proche et la fente est chaude. Lisa sent que Caroline essaie de s’ouvrir pour hâter le contact des mains de Lisa sur son anus. Lisa sourit, car elle sent qu’elle va gagner. Caroline aime sentir cette femme sur elle et elle veut qu’elle aille plus loin. Lisa décide de porter un coup décisif pour vérifier son hypothèse. Sans préambule, elle écarte d’une main, la fesse gauche et de l’autre main, elle caresse directement l’anus. Caroline réagit immédiatement. Elle pousse sur son anus pour l’ouvrir. Elle accepte la caresse et la réclame même. Lisa sait qu’elle va faire bander la chienne qui est sous elle.

 Bernard entre dans la pièce où sont les deux femmes. Il observe un moment et sourit lui aussi. Caroline est chaude à souhait. Bernard connaît bien l’attitude de sa chienne quand elle a les cuisses ouvertes et que sa bouche est aussi largement ouverte. Caroline ne sait pas ouvrir son cul sans ouvrir aussi la bouche. Pola le suit en tâtonnant, car elle est toujours encagoulée. Bernard retire son pantalon. Lisa peut alors observer un sexe encore plus impressionnant que celui de Nils. Bernard est monté comme un cheval. Sa queue est longue et très grosse. Cela paraît presque incroyable. Lisa mouille de plus belle. Elle se penche en avant et laisse tomber un jet de salive entre les fesses de Caroline. Celle-ci réagit tout de suite

Oui Maîtresse !

Bernard fronce les sourcils, car normalement Caroline n’encourage jamais de la voix. Il faut que Lisa ait été particulièrement habille. Il attire pola contre lui en la mettant à genoux devant lui. La vue de Lisa et Caroline l’excite beaucoup. Il ordonne à pola de le sucer. Pola a du mal à le prendre en bouche et dès qu’il bande, la difficulté augmente. Pola n’a jamais pris en bouche un sexe avant de sucer Nils. Mais c’était toujours pour le nettoyer pas pour le sucer. Bernard la guide par de petits conseils tout en observant les deux femmes.

Lisa a enfoncé un doigt puis deux dans le cul de caroline qui gémit toujours très doucement. Lisa sent que la vieille femelle s’ouvre et en demande toujours plus. C’est maintenant trois doigts qui entrent et sortent de son trou merdique. Lisa utilise sa main gauche pour porter son estocade. Elle descend le long du périnée et arrive jusqu’à la fente vaginale. Elle la caresse. Caroline est toute lisse. Elle écarte les lèvres. Caroline est toute mouillée. Surprise !  Lisa sent un gros bouton dur qui se dresse devant elle. Elle enfonce un quatrième doigt dans le cul de la chienne et prend le gros bouton entre son pouce et son index. Elle pince et roule le bouton entre ses doigts. Caroline perd les pédales. Elle ouvre complètement son anus au point que Lisa enfonce lentement sa main dans le trou. Le pouce vient de disparaître et la poignée se rapproche de plus en plus du trou.

-Oui Maîtresse toute la Main Maîtresse, bien au fond… Oui, pincez plus fort s’il vous plait !!

 Bernard, qui bande comme un taureau furieux, n’en revient pas. Il n’a jamais vu et entendu caroline dire cela. Même avec lui. Il semble que Lisa soit une femme et une amante exceptionnelle. La décision de Bernard est prise. Il doit voir avec Nils s’il existe un moyen d’avoir cette femme. Il ordonne à pola de se tourner pour lui offrir sa chatte anale. Il prend un tube de lubrifiant et enduit l’anus d’une grosse noisette de vaseline. Avec son doigt, en imitant Lisa, il ouvre le trou et le graisse. Pola, elle aussi, s’ouvre et s’offre. C’est bien une lope qui n’attend qu’une chose : se faire enculer. Le trou étant bien luisant et ouvert, Bernard s’agenouille derrière sa proie, place son gland devant le trou et appuie. Il progresse lentement, car il sait qu’il a un monstre entre les cuisses et que pola n’est pas encore habituée à recevoir si gros. Il avance millimètre après millimètre. Pola gémit, car elle vient de comprendre que le Maître avait une grosse queue. Mais Bernard a l’habitude et reste prudent. Il fait des poses, ressort puis revient à l’attaque. La chatte de pola est prometteuse. Bernard sait qu’il pourra l’enfoncer complètement en elle.

Lisa a maintenant sa main droite entièrement dans la fente anale de Caroline. Dans sa main gauche, le clitoris, mis à mal par les tenailles de la Maîtresse, vient de grandir tout à coup. Chaque fois qu’elle donne un coup de poignet dans l’anus pour s’enfoncer encore et encore, le clitoris grandit un peu plus. Il doit bien faire maintenant 3 cm. Il grandit toujours. Lisa a désormais assez de longueurs pour le masturber comme elle faisait avant avec le zizi de pola. Elle entame un lent va-et-vient sur le clitoris de la secrétaire. Cette caresse déclenche chez caroline une litanie crescendo. Plus elle crie, plus le clitoris grandit. Il fait maintenant 5 cm. Lisa a un vrai petit pénis dans sa main. Elle continue à masturber le zizi femelle. Caroline encourage sa Maîtresse à continuer.

Bernard est au fond. Ses couilles cognent contre les fesses de la lope. Il entame à son tour le va-et-vient qui va le conduire à l’extase. Il apprécie toujours autant de faire l’amour à une lope. Les culs des lopes sont différents de ceux des femelles. La femelle n’apprécie pas toujours cette pénétration. Elle préfère être prise par devant. Même les femelles comme Caroline, qui pourtant est très anale, accepte son Maître, mais sans y prendre tout le plaisir qu’il voudrait lui donner. Elle n’a jamais joui du cul. Alors que les lopes qui sont privées de jouissance se donnent complètement et la copulation est une extase sans fond. Bernard se laisse aller à la jouissance totale. Il entend Caroline qui s’abandonne, comme jamais elle ne l’a fait. Lisa est la première femme qui fait vraiment bander Caroline, bander à la faire jouir. C’est d’ailleurs ce qui arrive à l’instant. Caroline part dans un long râle et son corps est secoué de puissants soubresauts. Lisa a du mal à rester sur elle. Lisa se soulève et laisse caroline s’allonger sur le côté. Elle tient la main de sa Maîtresse fermement coincée en elle. Lle a contracté ses sphincters. Lisa se demande ce qu’elle veut faire ainsi. C’est Bernard qui lui vient en aide.

Laisse là se retourner, elle veut te montrer quelque chose.

 Lisa accompagne le mouvement de Caroline. Sa main se retrouve un peu tordue sous la chienne qui, avec des mouvements souples, arrive à passer une jambe par-dessus Lisa. Elle est maintenant allongée sur le dos. Elle écarte ses cuisses. Lisa est entre ses jambes, sa main profondément enfoncée dans son cul. Là, elle assiste à la scène la plus belle qu’elle n’est jamais vue. Caroline offre à sa Maîtresse un pénis parfaitement bandé.

Maîtresse, Vous êtes la seule personne en dehors de Maître qui me fasse autant bander. Je Vous appartiens désormais pour le temps que Vous voulez.

Caroline se tourne vers Bernard.

Maître, Vous aviez bien dit que si quelqu’un d’autre arrivait à me faire bander autant, je lui appartiendrais autant qu’à Vous ?

Oui Caroline. Désormais et puisque j’ai vu que tu avais même joui plus qu’avec moi, je te donne à Maîtresse Lisa. Si tu veux lui appartenir totalement, tu es libre de choisir.

Eh attends Bernard. Tu veux dire que tu me donnes Caroline complètement ?

Oui, si tu en as envie toi aussi, bien sûr. Mais tu devras alors respecter les demandes de Caroline.

Lisa reste sans voix. Elle vient pour faire signer un contrat de lopage définitif et permanent à son ancien mari et se retrouve avec en plus une femelle chienne qui bande et qu’elle fait jouir mieux qu’un homme. Et quel homme !

 -          Si tu permets, je vais réfléchir !

A ton aise. Caroline s’est donnée à toi. Tu es libre d’accepter ou de refuser maintenant ou plus tard. Cela ne changera rien pour la chienne qui reste à toi quand tu le veux.

Caroline fixe du regard Lisa. Elle l’implore des yeux tout en sachant que cette attitude est interdite.

Tout en parlant, Bernard, excité par la jouissance de caroline, éjacule longuement en pola. Il est tellement puissant que le sperme ressort en jets du cul de la lope. Bernard ne s’arrête pas de juter en elle. La lope est complètement ouverte et accepte sa queue complètement.

Tu as aussi une lope extraordinaire. C’est rare qu’une lope débutante arrive à me prendre jusqu’à la racine. Pola est une femelle exceptionnelle.

Nous voilà avec deux lopes exceptionnelles. Que fait-on ?

 Bernard se dégage du cul de la lope et lui ordonne de le nettoyer. Pola obéit et s’applique à faire son travail avec minutie. Quand Maître Nils l’a fécondée, c’était merveilleux. Mais avec Maître Bernard elle était au paradis !

 Lisa retire doucement sa main du cul de caroline. La femme gémit. Son anus reste ouvert. Son clitoris débande doucement.

Bernard appelle Caroline qui vient se mettre derrière la lope et qui se met à lécher tout le sperme qui est ressorti et qui a coulé le long de ses cuisses. Quand elle a tout nettoyé, elle vient sur l’anus et enfonce sa langue dans le trou puis elle aspire afin de récupérer autant de sperme qu’elle peut et qu’elle avale aussitôt. Laissant les deux lopes, Bernard, le sexe toujours aussi grand et bandé, prend la main de Lisa et l’entraîne dans la pièce à côté.

-          Assieds-toi, dit-il, tout en nouant un pagne autour de sa taille. Puis il prend un siège. Caroline n’a jamais joui comme cela avant. Tu dois la prendre avec toi. Je suis un peu jaloux, mais je veux que Caroline soit heureuse et elle le sera avec toi.

Mais ce que tu me demandes est impossible. Je suis avec Nils. Pola doit être notre soubrette. Je n’ai pas la place de prendre Caroline avec moi.

Et si je garde pola ?

Tu veux garder pola ? Pourquoi ?

Je préfère depuis longtemps les lopes comme elle. Elles ont la chatte plus accueillante pour moi. Tu as vu comme je suis monté. Pola a tout pris assez facilement et elle a mouillé de me recevoir. Caroline ne l’a pas vu, mais pola a éjaculé sous elle. Je te propose un échange : Caroline contre pola. On signe dès ce soir les contrats. Celui de pola est prêt. C’est caroline qui l’a tapé. Celui de caroline est prêt depuis longtemps, car je savais qu’un jour, je trouverais quelqu’un qui la rendrait heureuse.

Mais je ne suis pas lesbienne !

Tu rigoles. Tu n’as pas vu la manière dont tu la caressais. Tu es une superbe lesbienne. Et avec elle tu n’auras pas besoin de gode en latex. Elle te donnera son pénis chaque fois que tu le voudras.

 Lisa est troublée par les paroles de Bernard. C’est vraie qu’elle a aimé et joui de voir Caroline se donner à elle. Elle a encore la chatte toute trempée. Mais elle aime bien aussi les beaux membres mâles. Elle aime beaucoup Nils qui la traite parfois comme une soumise. Et Bernard n’est pas mal non plus. Mais elle n’ose pas lui dire.

 -          Et… Nils… dans tout ça ?

Nils ? Que crois-tu qu’il fasse en ce moment.

Il est sur la route.

Erreur ma belle.

 A ce moment-là, une porte s’ouvre et Nils entre. Il est vêtu d’un peignoir et tient en laisse une jeune femme asiatique. La laisse ne part pas du collier en métal large qu’elle porte au cou, mais de son sexe.

 -          Nils ???!!

Bonsoir Lisa. Je ne suis pas sur la route en effet.

Mais… Je ne comprends pas !

Je crois que je te dois quelques explications.

 Lisa est complètement désorientée. La tête lui tourne. Elle a l’impression d’être spectatrice d’un film. Devant elle, plusieurs personnes sont présentes. Un notaire en pagne, mais dont le sexe trahit sa présence par une boule gigantesque, un amant en peignoir tenant une superbe créature nue en laisse, un ex-mari habillé en femme et à quatre pattes en train de se faire lécher l’anus par une femme de cinquante ans qui bande comme un petit homme et qui veut lui appartenir.

 -          Si nous buvions quelque chose de fort ?

Bernard Brouillard, notaire de son état et grand pourfendeur d’anus, sent que Lisa est déboussolée. Il essaie de détendre l’atmosphère, car il remarque que Nils ne semble guère plus à son aise.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Pola - Communauté : Récits Erotiques X
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