Ynès

Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:21

Chapitre 15

 Ynès se réjouit de pouvoir descendre en ville. Elle peut désormais aller à sa guise où elle veut. Plus personne ne peut la reconnaître et la trahir. Elle marche dans les rues, fière de ce qu’elle est. Elle sent son harnais sous sa robe courte. Un brusque coup de vent pourrait dévoiler à tous les passants ce qu’elle porte sous son vêtement.

Elle arrive à la clinique sur le coup de 11 heures. Le concierge la reconnait et la salue. Il porte une main à son pantalon en souvenir de leur dernière rencontre. Ynès lui sourit et pénètre dans le bâtiment. Elle doit patienter dans le salon d’attente car Marc est en consultation. La nouvelle secrétaire n’a pas la classe d’Agnès. Elle est moche et sans goût vestimentaire. Elle semble par contre être très efficace car elle traite chaque appel téléphonique en professionnelle et fixe des rendez-vous en fonction de l’urgence de l’appel. La salle n’est pas grande mais elle est pleine. Avant Ynès il y a deux personnes. Une est une vieille dame très digne qui attend patiemment son tour. Elle est comme toutes les vieilles personnes qui ne sortent en ville que sur leur 31. Ynès se demande si elle sera un jour comme cela. L’autre personne est plus nerveuse. Elle souffle beaucoup et s’agite sans cesse sur son fauteuil. Elle est assez jeune et s’habille à la dernière mode. Elle porte notamment une jupe assez courte et chaque fois qu’elle se tourne, on peut voir sa culotte blanche.

Bientôt, la secrétaire fait signe à la jeune qu’elle peut entrer. La jeune femme se lève et s’engouffre dans le cabinet de Marc. Quand elle est partie, la secrétaire se lève et armée d’un chiffon, elle vient essuyer le cuir du fauteuil. Une petite flaque faisait briller le cuir mat. La secrétaire s’aperçoit du regard étonné d’Ynès. Sans interrompre son travail, elle lance :

- Chaque fois qu’elle vient, c’est la même chose. Son mari lui fait l’amour dans la voiture sur le parking de la clinique. Il paraît qu’il est très jaloux et qu’il veut qu’elle est toujours le sexe baveux avant de rencontrer quelqu’un. Chaque mois, j’essuie donc le sperme du mari.

 Sans attendre de réponse, elle regagne son bureau et répond à l’appel téléphonique. La vieille dame n’a pas bougé. Elle regarde toujours droit devant elle. Au bout d’un grand moment, elle se tourne vers Ynès et lui dit :

 - Chacun d’entre nous a ses vices, n’est-ce pas ?

 Sur le coup, Ynès devint toute rouge. Que veut dire cette femme ? Sait-elle quelque chose ? Quelqu’un a-t-il parlé ?

 - Moi, par exemple, je serais curieuse de vous entendre dire quel peut être le mien !

 Ynès soupire intérieurement. Elle ne parle que d’elle, bien sûr !

- Je vous demande pardon ! dit-elle prudemment.

 - Je suis une vieille dame respectable, n’est-ce pas ! Mais, en réalité, je suis une vieille salope que le sexe attire toujours. Je suppose que vous ne croyez pas ce que je vous dis.

 - Oh ! mais bien sûr que si. Vous paraissez être en effet une vieille dame très respectable. Si le sexe vous attire toujours, je ne peux que vous féliciter. Je...

- Vous êtes une coquine qui essaie de ne pas me répondre. Mais j’insiste : Quel est mon vice ?

 Ynès ne peut pas reculer. Elle doit chercher. La secrétaire l’observe, l’œil goguenard.

 - Je ne sais pas voyons... Vous avez plusieurs amants très jeunes ?

 - Non mais vous n’êtes pas si loin de la vérité que cela. Je vous aide un peu. Il est très jeune : si 25 ans est pour vous jeune.

 - Vous avez des relations sexuelles avec un homme de 25 ans !

 - Non pas de relations sexuelles. Pas lui en tout cas... Je vous taquine. Je vais vous dire quel est mon vice.

 La vieille dame se tourne vers la secrétaire et lui dit :

 - Y a-t-il encore quelqu’un qui doit venir ce matin ?

 La secrétaire consulte son agenda et répond par la négative.

 - Vous pouvez fermer la porte alors ?

 La secrétaire se lève et obéit à la vieille dame.

 - Oh ! Je me présente Mathilde de Jonzac. Je suis veuve depuis 40 ans et je me masturbe tous les jours deux à trois fois par jour. J’espère que je ne vous choque pas ?

 - Ynès ... Oboé. Elle a hésité un peu car elle ne porte pas encore ce nom officiellement. Rassurez-vous, j’en ... j’en fais autant.

 - Hum ! Intéressant ! Elle se tourne à nouveau vers le bureau de la secrétaire et appelle d’une voix forte et menaçante.

- Samson ! Au pied !

 Ynès entend du bruit venant de dessous le bureau de la secrétaire médicale et elle voit bientôt apparaître un homme noir entièrement nu, à quatre pattes. Il s’avance rapidement vers Mathilde de Jonzac et se couche à ses pieds en faisant face à Ynès. Il est entièrement rasé et son cou s’orne d’un collier en cuir et d’une laisse dont il tient la courroie de maintien dans la bouche. Son nez est percé par un gros anneau. Mathilde de Jonzac lui donne l’ordre de se dresser. Il obéit immédiatement en jappant doucement. Dès qu’il est sur ses pattes il agite ses fesses. C’est à ce moment là qu’Ynès remarqua le bouquet de plumes d’autruches qui s’agitent derrière lui.

- Samson est un bon chien. Il est obéissant et très affectueux. Remarquez sa belle queue en plumes.

 - Samson, montre la queue à la jolie dame.

 Samson se tourne et laisse Ynès admirer le superbe fagot de plumes qui sort de son cul. Samson n’arrête pas de se dandiner pour que les plumes soient toujours en mouvement.

 - Oui, il est sage parce que le bon docteur Marc doit le châtrer entièrement aujourd’hui. Figurez-vous jolie demoiselle que ce gros chien a violé la douce Pétronille. Pétronille est une superbe beauceronne qui est le petit amour de la Comtesse de Galmier. Vous connaissez peut-être la Comtesse : elle donne chaque année un gala de bienfaisance pour nos animaux à quatre pattes. Le week-end dernier, cet animal a profité que nous bavardions tranquillement au bord de la piscine pour se détacher et pour violer cette pauvre fille qui dormait dans son panier. Nous avons accouru en entendant la chienne hurlait sa douleur. J’ai promis à la comtesse que Samson serait entièrement coupé aujourd’hui. J’avais prévu de le faire depuis longtemps mais je n’arrivais pas à me décider. J’aime beaucoup voir Samson sortir sa queue quand il est excité. Cela me rappelle mon pauvre Grégoire qui bandait comme un dieu. Enfin, il sera plus câlin sans cette vilaine et je serai sûr de pouvoir baiser en paix avec la comtesse sans avoir toujours peur qu’il ne fasse des bêtises. Eh oui que voulez-vous, je suis lesbienne et j’aime avoir ce genre de chien. C’est une bonne race, fidèle et soumise. Il m’a fait beaucoup de peine en violant cette pauvre fifille. D’habitude c’est lui qui se fait ramoner avec plaisir par le bouledogue de notre amie Sylvaine Mourenx qui est notre troisième comparse et une suceuse de première.

 Ynès a la tête qui tourne devant cette petite vieille qui avoue ses fantasmes presque sur la place publique. Samson agite toujours son cul et ses plumes devant le nez d’Ynès. Sans réfléchir, Ynès demande :

 - Cela vous ennuierait-il de me montrer l’objet du délit ?

 - Ah ! Je crois déceler en vous une vicieuse assoiffée de chibres !

 - Là n’est pas la question. Mais quand le sexe que votre chien sera enlever, qu’en ferez-vous ?

- Oh ! Samson devra le donner à manger à cette pauvre Pétronille.

 - Est-ce que je pourrais vous le racheter ?

 - Vous voulez racheter Samson ?

 - Non seulement son sexe !

 - Oh ! cela m’ennuie car j’ai promis cette gâterie à la pauvre chienne.

 - Je vous propose une jolie somme en échange de ces vilaines couilles noires.

 Mathilde se tait. A ce moment, la jeune femme ouvre la porte et sort. Ynès peut voir que si le sexe de la jeune femme n’a pas eu à souffrir des assauts de Marc, sa bouche par contre a besoin d’un bon raccord avant de rejoindre le mari jaloux.

 Mathilde de Jonzac se lève et pénètre dans le cabinet du docteur sans qu’elle ne donne aucune réponse.

 Ynès dépitée, prend une revue sur la table basse et attend son tour.

Le téléphone sonne. La secrétaire écoute sans dire un mot puis se lève et s’approchant d’Ynès la prie de passer dans le cabinet du docteur.

 Ynès pénètre dans le bureau. La vieille dame est assise et Samson est couché sur la table d’auscultation, l’arrière train en retrait, les couilles pendantes.

 - Ynès ! Qu’elle joie de vous revoir.

 Marc s’avance et embrasse sur la bouche la jeune femme. Ynès lui rend son baiser sous le regard dégoûté de la vieille dame.

 - Asseyez-vous et ne vous inquiètez pas pour cette salope de Mathilde. Quand on est gouine on le reste.

 - Absolument tranche la vieille dame ! Et fière de l’être cher docteur !

 - Je sais que vous avez fait sa connaissance dans la salle à l’instant. Mathilde m’a fait part de votre idée d’acheter les couilles de son corniaud de chien. Je crois savoir pourquoi. Votre idée est très intéressante. Venez voir.

 Marc se lève et s’approche de Samson. Il retira les plumes du cul du jeune homme-chien et lui caresse les fesses d’une main pendant qu’il lui prend les couilles dans l’autre. Il serre très fort ses doigts autour des couilles. Samson gémit de douleur mais sa verge se redresse.

 - Samson est un jeune homme qui a eu le tord de vouloir cambrioler un jour cette pauvre Mathilde. Il est entré chez elle et a fait tellement peur à son vieux chien que le pauvre est mort. Mathilde est une gouine qui n’a jamais eu peur de rien. Elle avait dressé son mari qui lui obéissait au doigt et à l’œil. Elle pratique aussi les arts martiaux. Elle a immobilisé Samson en un tour de main. Le marché a été simple : il remplaçait son chien aussi longtemps qu’elle voudrait et elle ne dirait rien à la police. Samson accepta le marché car il est recherché par Interpol et il ne savait pas où aller. Ce qu’il n’avait pas prévu c’est qu’il aimerait ça. Depuis deux ans il vit comme un chien. Il a suivi un traitement pour développer une fourrure naturelle mais cela a eu l’effet contraire. Il est totalement imberbe. Aujourd’hui, alors qu’il n’avait plus baisé depuis 6 mois, il accepte pour réparer sa faute de se faire couper en échange il demande à être enfermé dans un chenil avec 10 chiens chaque soir. La journée, il veut continuer à être la chienne de compagnie de Mathilde qui pourra le sortir partout même dans la rue. Mathilde veut bien vous donner ses couilles gratuitement à condition  que vous lui disiez ce que vous voulez en faire et quels sont vos fantasmes.

 Ynès regarde Mathilde sans rien dire. Peut-elle révéler son secret. NON. Il faut qu’elle invente vite. Mais Marc vient à son secours. Sans doute n’a-t-il pas envie que cette vieille cochonne soit au courant de trop de choses. Il commence par distraire Ynès de sa réponse en captant le regard des deux femmes.

 - Voyez Mesdames, ce gros salaud en entendant qu’on parle de lui s’excite.

Il tient toujours les couilles serrées. Samson a maintenant le pénis très droit et gonflé. Il est gros et long. Ynès surprend le regard de Marc qui salive à l’idée de qui pourrait récupérer cet engin. Sans lâcher les couilles, il s’enduit l’autre main de crème et se met à caresser l’anus de Samson. Celui-ci se met à japper doucement. Marc précise sa caresse et bientôt enfonce trois doigts dans l’anus accueillant et heureux d’être visité.

- Ma chère Mathilde, si Ynès s’intéresse à ce sexe bientôt orphelin c’est qu’elle est antiquaire. Un très bon client lui a demandé de lui dénicher une lampe très spéciale. Il veut que la lampe soit montée à partir d’un bocal de laboratoire dans lequel on aurait placé un sexe masculin en érection. Ynès est venue me voir mais hélas jusqu’à présent aucun donneur n’a pu faire l’affaire. Il fallait un sexe jeune et vigoureux capable d’une belle bandaison. Mais ce genre de donneur attend toujours d’être passé à l’éternité avant de nous faire un don et il est chaque fois impossible de vérifier l’état général du sexe avant. Avec celui de Samson, Ynès a tout de suite vu que l’affaire était possible.

 - Ma chère, je suis ravie de savoir que ce gros porc va avoir sa queue dans le formol. L’idée me plaît beaucoup et s’est avec joie que je vous la donne. Combien ce client vous a t-il proposé pour les couilles de ce porc.

 - 35 millions de dollars.

 - Oh ! Je ne peux malheureusement pas rivaliser avec cet américain.

 Mathilde de Jonzac se lève, soulève sa cane et l’enfonce profondément dans l’anus de Samson. Le jeune homme gémit lorsque la cane atteint le fond de ses entrailles.

 - Alors Samson, tu vois tes couilles seront admirées par des vicieux de ton genre pendant très longtemps.

Samson aboie. Mathilde retire sa cane et sort. Avant de disparaître, elle se tourne vers Marc.

 - Mon cher docteur quand puis-je venir rechercher Samson. Samson à qui je vais devoir trouvé un prénom féminin maintenant.

 - Je vous promets que votre chienne sera prête lundi prochain.

 Mathilde de Jonzac sort sans dire un mot ni adresser un regard à Ynès.

 Marc fait descendre Samson et appelle sa secrétaire qui se charge du chien.

 - Mettez-le dans la chambre 4. Trouvez-lui un panier et allez acheter un sac de nourriture pour gros chien. Vous le sortirez ce soir avant de vous en allez pour lui faire faire pipi. Dans la chambre je veux qu’il soit attaché.

 Sans un mot la secrétaire prend Samson par sa laisse et sort.

 - Ma chérie, vous êtes resplendissante et votre idée est géniale. Vous avez vu cette queue magnifique !

 - Oui j’ai vu votre regard. Je suis justement venue de dire qu’Agnès est prête. Elle accepte la pénétration par le vagin et l’anus et accepte de porter une queue. Elle est soumise et très obéissante. J’aimerais que vous puissiez l’opérer très vite car j’aimerais qu’elle soit mon témoin pour mon mariage.

Marc embrasse une nouvelle fois Ynès.

 - Je peux l’opérer dès demain. Non , après-demain. Il faudrait qu’elle soit ici demain dans la matinée afin d’être préparée. Suis-je invité moi-aussi ?

 - Gros bêta !

 Sur cette réponse Ynès tourne les talons en faisant voler sa robe qui dévoile son harnais et sort sans un regard en arrière.

 Elle déjeune à la terrasse d’un café puis se promène au hasard. Elle se retrouve sans le vouloir sur la promenade face à la mer. Le grande bleue est toujours aussi belle et pleine de charme. Elle a vu mon malheur et ma détresse et aujourd’hui, elle est là pour assister à mon bonheur. Elle revient sur les pas qui l’avaient conduite au désespoir quelques mois plutôt. Elle retrouve le rocher sur lequel elle s’était assise. Il n’y a personne comme la première fois. Elle relève sa robe et pose ses fesses sur le rocher pointu. Mais cette fois, elle ne peut pas sentir la roche froide s’enfoncer en elle. Le spéculum cogne contre la pierre et s’enfonce lui-même plus profondément. Déçue et frustrée et en même temps heureuse et comblée, Ynès se relève. Elle finit son pèlerinage en passant devant son ancien appartement et devant le sex-shop. Elle croise des visages connus : d’anciens voisins et d’anciens clients. Personne ne la reconnait. Pourtant beaucoup de regards se tournent vers elle à son passage.

 Satisfaite, sachant que désormais son bonheur sera total, elle reprend le chemin de la maison de son Maître, de sa maison bientôt.

 

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:25

Chapitre 16

 Agnès est admise à la clinique dès le lendemain matin. Marc est là à son arrivée. Agnès se jette dans ses bras. Séverin s’approche et intervient. Ils sont descendus seuls car Ynès veut s’occuper des démarches et préparatifs pour la fête qu’ils feront le jour de la noce.

- Marc, il reste une formalité avant que tu ne retrouves Agnès. C’est toi même qui l’a voulu ainsi.

 Marc se tourne vers Agnès et la regarde longuement.

 - Agnès je veux que Séverin te pénètre devant et derrière devant moi. Acceptes-tu ?

Agnès se place en position de soumise devant Marc.

- Maître ! Je ferai tout ce que vous commanderez.

 Elle resta dans la même position, attendant la décision ultime de son Maître, de celui qu’elle vient de reconnaître comme tel.

- Bien. Tu sais qu’ensuite tu vas être pourvue d’un sexe masculin. Il ne remplacera pas ton vagin mais sera en plus. Il n’aura pas de couilles. Juste le phallus. Tu vas devenir hermaphrodite. Je veux que l’accouplement se fasse en présence du chien qui va te donner son sexe.

 Agnès sursaute en entendant le mot de chien. Elle pensait recevoir le sexe d’un homme pas d’un chien. Mais si son Maître le veut ainsi elle est prête.

 - Tu es vraiment une esclave désormais. Mais je vais te rassurer maintenant que je sais que tu seras toujours obéissante. Le chien en question est un homme de 25 ans qui n’a qu’une passion : celle d’être une chienne au vrai sens du terme et de se faire sauter chaque nuit dans un chenil par 10 molosses. Tu auras un vrai sexe d’homme et nous ferons l’amour en hommes et en femmes.

A ces mots, il relève Agnès.

- Dès que tu seras devenue une femme comme Ynès, je veux que tu sois une esclave libre et que tu sois le témoin de ton modèle.

Agnès voudrait embrasser son amant mais Séverin s’impatiente. Il veut en finir vite. Tous les trois montent dans la chambre 4. A leur arrivée, Samson se lève de son panier. Il a une chaîne à son collier et une autre laisse autour de ses couilles. Les deux laisses sont tendues afin de lui maintenir les couilles le plus possible en élongation avant l’ablation. Marc veut pouvoir enlever le plus possible de longueur.

Agnès a le droit d’examiner attentivement la queue qui bientôt sera la sienne. Elle la touche et la caresse.

 - Viens ici et ouvre-toi.

Séverin vient de lui parler comme un Maître parle à son esclave. Agnès se précipite vers lui et, à même le sol se couche et ouvrit ses cuisses largement. Séverin dégrafe son pantalon et s’allonge sur elle. Il bande suffisamment pour accomplir le rituel exigé.

 - Dans quel orifice, veux-tu que j’éjacule, Marc ?

- Dans son vagin d’abord puis dans son anus.

- Dans les deux ?

- Oui, je le veux ainsi pour racheter mes propres erreurs passées.

- Maître , Puis-je dire une chose ?

- Parle !

- Une fois que j’aurai mon sexe d’homme, je veux rester Votre esclave et ne plus retrouver ma liberté.

- Accordé, esclave.

 La copulation dure peu de temps. Marc qui surveille le visage d’Agnès voit qu’elle jouit d’être dans cette position fasse à son amant. Elle lui offre son corps et son âme. Elle se livre à lui pour qu’il fasse d’elle ce qu’il veut. Séverin se retire. Le vagin de la jeune femme laisse perler quelques gouttes de spermes.

 -          Tourne-toi et ouvre toi encore !

La voix de Séverin est puissante et ne laisse pas de place à la contestation. D’ailleurs Agnès n’en a aucune intention. Elle se tourne et offre aux deux hommes son cul ouvert et offert.

Séverin prend sa queue dans sa main pour lui faire retrouver sa vigueur. Marc l’interrompt d’un geste amical. Il désigne Agnès tout en dégrafant son propre pantalon. Séverin sans un mot se recule et laisse Marc baisser son pantalon et s’allonger sur Agnès. Il la pénètre doucement. Agnès gémit de plaisir. Elle ne s’aperçoit pas du changement. Marc qui depuis longtemps a envie d’elle se laisse aller à un va-et-vient puissant et lent. Séverin en voyant les fesses de son ami s’agiter et s’ouvrir à chaque mouvement de son bassin devant lui ne peut résister. Son pénis reprend de la vigueur. Il s’allonge à son tour et écarte violemment les fesses de Marc. Celui-ci se tourne d’abord surpris puis il sourit, interrompt ses mouvements pour laisser Séverin le pénétrer. Séverin entre d’un coup et ils reprennent leurs mouvements de concert. Ils jouissent en même temps. Séverin se dégage le premier. Il peut voir l’anus de Marc maculé du même sperme dont il a inondé également le vagin d’Agnès.

 - Je suis heureux d’avoir pris possession d’Agnès comme cela. Tu auras toujours le droit de la prendre et de ... de me prendre quand tu le voudras. J’ai toujours eu envie de toi et maintenant je suis comblé. Je peux te promettre aussi que je ne te demanderai plus jamais de faire l’amour à Ynès. J’ai désormais une dette énorme envers Ynès et toi. Tu pourras, ainsi qu’Ynès exiger tout de nous et cela pour toujours. Dès cet instant, je me place en position d’inférieur à toi et à ta femme. Je vous servirai comme il vous plaira et je serai heureux d’être Votre amant ainsi que ma future compagne

 Séverin se rhabille.

 - Allez, tu as du travail. Fais le bien car Agnès devra être toute nue pour assister à notre mariage. Je ne veux pas qu’elle soit laide.

 - Si tu le permets, dit Marc, j’aimerai être également nu pour tes noces.

 Séverin hoche la tête en signe d’acquiescement. Puis laissant les deux amants à leurs retrouvailles, il sort. Agnès vient juste de comprendre qu’elle a enfin reçu le sperme de son amant dans le seul orifice qu’elle aime vraiment.

 Séverin regagne la maison. Il a une furieuse envie de faire l’amour avec sa femme.

 En arrivant il croise Bénédicte qui marche en se dandinant. Elle lui lance un regard d’admiration et de soumission. Il lui fait signe de venir à lui. Bénédicte se précipite et vient s’agenouiller en position de soumission devant lui.

 - Pourquoi me regardes-tu ainsi ?

 - Maître, vous êtes l’amant le plus merveilleux que je n’ai jamais eu. Mon anus est entièrement éclaté. Même Antoine ne pourra plus me donner autant de plaisir que vous. Maître, j’aimerais vous demander quelque chose.

 - Oui, je t’écoute !

 - Voilà .... Maintenant que mon anus a subi votre pouvoir, je voudrais n’appartenir qu’à vous. Je ne veux plus qu’Antoine puisse me toucher d’aucune manière.

 - C’est très grave ce que tu me demandes. Et, je me refuse à te pénétrer avec mon sexe. Tu sais tout cela parfaitement.

 - Non Maître ! Je ne désire que vos mains, vos deux mains pour me transpercer. Désormais, mon corps ne pourra plus être souillé par quelqu’un d’autre.

 - Soit ! Mais il faudra trouver une compensation à Antoine. Il a de gros besoins lui-aussi.

 - J’ai pensé que David pourrait devenir sa femme. Je suis prête à divorcer et je voudrais vous demander de déchirer mon contrat de soumission. J’aimerais également renoncé au compte bancaire sur lequel vous versez de l’argent pour nous. Que tout cet argent aille à Antoine et à sa nouvelle femme. Je voudrais dormir à vos pieds, vivre à vos pieds.

 - Je te promets d’en parler à ma femme et nous déciderons ensemble. Je te ferai savoir ma décision. Montre moi ton cul.

 Bénédicte se tourne et offre son cul  à Séverin. La bouteille de champagne est toujours en place. Elle s’est même enfoncée davantage puisque seul le bouchot dépasse encore.

 - J’ai l’impression que tu t’es assise dessus ?

 - Oui Maître ! Je voulais la sentir profondément en moi.

 Attrapant le bouchon, il oblige Bénédicte à se relever brusquement. Bénédicte doit avoir mal, mais elle ne fait même pas une grimace.

 - Va me chercher une autre bouteille tout de suite.

Bénédicte s’éloigne rapidement. Séverin n’a pas précisé quelle bouteille il veut. Mais Bénédicte revient avec une autre bouteille de champagne qu’elle lui tend en se remettant en position de soumission.

 - Écarte les cuisses et cambre toi en arrière.

 

Séverin ouvre le carcan qui lui maintient la chatte fermée. Puis sort le gode. Celui-ci est maculé de cyprine. Saisissant la bouteille par le goulot, il place le cul contre les lèvres vaginales. La bouteille est givrée. Séverin regarde Bénédicte :

 - Te sens-tu capable d’absorber celle-là aussi et de la garder en permanence ?

 Pour toute réponse Bénédicte ouvre ses cuisses au maximum et se cambre tellement que ses épaules touchent le sol. Séverin n’aurait jamais pensé qu’elle puisse avoir une telle souplesse. Il s’agenouille et caresse le vagin avec la bouteille glacée. Les sécrétions vaginales se déposent sur la bouteille. Séverin saisit fermement le goulot et l’appuie. La bouteille entre lentement et disparait petit à petit dans le vagin offert et accueillant. Bénédicte soupire de plaisir. Elle gémit de douleur lorsque la bouteille suffisamment enfoncée touche celle enfouie dans l’anus. Mais rien n’arrête la progression et bientôt les deux goulots sont au même niveau. Pour parfaire le dispositif, Séverin va à l’atelier chercher une bout de cordelette qu’il noue autour des deux goulots. Il la tend. Bénédicte crie de douleur. La traction sur les goulots a tendance à écarter les bouteilles. L’anus et le vagin distendus et suppliciés ont du mal à accepter. Séverin attend que Bénédicte se calme puis l’aide à se relever de sa position acrobatique.

 - Va et ne dit rien à personne. Attend ma décision. Pour l’instant personne ne peut te prendre de toute manière.

 Séverin laisse Bénédicte à ses occupations et entre dans la maison. Ynès est assise au bureau et elle écrit. En le voyant, elle se lève et vient se placer en position de soumise. Séverin la laisse faire. Il aime finalement cette situation.

 - As-tu procédér à tes ablutions matinales.

 - Oui Maître ! Ton urine était très amer parce que froide mais j’ai respecté ton ordre.

 - Très bien ! J’ai de bonnes nouvelles d’Agnès. Demain, ce sera fait. Nous pouvons nous marier dans quinze jours. J’ai décidé que Bénédicte devait divorcer et que désormais je serai le seul à la pénétrer.

 Ynès sursaute à peine. Depuis que David a fait son apparition dans la maison, elle a senti que Séverin changeait et devenait plus autoritaire. Il a pris goût à la domination. Elle est fière de lui et accepte. Cette dernière décision est un test. Elle ne dit rien mais elle se serait volontiers levée pour aller pleurer dans sa chambre. Son Maître désire prendre une deuxième femme : c’est son droit absolu.

 Séverin qui a suivi mentalement les pensées de sa future femme, la prend par les épaules et la relève. Il la caresse tendrement et dépose des baisers sur tout son corps. Il insiste surtout sur la queue distendue qu’il lèche même à petits coups de langue.

 - Tu n’as pas trop mal ?

 - Non Maître ! Je suis fière de ne plus avoir ma queue pendante. Le plus difficile est pour uriner mais je me retiens et je fais seulement le matin dans la mare.

 Séverin s’agenouille et passe sa langue sur le zizi de son esclave.

 - Et là, comment te sens-tu ?

 - J’ai envie de toi !

- Moi aussi !

 Séverin se relève et prend Ynès dans ses bras. Il l’emporte vers leur chambre. Il la dépose sur le lit et prend dans sa poche la clé du cadenas. Il fait tourner la clé et le retire. Ynès écarte ses cuisses et s’offre à lui. Séverin recommence à la baiser de sa langue. C’est doux et parfumé. Puis il retire tous ses vêtements et s’introduit en elle d’un seul coup. Ynès le reçoit en s’ouvrant toute entière. Ils font l’amour lentement et silencieusement. Ynès referme ses cuisses sur le dos de son amant et se cambre pour faciliter encore la possession. Ils synchronisent bientôt leurs mouvements et jouissent ensemble. La pressions retombe doucement. Séverin attend que son sexe se retire de lui même. Il se relève un peu et peut voir son sperme qui perle de l’anus de sa femme. Il ne peut s’empêcher de comparer cette scène et celle de l’après-midi avec Agnès. En embrassant avec passion Ynès, il se dit à lui-même que la vision de sa femme pleine de son foutre est merveilleuse comparé à celle d’Agnès. Rassuré, il se blottit contre le corps de sa soumise et reste immobile à respirer le corps de sa promise. Ynès ne bouge pas. Elle sent combien Séverin peut être amoureux. Elle a croisé son regard tandis qu’il admirait son oeuvre sur son cul. Elle a compris sans pourvoir y mettre des mots que Séverin est fier d’avoir fait cela avec elle. Le reste lui importe peu.

 Les deux amants restent jusqu’à la tombée du jour enlacés et immobiles. Puis Séverin frissonne. Ynès veut  se lever pour le recouvrir mais Séverin arrête son geste.

 - Pour Bénédicte, je voulais te tester. J’aime te dominer et je désire t’épouser dans ta tenue d’esclave soumise. Mais je peux te jurer que plus aucune autre femme ne me recevra en elle. Bénédicte désire être ma propriété exclusive à condition que je la prenne uniquement avec mes deux mains. Je vais accepter et donner David à Antoine pour femme. Demain nous procéderons ensemble au divorce et au mariage. Tu resteras la Maîtresse des deux hommes et je serai le seul maître de Bénédicte. Quant à toi, tu auras chaque jour 3 heures de liberté, l’après-midi. Le reste du temps tu seras soumise comme tes esclaves. Encore une chose : Si je ne prends pas une autre femme, je me réserve le droit de sodomiser d’autres hommes devant toi, soumise. Tu pourras également être prise par d’autres hommes devant moi ou en dehors de ma présence mais avec mon accord.

 - Oui Maître !

 - Marc et Agnès restent nos amis mais, j’ai sodomisé Marc tout à l’heure et il a demandé à être inférieur et soumis à nous deux, lui et Agnès. Bien retire ton spéculum, remets ton cadenas de chasteté et suis-moi.

 Ynès obéit. Elle a la tête qui tourne. Elle revient en arrière tout en étant une autre. Sa vie doit être celle-là. Elle suit son maître. Séverin gagne la maison d’Antoine.

 Antoine est devant le garage. Il nettoie la voiture. Séverin l’appelle. Antoine obéit immédiatement et vient se placer en position de soumission devant le Maître.

 - Demain tu divorceras et tu n’auras plus le droit de faire l’amour avec Bénédicte. Elle m’appartient désormais totalement.

 Antoine baisse la tête.

 - Mais, tu ne vas pas perdre au change. Cette nuit, je te donne ta maîtresse. Tu peux la sodomiser toute la nuit avec ton sexe et tout ce que tu voudras. Demain, tu épouseras David qui sera désormais ta femme et aussi ton esclave. Tu auras tous les droits sur elle. Tu gardes ton compte mais je supprime celui que Bénédicte et David, ta nouvelle femme, n’aura droit à rien. Le jour où tu voudras partir, ta femme te suivra et tu en seras responsable. As-tu bien compris ?

 - Oui Maître.

 Séverin se dirige vers la cage. David a les yeux exorbités. Il souffre manifestement beaucoup. Séverin fait le tour et constater que son anus saigne. Il ouvre la cage.

 - As-tu entendu quel sera ton sort ?

 - Oui, Maître ! Je vais devenir la femme-esclave de Maître Antoine. Il aura tous les droits sur moi.

 Séverin satisfait, retire très doucement la brosse. Les crins sont entrés profondément. Puis il le détache et lui commande de l’attendre à plat ventre dehors. Il revient vers Ynès qui n’a pas bougé.

- Soit très obéissante cette nuit !

 Antoine n’attend pas que Séverin soit sortit. Il prend Ynès par les anneaux des seins et tire violemment. Ynès crie doucement. Séverin ne se retourne pas.

 - Viens ici petite chienne. Montre moi ton cul.

 Ynès se met à quatre pattes sur le lit et ouvre son cul. Antoine a très envie d’elle depuis longtemps. Il la pénètre à sec sans ménagement. Ynès malgré le spéculum n’a plus l’habitude d’un tel diamètre et hurle de douleur devant cette prise sauvage.

Séverin a le cœur retourné en entendant les cris de sa femme mais il a décidé de faire ce cadeau à Antoine pour ne pas le perdre. Il avait conscience qu’avec la perte de Bénédicte qu’il continuera à voir, Antoine peut très bien décider de partir. Il veut le garder donc il doit faire ce sacrifice.

Pour chasser ses idées noires il décide de passer la nuit à faire souffrir David. Il lui passe un collier au cou et l’oblige à se déplacer à quatre pattes. Ils se dirigent vers la maison. Bénédicte attend devant la cuisine anxieuse. Séverin la rassure en lui demandant d’aller chercher la cravache. De loin, il entend encore les cris d’Ynès. Il espèret qu’elle ne sera pas trop abîmée et se promet de la tirer des griffes d’Antoine dès le petit jour. David le suit en soufflant très fort. Séverin s’aperçoit alors qu’il tire beaucoup sur la laisse qui étrangle à moitié son esclave. Bénédicte revient avec la cravache. Il s’en sert d’abord sur elle. Il veut effacer les cris d’Ynès par ceux de Bénédicte. Celle-ci est coriace car il doit s’acharner plus d’une demie heure avant de la faire craquer. Après cela, elle hurle comme jamais. Son dos et ses fesses sont en sang. Ses seins ont éclaté sous les coups et ses lèvres vaginales sont boursouflées. Il est inutile de vouloir lui retirer ses bouteilles pour le moment : tout est gonflé. Il la place au pilori et la laisse toute la nuit.

 Il est temps de s’occuper sérieusement de David.

 Il se dirige vers l’étendage où il le suspend par les mains. Les pieds pendent dans le vide. Son premier travail est de lui percer les seins et de lui fixer des anneaux. Le malheureux est plutôt douillet aussi Séverin le bâillonne énergiquement. Il ne sort plus maintenant que des bruits étouffés. Il lui perce aussi le prépuce et fixe également un anneau. Ayant tirer sur les couilles, il place un petit bracelet de cuivre qui comprime les testicules et les laissent éloignés du corps. A chaque refroidissement de la zone cela provoquera des douleurs importants dans les testicules qui ne pourront pas se réfugier au chaud. Le bracelet est équipé de deux anneaux latéraux auxquels il suspend deux poids de 200 g. Les testicules descendent d’un coup sec. David hurle et essaie d’empêcher Séverin de poursuivre. Le Maître doit se fâcher et le fouette aussi sauvagement qu’avec Bénédicte. Le sexe est particulièrement visé. Auparavant Séverin prend la précaution de lui immobiliser les jambes et les maintenant écartées et tendues à l’extrême. David ne peut plus faire un seul geste. Il doit subir et souffrir. Faisant le tour, il perce une série de 5 trous sur chaque fesse près de l’anus et y posa 10 anneaux. Il a préparé une ceinture de cuir assez large qu’il pose à la taille. Il serre et donne une taille de guêpe à son esclave. Puis il prend des liens de cuir et relie les anneaux fessiers à la ceinture. Les fesses s’ouvrent comme une fleur au soleil. Séverin veut qu’il ait l’anus offert même debout. Il tend si fort que même les plis de l’anus disparaissent et l’œillet s’entrouvre et reste ainsi. Le résultat dépasse ses espérances. Il détache David qui s’est calmé et l’oblige à rester immobile. Il fixe des entraves aux pieds avec une chaîne lui permettant de faire des petits pas et ses poignets sont reliés à la ceinture avec de petites chaînes très courtes. David ne peut plus se toucher le sexe par exemple. Il termine son ouvrage en tendant d’autres liens de cuir entre les seins et la verge. Il aime beaucoup ce montage sur Ynès et veut que cette autre femme dispose du même appareillage. Dès que la verge est en hyper extension, cela accentue la traction sur les testicules. David hurle encore. Il est maintenant à son entière disposition. Il le fouette encore un grand moment puis lui retire le bâillon.

 - Je vais encore te fouetter mais sans le bâillon. Je ne veux plus entendre aucun cri. Tu as bien compris ?

 Il ponctue sa phrase par un coup de cravache sur les seins distendus. David encaisse le coup mais ne dit pas un mot. Il a compris et sait qu’il ne peut plus rien. Il a voulu devenir un esclave. Il va devenir une esclave et être donné à un homme. Tel est son sort désormais il s’y résigne avec plaisir, même.

 Séverin cesse et l’entraîne vers sa propre chambre. Il l’attache au lit et le sodomise plusieurs fois au cours de la nuit. Il ne peut pas dormir. Il pense à Ynès. Il se retient pour descendre voir. Chaque fois que cette pensée lui vient, il se lève et pénètre sauvagement son esclave. Il a eu une bonne idée de lui ouvrir le cul ainsi. David est toujours prêt à le recevoir. Il adoptera le système sur Bénédicte et peut-être sur Ynès aussi.

 Au petit matin, la tête lourde et la queue douloureuse, il oblige David à se remettre à quatre pattes et le ramène à son mari. Antoine est couché sur Ynès. Séverin pense qu’il dort mais il s’aperçoit vite qu’il la prend une nouvelle fois. Ynès se tourne vers lui. Elle a le visage ravagé par les larmes. Son maquillage a coulé. Son corps est au supplice. Elle a la bouche blanche de sperme. Son cul doit être dans le même état. Séverin attend la fin de cette nouvelle étreinte. Lorsque Antoine se relève, la queue toujours aussi bandante, Séverin intervient.

- Tu peux maintenant t’occuper de ta femme. Nous vous marierons à midi. Tu as toute la matinée pour faire connaissance. Antoine abandonne Ynès et se précipite sur David. Il l’oblige à l’embrasser sur la bouche puis le fait s’agenouiller et lui demande d’ouvrir la bouche. Il y glissa son sexe et y urine. David ne fait aucun signe pour se soustraire au jet. Il accepte tout. Fier de son acte Antoine le retourne et admira un instant le travail de Séverin.

 - Maître c’est une idée formidable de lui ouvrir le cul.

 Puis il le sodomise en puissance. David a un haut le cœur en sentant la pénétration lui ravager l’anus. Séverin n’a pas les mêmes dimensions. Mais son cul a maintenant toutes les capacités pour recevoir son Maître et mari.

Séverin prend Ynès dans ses bras et l’emporte vers la mare. Il la dépose sur l’herbe, va prendre le gode du matin et lui écarte les jambes. Ynès le laisse faire. Son anus parait déchiré par la violence des pénétrations forcées et répétées. Séverin y fait entrer le gode en douceur. Il y a tellement de sperme qu’aucune lubrification n’était nécessaire. Dès qu’il a enfoncé le gode à fond, il la reprend dans ses bras et entre dans l’eau avec elle. Ynès que la fraîcheur de l’eau apaise; entoure ses bras au cou de Séverin.

 - Je t’aime très fort, lui dit-elle en l’embrassant.

Séverin lui rend son baiser. Ils nagent un moment puis Séverin sort de l’eau et prend le bol qui termine le bain du matin. Il le remplit de son urine. Pendant ce temps, Ynès se masturbe sous l’eau. Malgré les ravages de la nuit, elle jouit puis sort. Elle prend le bol et le boit d’un trait. Au moment de retirer le gode pour le nettoyer, Séverin l’arrête :

 - Tu as souffert cette nuit, car je voulais garder Antoine. Ce matin je veux souffrir moi-aussi. Frappe-moi, sodomise-moi, humilie-moi jusqu’à midi. Puis nous irons nus procéder au divorce et au mariage de nos esclaves. A partir de ce jour, je veux vivre également nu et chaque après-midi après tes trois heures de liberté je veux que tu me consacres trois heures à être ma Maîtresse devant les autres esclaves.

 - Mon amour, veux-tu vraiment cela ou veux-tu seulement me faire oublier cette vilaine nuit.

 - Je veux connaître moi aussi les souffrances et les plaisirs de l’humiliation. Mais seulement entre tes mains.

 Ynès après un moment d’hésitation, retire son gode et le tend timidement à Séverin.

 - Lèche !

 Le gode est maculé d’excréments. Séverin hésite une seconde et englout le gode dans sa bouche. Lorsqu’il ressort; il est propre et le tend à Ynès.

 - Bien, tu veux vraiment être ce que tu dis. Montre moi tes fesses.

 Séverin se tourne et reçoit le gode dans son cul. Ynès l’enfonce fortement et va jusqu’au bout. Séverin crie de douleur mais reste immobile. Ynès prend sa cravache et fouette longuement les flancs et les fesses de son amant puis elle l’obligea à se tourner face à elle et le gifle plusieurs fois. C’est à ce moment qu’elle s’aperçoit qu’il bande comme jamais. Ne pouvant résister, elle lâche son fouet et lui tend ses fesses. Séverin succombe immédiatement et la prend avec rage, souffrance et amour. Le soleil de fin de matinée les surprend. Séverin est couché sur les fesses d’Ynès qui a la tête enfouie dans l’herbe. Le gode pointe majestueusement vers ce soleil. Ils se relèvent et plongent dans la mare. Ynès retire le gode du cul de son amant et le nettoie de sa bouche. Puis ils s’embrassent.

 Il est temps de procéder à la cérémonie.

 Cela se passe très vite. Bénédicte a toujours ses bouteilles et Antoine parait épuisé par sa longue séance de baise. Son sexe est flasque et tout petit. David a pleuré lui aussi. Mais il attend. Séverin place une caméra devant la pergola et procède entièrement nu à la cérémonie. Ynès est attachée et godée et sert d’hôtel. Bénédicte demande le divorce et Antoine l’accepte. Pour conclure, Séverin leur donne un fouet à chacun et durant un quart d’heure ils se battent. Puis David coiffé d’un voile blanc, se présente devant la camera et demande à haute voix à devenir la femme à vie d’Antoine. Celui-ci accepte et l’embrasse à pleine bouche. Puis il doit encore une fois le sodomiser. Séverin filme la consommation du mariage jusqu’au bout puis David nettoie le sexe d’Antoine avec sa bouche. Séverin oblige Bénédicte à se mettre en position de soumission et il débouche la bouteille vaginale. Antoine et David boivent la bouteille à même le sexe de Bénédicte. Puis Séverin lui retira le flacon. L’affaire est délicate car les parois internes sont sèches et la sortie est douloureuse. Séverin préfère attendre pour lui retirer celle de l’anus. Mais pour consommer aussi son divorce, il pénètre à deux mains le vagin de son esclave en la plaçant sur le dos d’Ynès.

 Antoine et David sont placés au pilori et restent toute la soirée et toute la nuit suivante.

 Bénédicte a le cul lubrifié à la seringue et la bouteille est retirée. Elle hurle beaucoup car l’anus s’est refermé. Cette bouteille est vidée et lavée puis Bénédicte la garde avec elle lorsque Séverin la couche sur son sommier dans la maison qu’elle occupe pour la dernière fois de sa vie. Dès demain, elle passera sa vie aux pieds de son Maître.

 Séverin téléphone à Marc pour avoir des nouvelles de l’opération. Tout va bien et Agnès sera sur pied dans quinze jours.

Ynès et Séverin se couchent très tôt ce jour-là. La journée a été intense.

Avant de s’endormir Séverin prend Ynès dans ses bras.

- Bonne nuit esclave !

- Bonne nuit Maître !

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:29

Épilogue

 La nouvelle vie s’installe dans la propriété. Séverin devient chaque jour un Maître plus exigeant et plus sévère. Ynès est une esclave obéissante et soumise par amour. Bénédicte reçoit son Maître chaque jour devant et derrière. Le reste du temps, elle s’occupe de la maison qu’elle tient toujours à merveille. Antoine est très heureux avec sa femme. Chaque fois qu’elle le croisait, elle lui offre son cul et il la sodomise. David doit porter en permanence un soutien-gorge et une jupette ultra courte ainsi que des talons aiguilles très hauts. Ynès est exigeante envers eux. Chaque après-midi, elle jouit de plaisir de faire souffrir son Maître. Tout le monde est nu et Bénédicte mouille en permanence de voir Séverin dans son plus simple appareil.

Dix jours ont permis à Agnès de sortir de la clinique et elle est en route pour se reposer au domaine. David ouvre la porte au taxi qui est très surprit de la tenue du portier. Il repart avec des idées troubles et non satisfaites.

Agnès n’attend pas que la voiture s’éloigne pour enlever le seul manteau qu’elle a sur elle. Marc lui a refusé tout autre vêtement. Elle est magnifique. Le sexe de Samson est superbe et secrètement Séverin en est jaloux. Peut-être un jour demandera-t-il à Marc de faire quelque chose !

 Ynès se courbe et prit le sexe d’Agnès dans sa bouche. Agnès bande immédiatement. Le gland est parfumé. Marc a retiré tous les poils. Le sexe est nu et attendrissant. Agnès est fier d’exhiber un tel engin. Ynès se réjouit d’avoir rencontrer Mathilde.

 - Marc a fait du très bon travail ! commente Séverin.

 Agnès entre la première, son dard droit en avant tel une torpille à tête chercheuse.

 Les autres la suivent dans la maison suivis seulement par Bénédicte qui depuis quelques jours doit marcher courbée en deux car elle porte un anneau dans le nez. De cet anneau part une chaîne qui va s’attacher à la cheville de Séverin. Ses seins sont étranglés à leur base par des cordes de cuir. Ils semblent plus gros encore. Sa chatte et son anus qui ont subi le même traitement que David doivent supporter des poids d’un kg. Les lèvres vaginales se sont allongées de 10 cm. L’anus a accepté sans trop de mal deux anneaux près de l’œillet et les 2 poids qui tirent également sur les anneaux lui font comme un prolongement de l’intestin en externe. Séverin lui a fixé des anneaux également sur les lèvres et un cadenas les garde fermées.

 La soirée est douce. Il n’est pas question de faire quoique ce soit car Agnès doit encore se reposer. Mais elle est fière de sa queue et la fait bander souvent en la masturbant. Séverin admire au passage la technicité de Marc qui a réussi à conserver au sexe transplanté tout son potentiel.

 En attendant le mariage, Ynès et Agnès font de longues promenades et passent beaucoup de temps à prendre le léger soleil printanier. Elles parlent beaucoup. Agnès veut savoir comment elle doit jouir de sa nouvelle sexualité. Elle a hâte de faire l’amour avec Marc. Elle est heureuse d’avoir un sexe de mâle. Ynès lui fait part de son expérience. Agnès lui demande si elle ne regrette pas son sperme. Ynès l’embrasse et lui assure que Séverin n’en voulait pas et qu’elle le regrette ou pas son Maître a choisi. Agnès n’insiste plus.

Le jour du mariage arrive enfin.

Il y a d’abord la cérémonie à la mairie. Là tout le monde est correct. Ynès portait son harnais sous sa robe très courte. Agnès et elle ont de gros godes dans l’anus. Leurs seins sont fortement attachés ensemble. En plus Ynès doit supporter des poids qu’Antoine a fait. Ils sont très lourds mais très discrets. Elle marche difficilement car chaque pas est une véritable torture : les poids ayant un effet redoutable sur son zizi et ses seins. Séverin porte également un gode dans son anus sous son pantalon sans slip. Marc, qui est le témoin de Séverin, porte des bas et un porte-jarretelles ainsi qu’un soutien-gorge sous son costume. Depuis qu’il a été sodomisé par Séverin, il se considère comme sa femelle.

Dès qu’ils sortent de la mairie en mari et femme devant la loi, ils regagnent les voitures. Ils se déshabillent et abandonnent leurs vêtements sur le parking. Puis ils gagnèrent la villa. Ynès fait le voyage de retour dans le coffre de la voiture. Avant de monter dans le coffre, elle doit sucer Marc et Séverin. Séverin l’oblige à les faire éjaculer. Agnès boudeuse reste en retrait. Elle aussi a soif du sperme de son Maître. Mais Séverin reste le Dominant suprême même devant Marc et elle doit obéir. Ynès avale le foutre copieux et chaud de son chirurgien préféré puis celui de son Maître devant la loi des hommes et devant la sienne. Elle doit garder dans sa bouche le sperme de son Mari durant tout le trajet.

Dès leur arrivée : Agnès est celle qui ouvre la fête. On sort des voitures et immédiatement, sur le capot, Marc la suce jusqu’au bout et tout le mode assiste à la première jouissance sèche d’Agnès. Ynès est toujours dans le coffre. Chacun suce Agnès,  même Séverin qui demande ensuite à sucer Marc. Marc a dû enfiler des escarpins à talons aiguilles.

 L’orgie peut commencer. Ynès est extraite du coffre et fouettée par Marc et par Agnès. Toute la journée et toute la nuit chacun couche avec les autres. Chacun subit à son tour les sévices des autres. Antoine et Bénédicte participent mais David n’a pas le droit de jouir. Antoine l’attache à un pilori et est le seul à l’enculer régulièrement.

Séverin laisse libre court à ses fantasmes. Il demande plusieurs fois à Marc de le sodomiser puis de lui en faire autant. Agnès et Ynès font elles aussi l’amour. Elles peuvent à elles seules être amant et amante.

 Le lendemain, Marc et Agnès prennent congé. Ils partent pour une croisière en amoureux. Ils font partie d’un club échangiste qui organise un périple d’un mois dans les îles grecques, berceau s’il en est de la sodomie. Ynès et Séverin les accompagnent à l’embarcadère. Agnès a très peur à l’idée de se montrer à tout un public même si ce public est là pour la même chose. Sa peur disparait dès leur arrivée. Devant la passerelle, un gros homme nu attend. Sa graisse déborde de partout et comiquement son sexe est minuscule en comparaison de la masse de chair. Il vérifie les cartes d’embarquement et souhaite une bonne traversée aux deux amants en leur précisant qu’ils doivent abandonner tous leurs vêtements sur le quai. Il y a en effet, un bus qui attend et ramasse tout. Un couple sort du bus entièrement nu. Le couple est en fait deux femmes : une est tenue en laisse par l’autre. La laisse part du pubis rasé. Marc et Agnès courent se déshabiller. Avant de disparaître, ils se tournent et font de grands signes à Ynès et Séverin.

Bras dessous, bras dessous, les deux amants regagnent leur voiture. Lorsqu’ils arrivent à la propriété, Antoine vient trouver Séverin : il a un air grave. Ils s’enferment dans le bureau. Ynès se décide alors qu’il est temps de prendre possession de sa pergola.

 Elle décroche la clé de son sein gauche et pénètre enfin dans ce sanctuaire. Elle reste sans rien dire ni faire aucun geste pendant un long moment. Un instant, elle songe qu’elle n’a peut-être pas la bonne tenue pour le lieu. Cette pensée la fait bondir tout à coup. Désormais, cette pergola est à elle. Les fantômes doivent partir. Comme pour leur faire peur, elle décroche sa cravache et se fouette durant de longues minutes. Puis apercevant un long vase, elle retire son spéculum et s’encule devant la photo de Yolande. Puis elle se promène ainsi dans toute la pièce.

 Séverin pousse la porte et a un regard interrogateur.

 - Je prends possession du lieu et j’indique au fantôme qu’elle n’a plus sa place ici.

 Séverin s’approche de sa femme et l’embrasse puis lui prenant des mains la cravache, poursuit lui-même la correction en frappant deux fois plus fort. Ynès finit par éclater en sanglots, ce qui arrête immédiatement Séverin.

 La prenant à nouveau dans ses bras, il lui dit :

 - J’ai deux nouvelles. Une mauvaise, et une bonne sans doute !

 - Donne d’abord la mauvaise qu’on en soit débarrassé.

 - Antoine nous quitte ! Il vient de me demander de le libérer. Il part avec sa femme. Il vient de faire un héritage et il est propriétaire d’une petite île en mer Adriatique. Il désire s’y rendre très vite et installer un centre de dressage. Nous sommes invités à venir à son inauguration.

 - Je suis un peu soulagée de le voir partir. Depuis qu’il est marié avec David, il a changé. Il parle peu et te regarde toujours d’un drôle d’œil quand tu passes devant lui avec ton esclave. Au fait ! Où est-elle ?

 - Je l’ai attaché dans le garage avec le pot d’échappement dans le cul. Depuis ce matin, elle fait partout des tâches. Elle est en chaleur car depuis deux jours je ne l’ai pas perforé.

 - Pourquoi ?

 - Elle en veut toujours plus. Elle devient elle aussi très prenante. Je me demande si je ne vais pas la donner à Antoine ?

- Si tu veux ! J’aimerai bien être seule avec toi !

 - Eh bien c’est décidé. Si Antoine la veut : elle part aussi.

 Ynès embrasse Séverin. Leur baiser durant une éternité. Séverin se dégage enfin à bout de souffle.

 - Je t’ai parlé d’une bonne nouvelle aussi.

- Oui c’est vrai ! Je t’écoute !

- Non viens ! Mais avant, laisse-moi te mettre ce spéculum.

Séverin retire le vase qu’il tend à Ynès pour qu’elle le nettoie. Puis, il lui place un nouveau spéculum qu’il sort de sa poche.

- Humm......

- Il est beaucoup plus gros. La bouteille de champagne de Bénédicte me plaît beaucoup.

- Oh ! J’ai mal ! Tu me défonces le cul !

- Oui, il doit te faire mal. J’adore cela. Je m’arrête là pour aujourd’hui mais il peut s’ouvrir aussi grand qu’une bouteille de champagne.

Ynès se relève avec peine car ses sphincters sont très largement ouverts.

- Viens nous avons quelque chose de plus important à faire.

Séverin entraîne Ynès vers la maison en la tenant par la laisse qu’il vient de lui fixer sur les anneaux des seins. Il court en avant d’elle et ses seins s’allongent. Il aperçoit soudain Antoine et se dirige vers lui.

- Veux-tu prendre Bénédicte comme esclave ?

Les yeux d’Antoine s’éclairent :

- Oui , dit-il. Mais je peux garder David ?

- Oui, je t’offre même la part de Bénédicte que tu peux garder pour toi seul. La seule condition est de partir aujourd’hui.

- Maître, le temps de trouver une robe pour cette dame et nous partons. Puis-je emprunter la voiture un moment.

- Oui !

- N’oublie pas mon amour que Bénédicte est sur le pot.

Ynès a raison et Séverin éclate de rire en pensant à la pauvre Bénédicte qui aurait dû courir à reculons pour suivre la voiture de son nouveau maître. Ce serait peut être une bonne entrée en matière.

Antoine fait un geste prouvant qu’il a entendu et se dirige vers le garage. Lorsque la voiture est partie, Séverin jette un œil pour s’en assurer tout de même.

Satisfait, il tire sur la laisse et entre dans le salon. Ynès le suit en riant malgré la traction importante qui lui déchire les seins.

Elle stoppe net. Séverin surprit par l’arrêt lui arrache un petit cri en tirant violemment les  seins et lâcha la laisse qui fait un claquement sec en tombant sur les cuisses nues d’Ynès.

Quelqu’un est assis face à elle dans le salon. Ynès se met à trembler et sans doute par instinct tente de cacher ses seins et son sexe avec ses mains. Séverin s’aperçoit du geste et se plaçant derrière elle, lui prend les mains et les écarte.

- Avance, et montre toi telle que tu es !

Ynès comme un robot, les mains écartées ne pouvant plus masquer quoique ce soit, avance et se trouve maintenant à 2 mètres de la personne assise.

- Ynès ! Tu reconnais ta mère ?

Ynès reste figée. Elle ne fait plus un geste. Il semble même qu’elle ne respire plus. Un mot résonne et résonne encore dans sa tête.

Qu’a dit au juste Séverin : « sa mère - sa MÈRE  !!! »

Soudain, ses jambes la trahissent et elle s’évanouit.

Lorsqu’elle revient à elle, elle eset allongée sur son lit. Séverin et la personne du salon parlent à mi voix debout au pied du lit.

Cette voix ! Ynès reconnait cette voix. Une voix qu’elle croyait disparue depuis très longtemps. Comment cela était-il possible ?

Elle bougea légèrement. Séverin alerté par ce mouvement s’interrompit et s’approcha d’elle. Il posa sa main sur son sexe distendu par les cordelettes. Tout en lui caressant le pénis, il lui dit :

- Ma chérie, comment te sens-tu ? Je ne croyais pas que tu aurais cette réaction.

L’autre personne avait fait le tour du lit. Elle se penchait vers elle.

- Ynès... Je suis touchée que tu es gardée le prénom que nous avions choisi ensemble lorsque tu m’as rejointe. C’était il y a longtemps ! Tu me reconnais ?

Après un gros effort, Ynès souleva sa tête :

- Oui M...Ma... maman !

Puis elle se mit à sangloter et chercha le réconfort dans les bras de Séverin.

Sa mère dit alors :

- Je vous laisse. Il faut qu’elle se reprenne tranquillement.

Ynès repoussa tendrement Séverin

- Non ! Attend ! Viens !

Ynès se leva et se jeta dans les bras de sa mère. Les deux femmes oublièrent le monde et Séverin. Elles se mirent à pleurer et pleurèrent longtemps. Séverin se retira. Il devait laisser les deux femmes se retrouver. Elles avaient tant de choses à se dire. Lui avait eu tant de mal à savoir....

Il gagna le salon et se servit un verre d’alcool. Il en avait besoin.

Un grand moment après, il vit apparaître les deux femmes main dans la main. La mère d’Ynès avait retiré sa robe. Elle avait gardé ses sous-vêtements. Séverin réalisa que pour un gendre il avait fait une drôle de présentation. Il se leva presque honteux de se présenter le sexe ballant devant sa belle-mère.

- Maman... pardon Tina voudrait que tu finisses de la déshabiller. Je lui dis que tu étais le Maître et que je t’appartenais par la soumission et par le mariage.

- Maître ! Permettez-moi de me présenter à vous dans une tenue décente.

- Mais ... Je...

Séverin ne savait que répondre.

- Si j’avais tout su avant, je me serai présentée de moi-même toute nue. Mais vous n’avez rien dit de tout cela. S’il vous plaît !

En disant cela, elle s’avança, s’agenouilla devant lui et lui présenta à bout de bras des ciseaux.

- Séverin, Tina a besoin de cela. Ce n’est plus une femme depuis longtemps. C’est une pute.

Séverin, vaincu, prit les ciseaux que lui présentaient Tina.

- Debout, s’il vous plaît !

- Non Séverin ! Elle veut être considérée pour ce qu’elle est.

Séverin comprit que sa belle-mère voulait être reçue en femme soumise à l’autorité du mâle dominant. Ynès lui ayant avouée sa soumission, Tina ne pouvait plus se prendre pour autre chose.

Il la tira par les cheveux et l’obligea à se mettre debout. Il saisit une bretelle du soutien-gorge et la trancha. Il fit de même avec l’autre puis coupa le vêtement entre les seins. Le soutien-gorge tomba instantanément. Tina avait encore une très belle poitrine. Ses seins n’étaient pas gros et donc ne tombaient pas. Les tétons pointaient encore fièrement. Séverin sentait que Tina était très excitée par cette situation. On pouvait voir de nombreuses cicatrices de coupures et de brûlures. Tina redressa le torse pour offrir à son gendre une vue totale.

- Maître, pardonnez les affreux seins que je porte !

- Vos seins sont très beaux et il faudrait peu de choses pour leur redonner de l’éclat.

Tina se tourna vers Ynès tout en plaçant ses mains devant son visage.

- Le Maître te vouvoie ?

- Tu es ma mère et Séverin est un homme bien élevé.

- Le Maître ne doit pas vouvoyer sinon il devient impuissant.

- Le Maître tutoie seulement ses esclaves, répondit agacé Séverin.

Tina devint blanche :

- Maître, vous ne voulez pas de moi ? Alors pourquoi m’avoir acheter ?

Séverin se sentit défaillir. Tina venait de tout mettre par terre. Jamais Ynès n’accepterait que son mari est acheté sa mère ! Et pourtant, il avait bien fallu s’y soustraire. Mais c’était une longue histoire.

- Séverin, Si tu as acheté Tina, elle est ton esclave autant que moi. Tu dois te comporter comme un Maître.

Ynès avait tout saisi de la situation présente sans rien y comprendre. Elle sentait que Séverin paniquait. Elle ne savait pas encore comment il s’y était pris pour retrouver sa mère mais elle en savait assez pour penser que si sa mère était encore vivante c’est qu’elle avait continué à être une pute soumise à un mac.

 - Alors, décide-toi !

- Mais chérie, je ne peux pas... , je ne veux pas !

- Si c’est la seule solution, fit-elle en lui lançant des regards implorants.

Séverin, la bouche sèche s’entendit plus qu’il ne dit lui-même :

- Écoute salope, tu vas te taire et obéir.

Il ponctua sa phrase par une gifle qui fit vaciller Tina. Ynès ne disait rien et ne fit pas un geste pour rattraper sa mère qui chancela.

- Oui Maître, je suis à vous. Faites de moi ce que vous voulez, dit Tina en se relevant et offrant à nouveau sa poitrine. Elle avait écarté les jambes et attendait la suite de sa soumission.

Séverin demanda à Ynès la cravache qu’elle portait toujours au côté et qui lui servait exclusivement désormais. Il commença à fouetter les seins. Ceux-ci volaient à chaque coup. Les tétons se soulevaient de douleur. Tina ouvrait la bouche et soufflait bruyamment sans qu’aucun mot ne sorte. Reprenant les ciseaux, Séverin les glissa dans le slip au niveau du vagin et coupa le tissu. Le slip s’ouvrit comme un fruit mûr laissant apercevoir une forêt pubienne abondante. Séverin coupa l’élastique de la ceinture et le vêtement tomba au sol.

- A genoux et écarte les cuisses.

Tina obéit immédiatement. Elle écarta ses cuisses laissant son nouveau Maître découvrir son sexe.

- Il a trop de poils. Ynès va chercher le rasoir et rase-là de près. Tu lui raseras aussi tous les autres poils et les cheveux.

Tina se jeta aux pieds de Séverin et lui embrassa les chevilles.

-Merci Maître. Je serai une bonne pute. Vous pouvez me mettre au travail tout de suite. Je suis une bonne gagneuse et j’accepte tout. Je suis une bonne vicieuse.

Voulant parfaire son personnage, Séverin la repoussa et lui fouetta la chatte. Il vit Tina qui se rejetait plus en arrière pour se soumettre totalement aux coups. Il recherchait précisément les lèves vaginales. Il fut même surpris de voir couler quelques gouttes de sécrétions vaginales. Tina aimait être fouetter sur son sexe. Il lui pour finir décocha un coup de pied dans le bas-ventre.

 Ynès la ramassa et envoya un baiser à son amant. Séverin lui répondit par un regard en disant long sur son incompréhension. Ynès le rassura par un clin d’oeil et dit :

- Maître, je m’occupe d’elle tout de suite. Dois-je la fouetter aussi et la placer au pilori ensuite.

Elle avait prononcé cette phrase en faisant un signe de la tête. Elle voulait montrer à son mari qu’il avait bien fait et qu’elle le soutenait totalement. Le fait de vouloir la fouetter elle aussi lui prouvait qu’elle était heureuse de voir sa mère dans cette situation. Elle savait mieux que tout le monde combien sa mère avait souffert pour être ce qu’elle était devenue et ce qu’elle voulait être aujourd’hui, avec eux.

 - Oui ! Va !

 - Merci mille fois Bon Maître.

 Tina et Ynès disparurent. Séverin se resservit un autre verre. Il en avait besoin !

 Ynès revint quelques minutes plus tard. Séverin était installé sur le canapé et jouait machinalement avec son sexe. Ynès s’agenouilla devant lui et remplaça la main par sa bouche. Le désir monta rapidement.

 - Viens !

 Ynès se releva et Séverin prit la clé qui ouvrait le cadenas de chasteté. Ynès était droite devant lui. Elle cambra son pubis lui offrant tout son être. Le cadenas sauta et Ynès montant sur les coussins du canapé se laissa tomber et s’empala sur le sexe de son mari. Ils jouirent en silence. Séverin déchargea en elle. Ynès attendit comme chaque fois que le sexe redescende pour se soulever. Séverin lui remit immédiatement le cadenas. Ynès s’agenouilla une nouvelle fois devant son amant et le nettoya. Pendant ce temps, Séverin lui caressait les cheveux.

 - Je te demande pardon. Je ne voulais pas faire cela. Ta mère m’y a obligé. Quant à son achat...

 Ynès lui mit un doigt devant la bouche.

 - Cela ne me choque pas. Je sais ce qu’elle a du subir toutes ces années. N’oublie pas que je suis passée par là moi aussi. Je comprend très bien que tu aies dû l’acheter pour la ramener vers moi. Par contre je ne comprend pas comment tu as fait pour la retrouver.

 - Où est-elle ?

 - Elle est nue et rasée sur le pilori. Elle était heureuse que tu l’es traitée comme ton esclave. Elle n’a pas arrêté de me dire qu’elle te trouvait beau et fort. Elle aime quand tu la frappe et elle espère que tu voudras bien la garder. Elle sait que tu es mon mari. Mais elle sait aussi que tu m’as permis de devenir une vraie femme. Donc elle se considère comme t’appartenant pour le reste de sa vie. C’est ce qu’elle veut être. C’est ce qu’il faut que tu sois !

 - Mais tu es d’accord pour que ta mère vive en esclave avec nous ?

 - Je suis ton esclave et je respecterai ce que tu décideras.

 - Soit ! Dès demain donc Tina sera mon esclave. Mais je devrai la prendre sexuellement.

 - Bien sûr et devant moi ! Tout de suite si tu veux. Elle n’attend que cela.

 Séverin se leva et sortit. Ynès resta seule, immobile, debout dans le salon. Séverin revint soudain sur ses pas.

- Place toi en position de soumission et met la cravache dans ta bouche !

Ynès obéit immédiatement et Séverin disparut.

Il revint très vite. Tina marchait devant lui, Séverin la tenait pas les cheveux.

- Place toi en position de soumission comme Ynès.

Tina obéit. Séverin prit la cravache et la fouetta de nouveau sauvagement. Il lui fit exposer chaque partie de son corps et la marqua profondément.

- Ynès m’a raconté que tu avais un gros cul ? C’est toujours vrai ?

- Oui Maître !

Elle joint le geste à la parole et offrit son cul à la vue de son maître. Séverin s’enduisit la main de vaseline. Il traînait toujours un pot de crème dans chaque pièce. Il approcha ses doigts et les introduisit entre les fesses offertes. Rapidement ses doigts disparurent dans l’orifice. Sa main fut bientôt absorbée entièrement jusqu’à son avant bras. Puisant dans la vaseline avec son autre main, il enfonça ses doigt dans le vagin. Pour se faire, il sentit que Tina malgré sa position inconfortable, se soulevait pour laisser son Maître agir plus facilement. Très vite, il eut les deux avant-bras dans les entrailles de son esclave. Il commença à la masturber furieusement, la fouilla tout en écartant les doigts pour imprimer son passage dans les boyaux plus fortement. Tina gémissait de plaisir.

- Ynès détache ta queue et fais-toi sucer par cette pute.

 Ynès obéit et déposa dans la bouche docile qui venait de s’ouvrir sa queue passablement bandante. Tina prit immédiatement les choses en main et Ynès commença rapidement à jouir. Séverin s’activait férocement et suivant de près les réactions de ses deux esclaves. Il prenait du plaisir à voir Ynès se faire astiquer la queue par sa propre mère. Même si cela le dérangeait quelque part. Bientôt Ynès déchargea à sec. Cela paru étonner Tina qui en perdit la bitte. Séverin sans douceur retira ses mains. Tina fut secouée par d’intenses convulsions de douleur. Elle s’affala et resta pendant de longues minutes étendue sur le tapis. Ynès avait refixé sa queue. Séverin vérifia et en profita pour tendre davantage la queue. Ynès cria de douleur. Tina releva la tête. Elle semblait heureuse et comblée.

 - Ynès ! Le Maître est un bon Maître. Il faut le respecter et lui obéir toujours ? Je suis fière que mon... ma fille soit son esclave et que je le sois aussi aujourd’hui.

 Séverin prit la cravache et asséna quelques coups violents sur la femme à terre.

 - Assez, pute ! Viens me sucer pendant que je raconte ton histoire à ta fille.

Tina arriva à quatre pattes et s’empara du sexe de son gendre. Sa technique était sûre car peu de temps après, Séverin bandait furieusement. Il ne put pas commencer tout de suite son récit et Ynès dut attendre, frustrée que son maître jouisse dans la bouche de sa mère. Tina une fois rassasiée se coucha aux pieds de son Maître et attendit en silence.

- Dès que tu m’as raconté ton histoire, j’ai décidé d’essayer de retrouver ta mère. J’ai un ami de longue date à qui j’ai rendu jadis un grand service. Je l’ai rencontré et nous avons entrepris de partir à sa recherche. Je n’avais que peu de renseignements. Mais mon ami est un détective privé du tonnerre. En quelques mois, et grâce à des amis à lui policiers, il a pu interroger dans sa cellule Norbert qui est finalement tombé pour proxénétisme aggravé et meurtre. Il en a pris à perpétuité. Il a accepté de parler de toi, qu’il croit toujours très loin chez les princes du pétrole ou morte de la petite vérole et de ta mère dont il a donné le nom de la personne qui lui avait acheté. Je passe sur le détails très complexes de ses recherches. Il a finalement retrouvé la trace de ta mère dans un bordel de Îles Vanuatu. Elle devait s’occupait du ménage après le passage des filles et des pochards de passage. Sa grand spécialité reste paraît-il de satisfaire les clients qui dans ses îles ont beaucoup de singes. Elle s’occupe de l’animal pendant que les plus jeunes s’occupent de maître.

 - Oui Maître, je sais très bien faire reluire les chimpanzés et les gorilles. Les gorilles sont très puissants et ils me défonçaient terrible.

 - Chaque fois que je m’absentais c’était pour entrer en contact radio à son bureau avec mon ami. Il a réussi avec mes fonds à racheter ta mère au taulier du bordel et à la faire rentrer en France clandestinement. Elle a perdu ses papiers depuis le jour ou Norbert les a confisqués puis brûlés. Je suis d’ailleurs en train de m’occuper de lui refaire faire des papiers. Elle est arrivée il y a trois jours seulement. Mon ami l’a gardé avec lui durant tout ce temps et je crois qu’il ne le regrette pas. Marc lui a fait des examens médicaux avant de partir. Hier au mariage tout le monde savait la vérité mais j’avais demandé le secret absolu.

  Ynès se jeta dans les bras de son mari.

 - Merci mon amour. Je suis heureuse et fière de toi !

 - Maître vous ne devez pas tolérer qu’une esclave vous parle sur ce ton. Ynès ce n’est pas ton chéri mais ton Maître. Tu lui dois le respect.

 Séverin se leva, alla chercher une laisse et la fixa au cou de Tina. Puis il l’obligea à se lever et la conduisit vers la maison des gardiens qui était désormais vide. Il l’installa dans la cage comme David quelque temps auparavant. Il lui tendit à craquer les seins et lui fixa des pinces-crocodiles également sur les lèvres vaginales. Puis il prit deux brosses rondes au crin très dur et les enfonça dans le vagin et dans l’anus. Tina hurla de douleur mais entre deux cris elle remerciait son Maître.

 Séverin remonta à la maison et trouva Ynès étendue sur le lit. Il se jeta sur elle, la retourna et lui fit ouvrir les fesses. Il lui retira son spéculum sans le rétrécir. Son sexe bandait. Il l’encula d’en coup sec en disant :

 - La fille est exigeante, mais je l’aime. Mais la mère ....

 Ynès se tourna légèrement de côté. Elle lui sourit et ferma les yeux. Son homme l’enculait. Elle voulait être toute à lui et jouir de son étreinte.

 La vie était enfin belle !

 

FIN

 

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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