Ynès

Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 11:11

Chapitre 10

 Ynès se réveille la première. Elle se lève sans bruit. Le feu s’éteint doucement dans la cheminée. Tout est calme. La nuit précédente a été l’une des plus douces de sa vie. Avant de sombrer dans les bras de Morphée, Ynès a installé ses domestiques pour la nuit. Antoine a eu droit au lit et Bénédicte au canapé. Antoine a été ligoté sans gode mais sa verge a été percée par un des anneaux achetés la veille. Ynès qui est une experte a placé l’anneau sous le gland retroussé. Le petit tendon qui assure le recouvrement du gland au repos par une peau protectrice est traversé maintenant par un anneau qui empêche tout recouvrement. Le gland est désormais retroussé en permanence. L’anneau ainsi placé permet à Ynès d’attacher et d’allonger la queue au plafond. Antoine qui a bien obéi a placé toute une série d’anneaux un peu partout. Ynès lui perce les seins avec des anneaux de bonne taille et eux-aussi sont étirés vers le plafond. Pour compléter le bondage, elle cercle les testicules et les étire longuement vers le bas. Bénédicte reçoit une grande série d’anneaux. Les lèvres vaginales en reçoivent chacune trois, les seins sont aussi percés. Ynès l’allonge sur le ventre et l’oblige à faire passer ses seins par les mailles métalliques du sommier du canapé. Elle relie les seins ainsi installés par une cordelette qu’elle tend. Les deux tétons se touchent presque. Elle place ensuite des cordelettes à chaque anneau vaginal qu’elle fixe aux mailles métalliques en les écartant. Le résultat est impressionnant. Les deux lèvres ainsi écartées offrent un trou béant et large. Elle, non plus, ne reçoit aucun gode. Ynès veut que les trous respirent un peu. Ynès a décidé que durant son absence ses deux esclaves seraient attachés ainsi tous les soirs par le Maître. Séverin qui a servi d’assistant, observe attentivement les liens.

- Je crois même que j’apporterais quelques modifications surprenantes.

Laissant le couple infernal à leur nuit de soumission, les deux amants regagnent leur tanière afin de finir leur nuit d’amour . Le sommeil ne vient que sur le petit matin. Ils n’échangent aucune parole. Tout a été dit. Il reste à accomplir un rituel.

 Ynès se dirige vers la salle de bain. Elle prend une douche et se maquille. Elle veut être une jolie femme pour faire honneur à Séverin. En sortant, son regard est attiré par le corps de son amant et Maître. Séverin étendu sur le lit a rejeté son drap. Il dort nu sur le dos. Ynès caresse de son regard son corps. Séverin n’est pas un homme très musclé. Il a un léger embonpoint à l’estomac. Pourvu d’une belle carrure, il sait l’étreindre avec force. Ses coups de fouets marquent car il frappe sèchement sans que les coups ne dévient de l’endroit qu’il a choisi. Ses longues jambes poilues remontent jusqu’à son bas-ventre. Son sexe pour l’instant au repos repose tranquillement sur ses testicules. Il porte à gauche. Son pubis est assez poilu. Ses poils sont soyeux. Ynès s’approche et s’allongeant, pose sa tête sur ses cuisses. Son visage est tout près du sexe. Elle sort sa langue et le caresse doucement. Il sent bon. Sans que Séverin ne se réveille, le sexe sent la caresse et se redresse lentement, par à coups. Il a une belle taille. Séverin n’a pas un sexe hyper développé. Ynès en a vu de plus gros et de plus longs. Séverin est un amant pourvu moyennement. Cela, Séverin ne le saura jamais car elle sait combien les hommes peuvent devenir susceptible quand il s’agit de leurs performances au lit et de la taille de leur pénis. Elle-même a souvent cru que c’était sa petite taille qui l’avait conduite à devenir ce qu’elle est. Mais Séverin est son homme et rien ne pourra jamais entrer en compétition avec lui. Le sexe bande maintenant nettement. Séverin se réveille. Ynès le happe et le suce. Elle le retrousse pour sentir dans sa bouche le gland vibrer de plaisir. Séverin aime être sucé mais il n’arrive pas souvent à éjaculer ainsi. Ynès lui caresse les couilles d’une main et lui attrape la verge de l’autre. Tout en suçant, elle imprime un mouvement de va-et-vient le long de la tige gonflée par le plaisir. Séverin est bien réveillé. Il caresse les cheveux d’Ynès.

- Oui ma chérie, prends moi fort. Pompe-moi, vide moi les couilles.

Ynès encouragée par cette invitation se fait plus ardente. Le corps de Séverin se soulève tant il est agité par le plaisir qui monte lentement en lui. Il sent que le moment est proche ou la jouissance sera trop forte et où il éclatera de plaisir. Ynès le sent aussi. Le gland se met à gonfler et à vibrer plus fort. La semence inonde la bouche d’Ynès. Elle se déverse à jets continus. La bouche d’Ynès est pleine, elle avale mais veut aussi garder le goût de son amant tout au long de la journée qui va suivre. L’autre va posséder ce qui reste encore de putain chez elle mais seul Séverin aura désormais les clés de son royaume. Le sexe dégonflant, elle l’abandonne et remonte le long du corps de son homme. Séverin attire sa bouche et l’embrasse tendrement. Le baiser est long à en perdre haleine. Ynès doit retirer ses lèvres pour reprendre sa respiration.

- Tu m’étouffes. Il ne faut plus tarder maintenant. Ton ami nous attend.

 - Es-tu si pressée d’être dans ses bras ?

 - Oui, mais seulement pour être encore plus vite dans les tiens.

- Je ne suis toujours pas convaincu du bien fondé de cette journée. Après tout, il existe d’autres chirurgiens qui pourraient tout autant faire le boulot !

 - Tu sais très bien qu’il nous faut en passer par là. Cette opération n’est par ordinaire. Tu es toujours médecin et ta réputation pourrait être entachée si on apprenait qui est ta femme. Il faut que ce soit ton ami qui opère. Il a une clinique privée. Il sera plus facile ensuite d’obtenir son silence une fois que sa secrétaire sera dressée. S’il veut garder sa clientèle, il devra se taire. Nous serons tous garant du secret de l’autre.

- Tu as sans doute raison, allons puisqu’il le faut.

 Ynès se lève.

 - Je veux que tu mettes ta robe rose.

Ynès disparait un instant dans la penderie et ressort, tenant une robe rose pâle. Elle enfile tout d’abord ses bas à jarretières rose également. C’est un maillage fin qui rappelle un peu un filet. L’élastique épouse parfaitement la forme des cuisses. Séverin voit le sexe d’Ynès qui bouge au grès des mouvements. Il se balance doucement et sans heurts sur les testicules. Séverin pense que bientôt il ne les verrait plus. Il se fait alors une promesse : Lorsque Ynès reviendra, il lui demanderait de l’enculer. Il veut connaître lui aussi ce plaisir spécial. Il a envie de sentir la queue qui a une belle taille, de sa femme en lui.

- Avant de mettre ta robe, approche.

 Ynès met les mains derrière son dos et avança confiante et belle.

 Séverin sortit de sa poche un anneau doré. Il prit la main droite d’Ynès et passa l’anneau à son annulaire.

- Après, nous nous marierons vraiment. Tu auras droit à une vraie cérémonie. Prends cet anneau : il est le garant de notre amour et de ma fidélité.

Ynès, les larmes aux yeux, embrasse fougueusement Séverin . C’est lui qui cette fois doit reprendre son souffle. Il se dégage et administre une fessée légère à Ynès.

 - Dépêche-toi un peu, nous allons être en retard. Je ne veux pas être à la bourre le jour où je deviens maquereau.

 Sans un mot, il se tourne et sort. Ynès reste seule. Elle enfile sa robe. Celle-ci est la plus courte. Le corsage s’attache par une épaule seulement. Sous les seins un anneau est cousu d’où descend une fine lanière de cuir qui tient suspendue une jupe qui s’élargit rapidement. Séverin a voulut cela pour masquer la verge qui aurait pu trahir parfois Ynès. La jeune femme enfile ses chaussures rose également. Ce sont des ballerines à petits talons toutes simples. Elle est prête.

Séverin est dans la cuisine. Il prépare un petit déjeuner rapide.

 - Je détacherai les domestiques en revenant. J’aurai tout mon temps. J’en profiterai sûrement pour me faire la main sur eux. Il faut que j’apprenne.

Ils avalent leurs tartines. Ils ont peu d’appétit.

 Séverin démarre la voiture pendant qu’Ynès refermait la maison.

 - Retrousse ta robe jusqu’au nombril. Désormais, je veux que tu sois toujours retroussé dans la voiture.

 Ynès obéit immédiatement. Elle retrousse sa robe, se soulevant même du siège pour que même ses fesses reposent sur le cuir. Elle roule sa jupe pour qu’elle tienne relevée sans son intervention.

 - Écarte les cuisses et retrousse aussi ta verge.

 A nouveau Ynès obéit. Elle garde la tête résolument droite. Elle ne veut pas montrer à son amant combien elle est heureuse. C’est sa verge qui la trahie : sitôt retroussée, le sexe mâle se met à gonfler et à se redresser. Le gland a une bonne taille.

 - Je ne l’ai jamais vu aussi gonflé. Cela te fait plaisir ?

 - Oui Maître ! J’aime obéir à tes ordres et à ta voix.

 Ynès se tait car un feu rouge oblige Séverin à stopper la voiture. Devant eux se trouve un camion, la voie de gauche est libre. Séverin déboîte et vint se placer à la hauteur du camion. Le chauffeur doit avoir une vue parfaite sur l’anatomie secrète de sa femme. Ynès se rend compte que la manœuvre de son maître est volontaire. Quand elle sent les regards du chauffeur sur elle, elle écarte davantage les cuisses et se cambre pour offrir une vue meilleure. Puis le feu passe au vert et la voiture démarre en trombes. Le camionneur, sans doute frustré, fait de nombreux appels de phares. Ils perdent rapidement de vue le camion.

Ynès se penche vers son amant et l’embrasse.

 - Tu aimes te montrer aux autres n’est-ce pas ?

 - J’aime surtout que ce soit toi qui m’y oblige.

 Séverin remarqua alors que sa femme a le visage empourpré. Sa queue a de petites contractions comme prête à éjaculer.

 - Masturbe-toi maintenant !

 Ynès tourne un visage interrogatif vers Séverin.

 - Tu veux que ...

 - Oui et vite. Je veux te voir jouir mais tu t’arrêteras avant d’éjaculer.

 Ynès prend sa verge dans la main et entame un va-et-vient rapide. Très vite le plaisir monte, elle écarte ses cuisses plus largement, son souffle se fait plus rapide. Ses mouvements saccadés rendent la verge rouge foncée et encore plus grosse. Séverin sait ce qu’il veut savoir. Quand Ynès l’enculera, il aura sans doute mal en recevant un tel engin. Il est même un instant jaloux en constatant qu’elle est plus grosse que la sienne.

 Ynès interrompt in extrémis sa masturbation. Une petite goutte de sperme perle sur le méat. Ynès a lâché sa verge qui tressaute. Elle pousse de petits cris de plaisir et de frustration. Au bout d’un instant, la queue se dégonfle et reprend sa taille normale. Ynès a maintenant les mains sur ses cuisses, elle ne bouge plus.

 - Tu es une bonne fille obéissante. Quand tu seras opérée, tu ne pourras plus éjaculer mais je te demanderai de te masturber souvent, parfois même en public.

Ynès se tourne à nouveau vers lui et hoche la tête.

 - Avant que nous arrivions, je veux te faire un dernier plaisir. Place ton siège en position couché et allonge toi sur le ventre. Relève bien ta robe sur tes fesses et écarte tes cuisses.

 Ynès obéit une fois de plus. Séverin sort de sa poche la bougie que la bouche d’Antoine a accueilli la nuit précédente. Il la pose entre ses jambes et humecte son index de salive. Il enfonce d’un coup sec son doigt dans le cul d’Ynès et lui caresse les parois lisses des sphincters. Puis il reprend la bougie et après l’avoir lubrifier de la même façon que son doigt il présente le cul de la bougie contre celui de son esclave.

 - Ouvre-toi largement. Je sais que tu as un gros trou, alors pousse.

Ynès s’ouvre et sent s’enfoncer le gros mandrin de paraffine. Quand celui-ci est introduit sur sa plus grande longueur, Séverin prend un briquet et allume la mèche. La cire se met à fondre et à couler brûlante sur la peau des fesses. Ynès pousse de petits cris de douleur.

- Chut, je ne veux entendre aucun bruit. Tu vas garder la bougie allumée jusqu’à l’arrivée. Ouvre encore tes fesses avec tes mains et garde la pose.

 Ynès écarte ses fesses avec ses mains et demeure immobile et silencieuse. Durant l’arrêt à un autre feu, Séverin se penche pour voir comment se déroule son supplice. Il prend beaucoup de plaisir finalement à faire subir quelques outrages à sa femme. La paraffine coule le long du sillon naturel. Elle doit atteindre les testicules et la verge. Il caresse les fesses d’Ynès et reprend la route. Ils roulent en silence vers la ville. Le voyage est assez long car Séverin fait plusieurs détours. Il veut que la flamme puisse lécher la chair offerte. La ville à cette heure de la matinée est encore vide. Ynès souffre en silence. Si Séverin pouvait le voir, il constaterait que la verge a repris une taille imposante. La cire chaude lui brûle la peau des testicules et quelques gouttes commencent à tomber sur son gland retroussé. Ynès a envie de hurler de douleur mais elle sert les dents et demeure silencieuse comme son maître lui a ordonné. Elle essaie de concentrer son esprit vers le paysage qui défile. Les rues lui donnent envie de flâner aux bras de Séverin mais le temps n’est pas encore venu pour cela.

Ils pénètrent dans la cour de la clinique. Séverin gare sa voiture et souffle sur la bougie. Ils attendent quelques instants que la paraffine refroidisse.

 - Tu gardes la bougie dans ton cul !

 Sans un mot de plus, il guide Ynès dans le dédale des couloirs. Il semble bien connaître les lieux. Ils arrivent bientôt devant la porte de son ami. Une plaque de cuivre décore une porte capitonnée. Son ami se nomme Marc Cref. Séverin appuie sur la sonnette et attend. Il dépose seulement un baiser chaste sur les lèvres d’Ynès.

La porte s’ouvre et une jolie femme brune apparait. Elle est d’origine africaine sans être tout à fait noire. Elle sourit et invite le couple à pénétrer.

 - Bonjour, je suis l’assistante du Docteur Cref. Le docteur va vous recevoir. Vous êtes sans doute Monsieur et Madame Oboé ? Le docteur m’a dit de vous faire patienter un instant : il donne ses consignes à son adjoint.

 Ynès se met à observer l’assistante du docteur. C’est elle qu’il faudrait ensuite dressée. Est-elle au courant du sort que lui réserve son bon docteur. L’assistante retourne sans un mot à son bureau et poursuit son travail. Ynès est très vite attirée par la position étonnante de l’assistante. Celle-ci travaille à un bureau entièrement en verre. L’assistante relève sa jupe et pose ses fesses directement sur la chaise. Contrairement au reste du mobilier qui semble cossu et confortable, la chaise est en bois comme les chaises qu’Ynès a connue dans son pensionnat. L’assistante écarte ensuite ses cuisses et sans un regard vers le couple poursuit son travail. Elle portait une culotte en dentelle blanche qui est bien visible dans cette position. Une autre porte s’ouvre laissant passer un homme jeune et corpulent. Il semble quelque peu échevelé et a le teint écrevisse. Il porte une blouse blanche. Tout en sortant , il semble à Ynès qu’il rajuste son pantalon. Ynès sourit en pensant que si le bon docteur a déjà tiré son coup de bon matin il sera moins en forme pour le reste de la journée. L’assistante se lève et fait une moue réprobatrice à la vue du spectacle de cet homme se rhabillant. Elle tire sur sa jupe pour la descendre correctement et s’introduit dans le cabinet du médecin. Il s’en suit un bref échange de paroles et une claque se fait entendre. L’assistante ressort, la joue marquée des cinq doigts du docteur, et nous prie, sans vouloir cacher sa joue, de bien vouloir entrer.

 Le docteur Marc Cref est un petit homme très séduisant. Très svelte, il n’a pas plus de 45 ans. C’est sans aucun doute un homme sportif. Son bureau est clair et spacieux. Le mobilier de cuir montre son opulence et la réussite professionnelle du médecin.

- Entrez mes bons amis.

Sa voix est douce. Bref, le premier contact avec l’homme ne déplait pas à Ynès. Cette journée ne sera pas aussi terrible qu’elle le pensait tout d’abord.

Marc et Séverin se donnent l’accolade puis Marc se tourne vers Ynès.

- Voici donc ta charmante future épouse... Séverin , tu m’autorises à employer ce terme ?

Séverin hoche la tête. Ynès le sent contracté et incapable de dire un mot.

 - Si nous sommes bien d’accord, nous passons cette journée ensemble chère demoiselle et la nuit aussi !

 - Il est exacte que nous allons passer quelques heures ensemble. J’ai vu votre assistante, elle me paraît déjà bien avancée ...

 - Ah ! Je savais qu’une professionnelle... Oh pardon, je vous ai sans doute froissée ?

 - Absolument pas, cher monsieur. C’est d’ailleurs une professionnelle qui va vous tenir compagnie aujourd’hui et uniquement une professionnelle. Sommes-nous bien d’accord ?

 - C’est exactement cela. Je ...

 - Afin qu’il n’y ait aucune méprise : je couche avec vous autant de fois que vous le voulez jusqu’à demain matin. Puis vous m’opérez : ablation des testicules, augmentation du volume mammaire. Une fois cela fait, je prends en charge le devenir de votre assistante. Je n’ai pas fait d’erreurs ?

 - Oui vous avez bien résumé. Toutefois, j’aimerai apporter une petite précision. Séverin m’a semblé très chagrin, et me semble encore, lorsque j’ai voulu passer la journée et la nuit avec vous. Je voudrais vous rassurer. Je n’ai pas l’intention d’abuser de vous. Vous vous donnerez à moi si vous en avez envie. Par contre, il me semble que vous avez quelque chose à me montrer !

 Séverin sort de son abattement. Les paroles de son ami sont finalement rassurantes. Ynès n’a pas bougé. Elle attend un ordre.

 - Enlève ta robe et offre ton cul à monsieur.

Ynès sans manifester aucune réaction défait sa robe. Elle pointe fièrement ses seins vers le médecin ainsi que sa verge toujours retroussée. Elle se tourne lentement et se penche en avant. Le docteur s’approche et palpe l’anus distendu et paraffiné.

- Oh, la taille est belle. C’est sûrement une bonne avaleuse de couilles. Et puis résistante à la douleur. La peau de ce pauvre petit cul est un peu roussie.

 Marc appuie sur un bouton. L’assistante pénètre. Ynès qui regarde entre ses jambes suit la scène. L’assistante a un haut le corps en apercevant le cul bouché d’Ynès.

- Agnès, apporte-moi de la pommade contre les brûlures. Fais vite, idiote !

L’assistante sort sans dire un mot et revient très vite avec de la pommade.

- Retire la bougie à madame et passe lui de la pommade.

L’assistante retire la bougie lentement. Ynès sent sa respiration haletante. Ses mains tremblent. Agnès dépose la bougie au sol et nettoie avec ses doigts les restes de paraffine coulés sur la peau. Puis elle applique la pommade. Ses mains sont douces. Ynès ferme les eux pour ressentir plus fort tout le bien-être de ce massage.

Dès qu’elle a terminé, elle ramasse la bougie et sort en lançant à Marc un regard interrogatif.

 - Tu ne m’as pas du tout dit cela ! Séverin a repris le contrôle de lui-même. Les paroles étonnantes de Marc et l’intervention de l’assistante l’ont déstabilisé.

 - J’ai beaucoup réfléchi depuis notre dernière rencontre. Si tu aimes cette fille je n’ai pas le droit d’exiger qu’elle te trahisse. Je n’ai pas été très correct avec toi par le passé. Puisque j’ai l’occasion de me racheter, je le fais.

Séverin se lève et serre la main de son ami retrouvé.

- Je dois t’avouer que je t’ai beaucoup détester ces dernières heures.

- Je me déteste encore souvent. Agnès revient ici ! Marc a parlé fort.

L’assistante entre. Elle semble tout à coup timide. Elle caresse doucement sa joue endolorie.

 - Je te présente Ynès et Séverin. C’est chez eux que tu iras vivre dans quelques semaines afin de te préparer correctement pour vivre ensuite avec moi. Prend bien modèle sur Ynès car c’est une fille comme elle avec qui j’aurais aimé vivre. Je veux que tu sois sa copie conforme.

 - Oui Marc, fit la jeune femme. Je serais très attentive et je te promets d’apprendre vite et bien.

 - Bien sors à présent.

 Une fois l’assistante disparu Marc prie le couple de s’asseoir, lui-même prend place à son bureau.

 - Du point de vue médical, demain, nous ferons une série d’analyses préparatoires. Si tout est bon, nous attaquerons l’ablation des testicules. Il faut que vous soyez le plus vite possible débarrassée de ces boules disgracieuses. Vous me plaisez et je veux prendre une part à votre bonheur puisque que vous allez prendre une part au mien. J’aimerais qu’après cela nous puissions être des amis, des vrais.

 Ynès et Séverin ne répondent pas. Ils se regardent et sourient.

 - Bien puisque cela à l’air de vous convenir, je continue. Deuxième phase, très vite l’augmentation des seins. Séverin m’a donné des côtes très précises qui seront respectées. Vous aurez une superbe grosse poitrine ferme et souple.

 A nouveau Ynès se tourne vers Séverin qui rougit.

 - Ce coquin veut de belles grosses doudounes et il les aura. Je suppose que les anneaux resteront en place !

Le couple ne fait aucun commentaire.

- ... Il faudra patienter une semaine pour que tout cicatrise et que les hématomes diminuent ; durant cette période, ce ne sera pas très beau à voir. Si vous avez des questions, je vous écoute.

 Ynès n’a rien à dire. Tout se déroule pour le mieux. Cependant :

- Voudriez-vous m’expliquer ce que vous attendez de moi aujourd’hui ?

- J’aimerais chère demoiselle passer la journée avec vous pour vous connaître mieux. Il est nécessaire que j’ai cet entretien afin de passer à la dernière tranche de l’opération.

- Comment cela une dernière tranche ? dit Séverin en se soulevant de son fauteuil.

Marc met les mains devant lui en signe d’apaisement.

 - Je ne t’ai rien dit mais j’ai compris d’après le peu que tu m’as raconté que ta femme pourrait avoir des ennuis si elle était reconnue par des anciens amis à elle. Puisque mademoiselle a admis elle-même qu’elle s’était prostituée il y a quelques minutes. Alors, je voudrais vous proposer ceci :

Marc se penche et tournant un écran d’ordinateur présente l’image d’Ynès.

- A partir de la photo que tu m’as remis l’autre jour, j’ai simulé une intervention de chirurgie esthétique. En fait, j’ai fait plusieurs simulations et j’attends votre avis et votre choix. Vous voulez vivre ici sans risque ? Vous voulez vous aimer en toute liberté ? Moi, j’aimerais avoir des amis fidèles en qui j’ai toute confiance et qui reconnaissent ma vie sexuelle et sentimentale. Nous pouvons nous apporter mutuellement le bonheur.

Ynès prent la parole :

- Docteur, pourrions-nous en parler seuls un instant Séverin et moi ?

Le docteur se lève et sort.

- Ynès, je te jure de n’être pas au courant de cette proposition.

 - Chut ! Marc a raison. Tout à l’heure, en traversant la ville, je pensais combien j’aimerais marcher dans cette ville à ton bras. M’asseoir à la terrasse d’un café, faire les boutiques avec toi. Si je garde mon visage, je ne serai jamais à l’abri d’une rencontre avec mon passé et que se passera-t-il alors ?

Séverin réfléchit un moment sans dire un mot. Puis

- Je t’aime avec ton visage. Aimerai-je celle que tu deviendras ?

 - Regardons les simulations et nous verrons.

Ils se penchent vers l’écran. Dans l’autre pièce, le docteur et son assistante ont une discussion moins posée. Des cris et des coups fusent. L’assistante n’est peu être pas aussi docile que ça.

 Ynès se concentre sur l’écran. Elle regarde les visages défilent devant elle. Aucun ne lui plait vraiment. Tout à coup, son regard est attiré par une photo. Séverin semble s’arrêter sur la même. Ynès y voit un visage d’une beauté mystérieuse ou curieusement elle a encore le sentiment d’être elle-même.

 Séverin se tourne vers Ynès.

 - Que penses-tu de celui-là ?

- Je voulais te poser la même question : Te plairait-il d’avoir cette jeune femme pour épouse soumise ?

 - Oui, je crois que oui. C’est tout toi en étant pourtant une femme différente que personne ne pourra reconnaître. Marc et toi avaient raison : tu dois changer de visage et ce visage sera le tien.

 Séverin se lève et se dirige vers la porte. Les cris fusent encore. Il fait signe à Ynès de s’approcher.

- Ouvre la porte. Je préfère que ce soit toi, tu as plus l’habitude que moi pour ce genre de situations.

 Ynès ouvre la porte. Elle a envie de rire. Le spectacle est surprenant. Marc est assis sur la chaise de l’assistante. Celle-ci est allongée en travers de ses genoux, la robe retroussée et la culotte baissée. Elle compte en criant chaque claque que lui administre Marc. Elle lève la tête vers Ynès et tout en la fixant dans les yeux continue à compter. Elle a seulement cessé de crier. Ses yeux sont noyés de larmes et ses joues sont pourpre.

 Marc aperçoit Ynès. Il cesse ses coups et oblige Agnès à se relever. Celle-ci reste avec sa robe relevé. Elle fixe durement Ynès. Elle a un pubis crépus mais peu fourni. Marc lui ordonne de se rajuster et de terminer son travail.

- Elle ne connaît pas bien l’orthographe. Je suis donc obligé de lui inculquer les règles fondamentales du français. Bien passons à côté, je suppose que vous avez réfléchi.

Agnès regarde Ynès s’éloigner. Elle remonte sa culotte et baisse sa jupe en prenant son temps. Elle ne détourne pas son regard un seul instant. Ynès est très impressionnée par ce regard. Elle n’a pas peur mais elle sent déjà que son dressage sera difficile.

Séverin ne tarde pas à prendre congé. Il a indiqué son choix. Les deux hommes réglent certains détails pratiques puis se serrent la main. Séverin prend Ynès à part et l’embrasse fougueusement. Puis il sort

 Ynès est seule avec l’homme qui va la transformer.

 Agnès entre. Elle s’approche de Marc et lui parle à l’oreille.

 - Agnès me demande si vous allez commencer son dressage aujourd’hui.

- Cela peut attendre. Je prendrai contact avec elle le moment venu. Il faut qu’elle se tienne prête dès maintenant. Encore une chose : le dressage commencera ici à la clinique devant les autres.

 - C’est une excellente idée. Ma chère Ynès, sur ses bonnes paroles, je vous propose d’aller déjeuner à mon club. Nous pourrons faire mieux connaissance.

 Le couple sort de la clinique. Marc tient Ynès par la taille. Ils marchent pour arriver au club. Ils sont accueillis par un maître d’hôtel très british qui les guide vers la table déjà préparée de Marc. Tout est prêt et Marc sait apparemment bien ce qu’il fait.

 Le déjeuner est agréable. Après un excellent repas; ils s’installent sur des bains de soleil au soleil de cette fin d’hiver et discutent.

 Ynès se raconte en laissant le maximum de détails dans l’ombre. Puis Marc raconte ce qu’Ynès sait déjà. Il dit son homosexualité et tous les espoirs qu’il met dans la réussite d’une transformation réussie d’Agnès.

Le soleil se couche lentement. Marc propose à Ynès de se rendre chez lui. Ils quittent le club et prennent la voiture de Marc. Sitôt installée, Ynès retrousse sa robe et sa verge et écarte les cuisses.

 - Je dois me tenir ainsi chaque fois que je suis assise en voiture.

 - Est-ce vous qui avez édicté cette règle ou Séverin.

 - Mon maître veut que j’ai cette position et j’obéis en toutes circonstances. Pourrais-je vous demander quelque chose ?

 Marc acquiesce en silence.

 - Je voudrais que ma verge soit retroussée à vie. Sera-t-il possible de pratiquer une circoncision ?

 - Il n’y a aucun problème. Ynès vous êtes vraiment très belle et j’ai très envie de faire l’amour avec vous.

 - Je suis à votre disposition jusqu’à demain matin.

 - Je ne veux pas faire cela avec une pute mais avec une femme !

 - Je suis une femme. Je le serai encore plus demain grâce à vous. Mais ce soir je suis surtout une esclave soumise qui obéit aux ordres de son maître. Séverin veut que je fasse tout ce que vous voudrez. Je me donnerai à vous comme une femme soumise. La bougie de ce matin vous montre que vous pouvez tout obtenir de moi. Je vous demanderai simplement d’user de la même violence qu’avec Agnès. J’ai besoin de savoir jusqu’où je devrai aller avec elle. Faites avec moi ce que vous aimeriez lui faire, tout, absolument tout.

 Pour toute réponse, Marc gifle la verge d’Ynès avec force. Ynès a envie de vomir tellement le coup est violent et douloureux. Elle retient sa nausées et offre sa queue à une nouvelle volée qui s’abat aussi durement que la première.

 - Ma réponse est-elle correcte ?

 - Oui Monsieur.

 - Non, appelez-moi Marc. Je veux que nous devenons amis. Je veux bien agir comme je le ferai avec Agnès mais je veux que nous puissions être de bons amis après. Si je vous fait trop mal, je veux le savoir.

 Ils arrivent à la maison de Marc. Celle-ci est modeste et moderne. Une construction sans âme véritable et sans style.

 L’intérieur est du même ordre. Marc a besoin d’une femme sans aucun doute. La soirée et la nuit sont longues et douloureuses pour Ynès. Ils font l’amour plusieurs fois. Marc est un amant audacieux et très viril. Ynès prend du plaisir à souffrir et à jouir avec son amant d’un soir. Sur le petit matin, elle sait ce que devra être le dressage d’Agnès. La pauvre fille a un apprentissage sévère en perspectives.

 Ynès se lève et s’éloigne du lit sur lequel repose Marc. L’homme dort détendu et repu. Il dort sur le ventre offrant ses fesses. Ynès prend une bougie décorative en cire d’abeille qui orne un magnifique bougeoir en cuivre sur la cheminée de la chambre. Elle s’approche du lit. Délicatement, elle écarte les fesses de Marc et crache sur l’œillet ainsi découvert. Prenant la bougie par sa base; elle applique l’extrémité fine de son gode improvisé contre la peau fripée. Avec un mouvement tournant, elle fait pénétrer lentement le gode sur toute sa longueur sans que Marc ne s’éveille. Elle entame alors un va-et-vient lent. Les parois rugueuses de la bougies ont tôt fait de réveiller le mâle sodomisé. Il se retourne. Ynès reprend la bougie de face et poursuit son mouvement tandis que son autre main s’empare de la verge déjà en ascension. Elle couvre le gland turgescent de ses lèvres et le pompe. Ses deux mains synchronisées soulèvent le corps du docteur. Il jouit en même temps des deux côtés. Ynès avale consciencieusement le sperme et nettoie avec sa bouche devant les yeux effarés de Marc la bougie. Elle se lève et remet la bougie à sa place.

 - Tu es une vraie salope. Jamais personne ne m’a enculé avant toi. Je viens de découvrir un plaisir inoubliable. Merci tendre et douce Ynès d’avoir été mon initiatrice. Voudrais-tu parfaire cette découverte de la sodomie avec ta propre verge ?

 Ynès a remis sa robe.

 - Non cher docteur ! Je réserve cela à mon mari. Vous aurez bientôt une bonne esclave pour assouvir ce besoin nouveau. Maintenant vous avez du travail. En route !

Marc se lève frustré et passe dans la salle de bain. Il s’habille rapidement.

 - En route ! Puis-je au moins espérer faire la connaissance profonde de votre verge après ?

 - Après ! répondit Ynès, et si mon Maître le désire.

 Le voyage de retour vers la clinique est rapide et silencieux. Chacun se prépare à jouer son rôle. Ynès a bien sûr pris sa position désormais obligatoire en voiture. Marc en profite pour prendre la verge à pleines mains et à la masturber. Ynès  apprécie la caresse faite avec beaucoup de science. Quand elle sent que la jouissance monte, elle dit à Marc :

 - Mon Maître ne veut pas que j’éjacule, Marc et je sens que cela vient.

Marc lâche immédiatement la verge qui tressaute, à nouveau désemparée d’être abandonnée aussi proche du plaisir. Ynès hurle presque de tant de frustration et ferme les yeux. La queue mit longtemps avant de reprendre sa taille normale. Marc sourie.

 -   Ynès, de Séverin j’aurais gardé les couilles rien que pour le plaisir de vous frustrer chaque jour. D’ici demain, plus aucun jus ne sortira. Peut-être voudriez-vous garder des paillettes de votre semence ?

Non ! Je ne veux rien garder du tout.

Ynès s’habille correctement avant de sortir de la voiture. Il est tôt. Agnès attend sur le parking. Elle s’avance vers le couple. Marc passe devant elle sans rien dire. Il monte dans son bureau. Ynès s’arrête à la hauteur de l’assistante du docteur.

 - Bonjour Agnès déjà là ?

 - Bonjour madame Oboé. Marc m’a téléphoné avant de partir pour exiger que je sois présente à votre arrivée et que je me mette à votre entière disposition. Madame, mon dressage commencera quand ?

 - Tu as envie qu’il commence très vite ou as-tu peur qu’il commence ?

 - Les deux madame. J’ai très envie de devenir votre esclave et celle de Marc et j’ai très peur aussi d’avoir mal.

 - Tu vas avoir mal sans aucun doute. Mais je vais tout faire pour arranger ce mal en bonheur et plaisir. Avant tout cela, je veux connaître ton histoire. Je suppose que tu dois m’installer dans une chambre pour passer les examens préliminaires ?

 - Oui, Marc vous a attribué la chambre 407. Elle est au dernier étage et donne accès à une terrasse. Vous pourrez y passer une convalescence calme et à l’abris des regards.

 - Et bien mène-moi à la 407. Mais avant j’aimerais que tu enlève ta culotte maintenant.

 - Ici madame ?

 Ynès gifle Agnès.

 - Quand tu reçois un ordre : tu obéis et tu ne discutes jamais.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 11:20

Chapitre 11

 Agnès passe les mains sous sa jupe plissée pour descendre sa culotte.

- Non, relève ta jupe sous tes seins.

Agnès, rouge et lançant des regards partout remonte lentement sa jupe puis baisse sa culotte. Ses mains tremblent. Comme la veille Ynès peut voir un pubis peu poilu et très frisé.

- Bien ! Baisse ta jupe et jette ce chiffon sur la pelouse. Je ne veux plus que tu mettes de culotte. Portes-tu un soutien-gorge ?

- Oui madame.

- Retire ton chemisier et enlève moi ça.

Cette fois Agnès ne dit rien. Elle déboutonne son chemisier blanc et le pose à terre. Puis elle passe ses mains dans son dos et détache les agrafes du vêtement. Elle le lance lui aussi sur la pelouse. Ses seins ballottent.

- Remets ton chemisier et laisse les boutons jusqu’aux seins dégrafés. On doit pouvoir plonger dans ton corsage et tout voir. Chaque fois que tu le pourras, tu te pencheras en avant pour offrir à quiconque la vue de tes seins nus.

- Oui Madame.

Abandonnant la lingerie blanche sur le vert pelouse, les deux femmes se dirigent vers la porte. Agnès ouvre et s’efface. Ynès lui claque les fesses en passant devant elle. Ce geste n’a pour spectateur que le concierge. Il a vu toute la scène depuis la culotte et lance un regard trouble à Agnès quand celle-ci passe devant lui. Dès qu’elle est à sa portée, il envoie sa main sous sa jupe.

- Salope, murmure-t-il, t’as un beau cul !

Ynès qui a tout entendu laisse Agnès faire face au concierge.

- Non mais ?! Vous êtes un voyeur, vous ! Sale vieux con obscène. Allez vous toucher dans les toilettes.

Agnès est rouge de confusion et de colère.

Le concierge s’étouffe devant la réponse d’Agnès. Ynès intervint :

- Enlève ta jupe et assois-toi sur le comptoir face à monsieur les jambes bien écartées.

- Mais ?

Ynès la gifle une nouvelle fois et l’attrape par les cheveux.

- Obéit immédiatement. Pour ponctuer sa phrase, Ynès lui donne une grande tape au niveau du bas ventre. Agnès reçoit le coup et se plie en deux.

En se relevant, elle lance à Ynès un regard plein de furie et de douleur mais elle ne dit rien, elle contourne le comptoir. Elle se défait de sa jupe qu’elle laisse choir sur le sol en plein milieu et s’aidant d’une chaise, elle grimpe sur le comptoir puis elle écarte les cuisses. Avec ses mains, elle écarte même les lèvres de son sexe. Et s’offre aux regards troubles du concierge.

 - Vous pouvez la lécher si vous le voulez. Mais à une condition : dégrafez votre pantalon et masturbez-vous devant elle. L’homme fait sauter ses bretelles et dégage une paire de couilles tristes. Il retrousse son sexe et se masturbe tout en léchant le sexe d’Agnès

Ynès s’approche de l’oreille de la jeune femme et lui glisse.

- Pisse lui dans la bouche.

 Agnès qui a tout à coup perdue toute pudeur se cambre et se met à uriner. Le pauvre homme ne s’aperçoit de rien ou fait semblant et boit quelques gorgées d’urine. Il se cambre  soudain et éjacule sur le pubis d’Agnès. Le sperme blanchâtre sur la peau ambrée de la jeune femme met en appétit Ynès qui s’approche. Elle recueille le sperme sur son doigt et le présente devant la bouche de la jeune femme.

- Bois ! Tu dois toujours nettoyer le liquide mâle avec ta bouche où qu’il se trouve.

Quand elle a nettoyé tout le liquide séminal, Ynès attrape l’homme par les couilles. Elle serre fortement.

- Si tu dis un mot de tout cela, je viendrai te les couper. Par contre si tu es sage, tu pourras recommencer plus tard. Cette gentille dame t’offrira encore du plaisir souvent.

 - Oui madame, promet le concierge en se tordant de douleur.

Agnès descend du comptoir, remet sa jupe et guide sans un mot Ynès vers sa chambre.

Ynès s’installe sans qu’Agnès ne fait le moindre commentaire.

- Agnès, viens ici !

- Oui madame.

- L’épisode du concierge se renouvellera avec lui et avec d’autres. N’oublie plus jamais que tu dois obéir immédiatement à tous mes ordres. Ton corps ne t’appartient plus. Tu dois pouvoir l’offrir à qui je veux.

- J’ai bien compris Madame. Désormais je saurai faire tout ce que vous exigerez de moi.

- Très bien. As-tu pris du plaisir à lui en donner ?

- Oui beaucoup, je crois que j’ai joui tout en pissant. Agnès baisse les yeux en rougissant.

- Bien tu vas devenir une bonne esclave. Tu devras souvent d’exposer au regard des autres. En attendant, je voudrais que tu me racontes un peu ton histoire. Je veux tout connaître de toi. Tu ne dois rien me cacher, même si tu en as honte.

Sa vie n’était pas simple finalement et l’amour qu’elle avait pour le docteur semblait être aussi une planche de salut. Ynès se dit que finalement beaucoup d’êtres étaient semblables à elle.

- Je m’appelle Agnès Oung’naba. J’aurai 30 ans le mois prochain. Je suis née en Afrique dans un petit village de la côte Ouest. Mon père est un gendarme blanc qui est tombé fou amoureux de ma mère. Il travaillait en coopération et assurait la formation des gendarmes de mon pays. Il vivait dans le village de ma mère. Ils sont tombés amoureux. Plutôt ma mère est tombée folle amoureuse d’un beau blanc. Je peux la comprendre aujourd’hui. Ils ont vécu ensemble dans une case. Ce fut le bonheur parfait durant 10 mois. Les parents de ma mère n’approuvaient pas cette union avec un blanc mais ils devaient être prudents car les autorités locales avaient besoin de ces blancs. Ils durent obéir sans dire un mot. Lorsque ma mère est tombée enceinte, elle n’a rien dire à mon père. Il était parti en mission dans l’Ouest du pays. Elle pensait lui dire à son retour. Mais mon père n’a jamais connu mon existence. Il n’est jamais revenu dans le village. Ma mère a cherché à savoir ce qu’il était devenu sans succès. Je n’ai jamais su qui il était et d’où il venait. Je sais seulement qu’il est français. Ma mère m’a mise au monde dans le village comme le veut la tradition. Mes grands-parents m’ont acceptés et j’ai été élevé par mon grand-père comme les autres enfants du village. Ma peau beaucoup plus blanche n’a jamais fait de moi un être différent dans le village. J’avais le sentiment d’appartenir à la tribu. Un jour, j’avais 10 ans, un groupe de mercenaires est venu dans le village durant la nuit. Ils ont tué tous les hommes et emmené les femmes et les enfants des deux sexes. Bien que je n’ai jamais connu aucun racisme, la coutume voulait que les filles-mères et leur progéniture vivent à l’écart des autres la nuit pour ne pas contrarier les esprits bienfaisants du village. Trois hommes ont surgit dans la case. Ils ont emporté ma mère. Je pensais être prise aussi, mais en me traitant de sale blanche, ils m’ont frappée et abandonnée ensanglantée dans la case. J’ai mis trois jours à pouvoir tenir sur mes jambes et sans l’arrivée d’un détachement de soldats, je serai morte d’épuisement.

J’ai été placée dans un orphelinat des pères blancs. Je n’ai plus jamais entendu parler de ma mère. L’Afrique est le théâtre de nombreuses guerres tribales et l’esclavagisme n’est pas mort comme en occident. Tous les jours des individus disparaissent ou sont vendus sur des marchés. Ma mère vit sans doute encore dans un village ou dans une ville en pensant que je suis morte.

Agnès se met à pleurer. Ynès l’enlace tendrement. Elle lui caresse les cheveux.

- Arrêtons-nous si tu le désires !

Agnès fait non de la tête.

- ...J’ai suivi des études primaires et secondaires dans cet orphelinat. Vers 16 ans, les pères m’ont proposée de m’envoyer en France pour pouvoir suivre des études plus solides et passer mes examens. A cette époque, je pensais avoir la vocation et je voulais devenir religieuse. Je suis venue en France et j’ai vécu encore 5 ans dans un collège pour jeunes filles de la région bordelaise. J’ai brillamment passé mon bac. Là j’ai rencontré un jeune homme avec qui je me suis enfuie du collège. J’ai connu l’amour. Je pensais connaître le grand amour. Nous avons traversé la France : il était forain et allait de ville en ville. Je l’aidais à tenir son commerce. Puis j’ai eu un enfant. Les choses ont pris un cours bizarre. Sa famille qui tenait d’autres caravanes ont soustrait très vite l’enfant. Ils ont dit que je n’étais pas une des leurs et que je ne pourrai pas me marier. Dans les semaines qui ont suivis mon charmant jeune homme a pris femme. Il m’avait déjà chassé de sa caravane. Je vivais dans une roulotte à matériel et je faisais les poubelles la nuit pour me nourrir. J’aurais pu partir mais je ne voulais pas abandonner mon fils. Un matin, je me suis réveillée sur une aire d’autoroute. Ils m’avaient droguée et déposée sur un banc. Depuis je n’ai plus eu aucune nouvelle. Mon fils doit avoir aujourd’hui 7 ans. Il ne me connaît pas et moi non plus. J’ai erré pendant plusieurs mois. Je faisais la manche pour vivre. Je n’ai jamais voulu me donner pour de l’argent et j’avais la haine du sexe et des hommes.

- C’est là que j’interviens dans l’histoire. J’ai vu arriver un jour dans ma clinique une ambulance transportant une jeune mulâtre qui était mal en point. Elle était malade, sale et maigre. Elle sentait mauvais. J’ai fait mon possible pour réparer tout cela. Je crois y être bien arrivé.

Marc vient d’entrer dans la chambre d’Ynès. Il n’a fait aucun bruit. Les deux jeunes femmes sursautent de surprise.

- Oui, cher Marc au-delà de tout. C’est vrai que j’étais mal. J’ai mis beaucoup de temps à refaire surface. Marc m’a aidée. Il venait chaque jour me voir. Moi qui aie horreur des hommes j’étais bien avec lui : il ne semblait pas être comme les autres. Il ne me draguait pas. Il n’essayait jamais de mettre ses mains partout et quand il m’examinait, c’était toujours avec une grande douceur et un grand respect. C’est moi qui un jour aie eu envie de faire l’amour avec lui. Je me suis déshabillée et j’ai attendu qu’il vienne. Dès qu’il est entré j’ai écarté mes jambes pour lui offrir le peu que j’avais. Je savais qu’il avait eu l’occasion de me voir toute nue en me soignant. Mais je voulais m’offrir autant pour le remercier que pour assouvir un besoin presque bestial. Marc s’est assis sur mon lit. Il faisait sombre la nuit était tombée. Il venait toujours passer un moment avec moi après les visites. Il est vrai que je ne voyais personne. Il m’a pris dans ses bras et m’a dit qu’il ne pourrait jamais me faire l’amour. Je n’ai pas compris pourquoi il s’est mis à pleurer. J’ai pensé qu’il n’aimait pas les femmes noires et tout ce qui va avec. Il m’a détrompée et m’a proposée de devenir son assistante dès ma guérison. Nous n’avons jamais fait l’amour. Depuis, j’ai eu quelques aventures que je pourrais qualifier d’hygiéniques sans plus et surtout sans Amour sans respect mutuel.

Voilà maintenant cinq ans que je travaille avec lui. Je suis devenue son amie. Cependant je l’aime chaque jour davantage. Chaque matin je n’ai qu’un espoir : avant la fin du jour, Marc m’aura pris dans ses bras et transpercé de son dard. J’utilise très souvent des godes pour calmer mes coups de chaleur.

Un matin, je suis venue en avance à la clinique car je voulais finir de taper un rapport très important que je devais remettre dans la journée au Conseil d’Administration. En arrivant, j’ai entendu du bruit dans le bureau de Marc. Croyant avoir à faire à des cambrioleurs, j’ai risqué un oeil dans le bureau. Là j’ai compris pourquoi je ne serai jamais la compagne de Marc. Un homme était penché sur le bureau de Marc et celui que j’aime lui baissait le pantalon. L’homme portait une blouse blanche. C’était donc un médecin. Marc lui descendit ensuite une jolie petite culotte de femme. Ses jambes étaient gainées de soie. Il portait un élégant porte-jarretelles. Puis il s’accroupit....

- Non continue Agnès, raconte en détails. Après tout nous sommes ici pour nous connaître.

- Il s’accroupit et se mit à lécher l’anus de l’homme tout en lui caressa les testicules. L’autre semblait apprécier puisqu’il gémissait doucement. Puis Marc s’est déculotté. Il brandissait un sexe gros et tendu. Il introduisit son membre viril dans le cul de l’autre. Ils jouirent ensemble. L’autre se masturbait en même temps. Il gicla sur le bureau. Marc lui colla une fessée et l’obligea à lécher son sperme. Je refermais la porte et je sortais. Je ne vins pas travailler ce jour-là. Le lendemain, Marc me convoqua dans le bureau. Et me demanda la raison de mon absence. Je lui racontais que je ne m’étais pas sentie bien. Il me traita de menteuse et de sale petite voyeuse. Puis il me gifla. Je me mis à pleurer. Marc se radoucit et me prit dans ses bras. Il me raconta qu’il m’avait vu. Il me raconta tout ce qu’il vous a dit et aussi pourquoi nous ne pourrions faire l’amour ensemble. J’ai décidé à ce moment là de le faire changer d’avis. Je me suis mise à m’habiller très sexy et à le provoquer. Comme vous l’avez remarqué, je prends toujours des pauses suggestives en travaillant. Je veux le rendre jaloux et amoureux. Il y a quelques jours, Marc m’a annoncée votre venue. Il m’a dit que si je voulais toujours faire l’amour avec lui je devrais apprendre un certain nombre de choses. Notamment la soumission. Je lui ai demandé s’il voulait que je devienne sa petite négresse, son esclave. Il m’a répondu que oui. Il faudrait que j’accepte de suivre un stage de dressage chez vous après votre opération.

Ynès se tourne vers Marc.

- Lui as-tu tout dit ?

- Non c’est à toi de le faire. Je vais faire un tour. Je reviendrai plus tard.

Marc se lève et disparait. Ynès reste en face d’Agnès.

- Pourquoi me regardais-tu si durement hier ?

- Je voulais vous provoquer. Je veux devenir son esclave si c’est le seul moyen pour moi de lui appartenir. Je préfère même qu’il me pénètre par le cul plutôt que par le vagin. Je hais toujours les hommes et, comme vous ...

- Je suis encore un homme, tu ne veux pas subir un dressage de ma part.

- Non vous n’y êtes pas. Je sais que vous allez vous faire opérer et devenir une femme spéciale. Non j’ai seulement peur, encore maintenant, que Marc ne tombe amoureux de vous et qu’il m’oublie et me rejette.

- N’aie aucune crainte. J’aime un homme. Tu l’as vu hier. Je ne pourrais appartenir qu’à lui seul. Sais-tu ce que ton dressage doit t’amener à devenir ?

- Oui une esclave !

- Non UN esclave. Marc veut que tu subisses toi aussi une opération mais dans l’autre sens. Il veut te greffer un pénis tout en gardant tes charmes féminins. Il veut que tu subisses un dressage sévère afin que tu acceptes. Moi je crois que le dressage n’est peut être pas nécessaire.

- Oh ! La nouvelle que vous m’annoncez est extraordinaire. Ainsi Marc veut que je devienne un homme pour pouvoir faire l’amour avec moi. OUI, OUI, OUI; Cent fois OUI; Des millions de fois OUI. Mais je veux aussi recevoir un dressage sévère. Depuis quelques jours, il me gifle et me donne des fessées pour un rien. J’ai accepté et j’accepte tout ce qui peut venir de lui l’amour comme les coups.

 - Je crois que nous sommes tous sur la bonne voie. Dès que je serai une femme tu seras dressée à obéir à ton maître.

Agnès se jette au cou d’Ynès. Marc voit la scène de loin et comprend qu’il a gagné. Il voit soudain Agnès se lever et courir vers lui en lui tendant les bras.

- Assez. Va prendre ton service. Rien n’est encore fait.

Agnès rectifie sa tenue et s’apprête à sortir de la chambre.

- Stop ! Ynès vient de prendre sa voix dure. Viens ici !

Agnès se retourne et sans plus voir Marc se précipita au devant d’Ynès.

- Soulève ta jupe et écarte tes cuisses !

Agnès obéit.

- Tourne toi vers ton Maître et penche toi en avant.

Agnès fit face à son amant avec fierté. En se penchant elle offrit son anus bien ouvert.

Ynès sort de son sac deux petites boites contenant chacune des boules de geisha. Ces boules au nombre de deux, contiennent chacune un poids en métal qui se déplace librement dans sa gangue de plastique au grès des mouvements. Les deux boules sont reliées par une cordelette. Ynès prend la première paire de boules et l’introduit dans le vagin d’Agnès. Un bout de la cordelette reste en dehors pour pouvoir les retirer. Elle introduit ensuite l’autre paire dans l’anus.

 - Relève toi. Tu garderas ces boules jusqu’à ce soir. Après ton service, tu viendras me retrouver et tu passeras la nuit ici. Va.

 Agnès se retire. Ynès lève les yeux vers Marc. Il sourit. Il est heureux.

 - Je reviens dans un petit moment. Nous avons du travail maintenant.

 Ynès s’installe et s’assoit près de la fenêtre. La vue est splendide. On voit la baie presque mieux que depuis son appartement. Pourtant la clinique n’est pas construite en bord de mer mais elle domine la ville et permet d’embrasser tout l’horizon. Ynès doit interrompre sa contemplation car une infirmière entre. Elle se met au lit et les examens commencent. Ce travail préparatoire dure une bonne partie de la journée.  Marc vient la voir vers le soir. La nuit tombe sur la baie. Ynès n’a pas vu Séverin de toute la journée et il commence à lui manquer.

 - C’est très bien ! Tout est OK. Nous commençons demain matin très tôt.

 - Puis-je voir Séverin ?

- Non, ce soir du calme et du repos. Séverin sera autorisé à te voir après l’ablation. Je t’envoie Agnès pour la nuit. Elle est très excitée. Elle n’a pratiquement rien fait de la journée sinon des bêtises. Occupe toi bien d’elle et repose toi.

Marc disparait et Agnès entre quelques minutes après.

- Approche et déshabille toi.

Agnès se dévêt rapidement et vient se placer devant Ynès.

- Tourne toi.

Ses fesses sont rouges et striées.

 - Encore du mal avec l’orthographe. Bien, je suis assez fatiguée. Tu vas dormir au pied de mon lit directement sur le sol. Retire tes boules. Qu’est-ce que tu en penses ?

- Je suis toute mouillée. Les boules bougent sans arrêt. C’est infernal. Suis-je obligée de les retirer ?

- Oui mais demain tu pourras les remettre toute seule. Pour ce soir, je préfère t’équiper plus sérieusement. Va aux toilettes et soulage toi car tu ne pourras plus le faire avant demain matin, puis fait quelques ablutions rapides en laissant la porte ouverte. Je veux tout voir et tout entendre.

Agnès s’exécute avec application. Puis elle revient vers le lit. Ynès a sorti de son sac deux godes assez modestes en diamètre et en longueur. Elle oblige la jeune femme à les lécher puis les lui enfonce. Elle sortit ensuite de son sac une sorte de ceinture de cuir constituée de deux lanières : une passe entre les cuisses en s’enfilant dans un anneau plat à chaque gode et l’autre se fixe autour de la taille. La première lanière vient se prendre sur la deuxième. Ynès peaufine le tout en fermant la lanière de la taille par un cadenas. Agnès est godée pour la nuit sans aucune possibilité de retirer d’un millimètre un des deux godes. Ynès fixe ensuite un collier de cuir autour du cou de la jeune femme qu’elle fixe par une chaîne au pied du lit. La chaîne est courte et oblige la jeune femme à rester à plat ventre. Les mains sont liées dans le dos par une paire de menottes ainsi que les chevilles. Elle relie enfin les mains et les chevilles par une cordelette et tire dessus : les jambes se plient à la rencontre des poignets qui doivent se tendre. Ne pouvant plus faire un mouvement, Ynès laisse Agnès à ses tourments nocturnes et s’allonge. Tout tourne dans sa tête. Ynès met longtemps à trouver le sommeil. Elle pense à demain et à Séverin. Les plaintes étouffées d’Agnès viennent encore rajouter à l’atmosphère étouffante de cette nuit. Ynès se rend soudain compte qu’elle se masturbe. Sa verge est droite et tendue à la recherche d’un plaisir solitaire. Elle se laisse aller à cette caresse et s’arrête en sentant monter le plaisir. La frustration est comme à chaque fois dure à accepter mais elle fait partie de son devoir désormais.

 Ynès sursaute en entendant la porte s’ouvrir. Une infirmière entre et ouvre les tentures qui obscurcissaient les fenêtres. Elle étouffe un cri en apercevant Agnès et sort en courant. Elle revient quelques instants plus tard avec une autre infirmière. Cette-ci lui parle à mi-voix. Elle ne semble pas surprise. Quand elle a terminé, la première s’approche d’abord d’Agnès et s’assure qu’elle respire. Puis se penche vers Ynès qui s’éveille.

 - Madame, nous allons partir en salle d’opération dans quelques minutes. Que dois-je faire de la jeune dame ?

 Quand je serai partie, prenez les clés sur la table de nuit et détachez la. Elle sait ce qu’elle doit faire ensuite. Laissez tout sur le lit.

- Bien madame !

 Ynès est transportée sur un brancard vers la salle d’opération. Elle se sent vite envahie par une grande torpeur puis c’est le trou noir.

 Lorsqu’Ynès se réveille Séverin se penche sur elle et l’embrasse.

 - Bonjour mon Amour !

 Immédiatement Ynès porte les mains à ses seins. Ils ont beaucoup grossis. Ynès est nue dans le lit. Séverin écarte ses mains et lui caresse délicatement chaque mamelon.

 - Est-ce que tu aimes mes doudounes ?

 Pour toute réponse, Séverin applique un doux baiser sur chaque téton.

 - Marc est un artiste. Regarde les jolis bouts en érection permanente.

 Ynès baisse son menton. Ses bouts de seins sont turgescents. Les anneaux se révèlent davantage. Ynès a des seins de femme qui ne passeront plus inaperçus. Les robes auront maintenant deux petites pointes suggestives.

Ynès fait glisser une main vers son bas ventre. Elle porte une sorte de grosse culotte de coton. Le pansement. Séverin lui explique qu’elle doit garder cette culotte durant 3 à 4 jours. Puis la cicatrisation se fera à l’air. L’opération a bien réussi. Marc est content.

 Marc entre accompagné d’Agnès. Celle-ci se précipite devant le lit d’Ynès soulève sa jupe et montre fièrement qu’elle a remis ses boules.

 - Tu y as pensé ?

 - Oui, Maîtresse. Je ne les ai pas enlevées depuis trois jours..

 - Trois jours ! Ynès se relève sur son lit. Mais une douleur fulgurante la saisit au ventre.

 -Doucement lui dit Marc. Tu dois rester allongée et ne faire aucun effort. Les points doivent cicatrisées. Je te promets que dans trois jours tu pourras de lever. Ton esclave est plus obéissante : elle vient chaque soir et demande à l’infirmière de garde de l’attacher en position. Le jour, elle travaille. Plusieurs clientes m’ont déjà fait remarqué qu’elle ne portait pas de culotte. Mais le plus étrange est le concierge qui a tendance à avoir des gonflements répétés à la braguette.

 - C’est bien Agnès. Ce soir, tu auras une petite surprise. Pour le concierge, il suffit de lui dire de monter me voir ce soir après les visites. Agnès attendra qu’il soit venu pour me rejoindre.

 Séverin embrasse encore sa femme. Marc et Agnès sortent laissant les deux amants en tête à tête.

 - Comment vont nos esclaves ?

 - Tout va pour le mieux. Si tu veux je te raconte.

 Ynès invite son Maître et amant à prendre place dans le fauteuil. Elle ferme les yeux pour mieux savourer le récit.

 - Après t’avoir laisser aux mains de ce sadique, il y a maintenant 3 jours et 4 nuits, je suis remonté à la maison. Bénédicte et Antoine étaient très affairés. Ils s’occupent de la maison avec plus de zèle qu’avant. Dès qu’ils ont entendu la voiture, ils sont venus aux nouvelles. Quel spectacle de voir cette femme et cet homme nus avec leur ceinture de chasteté et leurs anneaux attendre sans aucune gène le retour du Maître. Sans hésiter, ils se sont mis en position de soumission et ont attendu sans un mot que je parle. Antoine bandait très fort. Le fait de se sentir ainsi devant moi sans doute...

 N’ayant pas de nouvelle à donner, j’ai ordonné à Antoine d’aller chercher le fouet. J’ai, je dois l’avouer, passé mes nerfs et ma tension sur la pauvre Bénédicte. Elle a reçu sans se plaindre une centaine de coups de fouet. Sa peau était lacérée. Elle est restée en position durant toute la punition avec Antoine à côté. Pendant que je m’activais sur Bénédicte, je cherchais quoi faire d’Antoine. Il faisais froid et je le vis grelotter. Il me vint alors l’idée de le punir à ta façon. Je lui ai ordonné de s’enculer sur le pot d’échappement de la voiture. A cause du froid celui-ci avait déjà refroidi. Mais il était encore chaud. Antoine est allé à quatre patte vers l’arrière de la voiture puis en me faisant face et en s’assurant que je le regardais, il a écarté ses cuisses et en se cambrant à appliquer son anus sur le pot. La chaleur l’a fait hésité. Il est resté immobile et m’a regardé. Je me suis avancé vers lui, il a reçu plusieurs coups sur les testicules et je lui ai dit : «  Plante-toi bien à fond. Je veux que ta fesse droite touche le pneu ». Antoine a repris immédiatement son enculage. Cette fois, la chaleur n’a pas arrêté son mouvement. Je l’ai vu s’enfoncer lentement et sa fesse se collait au pneu.

Je me suis accroupi et j’ai passé ma main sur ses fesses. Le tuyau était encore assez chaud. Son anus était bien ouvert à fond et la fesse était soudée au pneumatique. J’ai fait courir mes doigts un moment sur l’entrée de l’anus. Antoine soupirait de plaisir et de douleur en même temps. Puis j’ai caressé sa queue. Elle s’est mise à bander de plus belle et à mouiller. J’ai fini par le masturber très lentement. Très vite, j’ai vu Antoine qui accompagnait ma masturbation pas un lent va-et-vient sur le pot en gardant tout de même la fesse collée. J’ai arrêté juste avant qu’il jouisse. Il a poussé une longue plainte et son sexe a vibré durant quelques minutes. Il haletait.

Je n’avais jamais fait cela et j’y ai pris beaucoup de plaisir. Je dois même te dire que j’ai recommencé depuis deux ou trois fois. Chaque fois, cela me fait bander très dur aussi. J’ai hâte de faire la même chose avec toi.

 Ynès lance un regard interrogatif.

 - Non rassure-toi ! Je ne t’ai pas remplacé. Mais j’aime voir jouir Antoine dans la souffrance surtout devant Bénédicte qu’il n’a pas sauté depuis ton départ. Ils savent d’ailleurs tous les deux qu’ils ne pourront pas le faire avant ton retour. Quand je mange, je veux que Bénédicte apporte tout puis monte sur la table et s’offre à moi. J’appelle Antoine, je lui retire sa ceinture de chasteté et je le branle lentement pendant que Bénédicte me donne à manger. Elle est obligée d’assister sans avoir la moindre participation. Après le repas, je m’étends sur une chaise longue. Dès que Bénédicte a fini son service : j’attache Antoine par le nez à l’anneau de l’entrée et j’appelle Bénédicte. Selon les jours, je lui retire le god et la ceinture et je m’entraîne à la pénétrer avec ma main. Hier soir, j’ai même introduit les deux mains dans son vagin. Généralement, je la masturbe, elle aussi pendant de longues minutes et elle doit me dire chaque fois qu’elle jouit. Là je retire ma main et elle la nettoie avec sa langue. Chaque soir, ils sont attachés. Un soir sur deux ils reprennent la même place. Depuis ton départ aucun n’a couché dans le lit. Lorsque un est attaché sur le sommier métallique l’autre est dans le cachot.

Sur le sommier, ils sont toujours à plat ventre, les seins entre les mailles. Les anneaux sont reliés et un poids de 1 kg y est suspendu. Les pieds et les mains sont attachés très écartés. Le sexe de l’un comme de l’autre est étiré par un poids de 2 kg et l’anus est maintenu ouvert par le spéculum qui est réglé à 10 cm de diamètre. Celui qui est dans le cachot dort sur le dos. Les pieds et les mains sont en élongation horizontales. Les seins et le sexe sont étirés vers le haut par des contrepoids de 3 kg pour chaque point. L’anus est fourré avec la batte de Base-ball. Dans les deux cas ils sont bâillonnés avec les baillons et cagoulés. Ils restent ainsi de 10 heures du soir à 8 heures du matin. Durant la sieste de l’après-midi. Je les attache, cul contre cul, couchés sur le dos sur le gravier de l’allée menant au garage. Antoine à les mains attachés au-dessus de sa tête à l’attache de remorque de la voiture. Ses cuisses passent par dessus celles de Bénédicte. Elle a les mains attachées au dessus de sa tête au portail. Antoine a acheté un tube de PVC de 12 cm de diamètre. Je les encule sur le même tube. C’est le seul moment ou ils peuvent copuler par le cul et ils ne s’en privent pas. L’avantage du tube creux est que si on s’en sert comme god; il se remplit vite de merde. Évidemment à deux, le mélange merdeux est copieux . Quand après la sieste, je retire le god, il est souvent plein. J’en profite alors pour brancher Antoine sur le pot d’échappement pendant encore une heure et Bénédicte s’empale sur un vase que je garnis de roses rouges.

 - Eh bien ! Tu deviens un Maître chevronné.

 - Je me prépare pour ton retour. Car dès que tu seras là, tu subiras toi aussi et même plus durement sans doute.

 - Arrête chéri, cela me donne envie de bander.

 Séverin se lève

 - Il faut que je parte maintenant. J’ai d’importants rendez-vous demain matin et il ne faut pas que je les rate. Je te laisse ce téléphone portable. Il nous permettra de rester en contact. Marc m’a bien recommandé de ne pas te fatiguer. Bon soir mon Amour.

 Il embrasse Ynès et sort. Ynès reste seule quelques minutes. Puis l’infirmière lui apporte son repas. Ynès n’a pas très faim. Elle grignote et s’interrompt avec l’arrivée du concierge.

 - Bonsoir Madame ! La secrétaire de Monsieur Perrin m’a dit que vous vouliez me voir ?

 -Oui. Il paraît que vous la lorgnez beaucoup et que votre pantalon est trop souvent déformé sur le devant.

 Le concierge sans se troubler, ouvre sa bouche et laisse apparaître ses dents jaunies par le tabac.

 - C’est sûr ! Faut dire qu’elle est belle cette salope ! J’ai encore le goût de sa pisse sur ma langue et j’en reprendrai bien une lampée...

 - Baisse ton pantalon !

 Cette fois le concierge se défait très vite sans protester. Il quitte sa limace et se présente fièrement avec sa queue déjà passablement excitée. Il est laid et peu appétissant. Ynès lui demande d’approcher et prend le sexe dans sa main. Elle le caresse lentement. Elle se concentre sur la tâche à accomplir comme au temps où les clients payaient pour cela. Le concierge, d’abord surpris puis rapidement comblé par une telle caresse a fermé les yeux et soupire d’aise. Son gland est maintenant retroussé et gonflé de plaisir. Ynès « astique cette queue » comme on fait briller un vieux cuivre. Tout en s’activant d’une main, elle presse la sonnette appelant l’infirmière. Celle-ci ne tarde pas à entrer et reste suffoquée devant le spectacle offert gratuitement.

 Le concierge ne l’a ni vu ni entendu. Il garde les yeux fermés et murmure des insanités supposées encourager la main bienfaitrice. Ynès fait signe à l’infirmière d’approcher et de la remplacer un instant. L’infirmière qui a, dans l’exercice de son travail, branlé d’autres bittes en désarroi, prend celle-là d’une main plus médicale que professionnelle. Le concierge tout à son plaisir ne voit rien du changement. Ynès se lève en silence et fait le tour du lit lentement. Elle s’arme d’une rose que Séverin a apportée et tenant la fleur en main flagella la bitte au Paradis de la tige armée d’épines acérées. Le pauvre concierge hurle de douleur et de surprise . Sa queue laissée sans soin émet à la volée le sperme et arrose la blouse de l’infirmière qui n’a pas le temps de reculer. Prenant son sexe à deux mains comme pour le protéger, il regarde successivement les deux femmes sans comprendre.

 - Si je te reprends à mater la secrétaire et à te comporter comme un cochon lubrique, je te couperai la queue. Disparaît et n’essaie plus de voir Agnès.

 Le concierge penaud sort en tenant son pantalon dans la main sans penser que sa promenade cul nu dans les couloirs de la clinique pourrait faire jaser. Il n’y a heureusement personne à cette heure là et seule Agnès qui attend le voit partir en maugréant.

 Aussitôt qu’il disparait dans l’escalier, Agnès se précipite auprès de sa récente Maîtresse. Dès qu’elle est devant Ynès et sans que la présence de l’infirmière soit un obstacle, elle retire la blouse qu’elle porte et vient se prosterner nue au pied du lit en se couchant à plat ventre.

 L’infirmière observe Agnès puis se tourne vers Ynès.

 - Je dirai à Monsieur Marc demain que la conduite de ce concierge est lamentable.

 - N’en faites rien ! Marc est au courant. Ce pauvre homme a besoin de quelques fantasmes bien innocents somme toute. Allez plutôt nettoyer votre blouse avant que quelqu’un n’aille raconter des sornettes sur vous.

 - Oh ! Ce serait marrant que l’on raconte de moi que je pompe les malades. J’ai la réputation d’être une ... Comment disent-elles déjà.... Ah oui ! « cul serré ». Je peux affirmer qu’en dehors des exercices hygiéniques prescrits par les médecins, je ne touche jamais à ses engins ni masculins, ni féminins d’ailleurs. Elle ajouta cela en jetant un regard méprisant à Agnès.

 - Vous n’aimez pas le sexe ?

 - Dieu m’en garde ! Je suis trop respectueuse de la nature humaine pour m’avilir à de telles pratiques autres que médicales, je le répète. Maintenant, si Madame n’a plus besoin de moi, je reviendrai dans une petite heure pour refaire votre pansement.

 - Une dernière question : Que pensez-vous alors de moi ?

 - En tant qu’infirmière, je ne pense rien. En tant que femme, je préfère garder pour moi mes pensées. Chacun est libre de soi et n’a rien à imposer aux autres...

 Sur ces mots l’infirmière sort.

 - Agnès ! Lève-toi et vient près de moi.

 - Que penses-tu des paroles de « Cul serré « ?

Agnès se met à rire.

 - Eh bien il ne vous a pas fallu longtemps pour l’appeler ainsi, vous aussi. Elle est un peu folle. Mais c’est une très bonne infirmière. Moi, je veux que vous m’imposiez et qu’ensuite le Maître m’impose tout. C’est trop bon.

 - Pour être imposée tu vas l’être fais-moi confiance. Au menu de ce soir : une fessée, une enculade maison et une nuit aux enfers. Le programme est-il du goût de madame ?

 Pour toute réponse, Agnès redresse ses fesses tout en gardant les épaules au sol. Elle écarte les cuisses offrant ainsi largement ses orifices du plaisir et du tourment.

 - Je vois que le programme te plaît !

 Reprenant en main la rose qui a fait tant de mal au concierge, elle entama une flagellation soutenue du fessier gracieusement exposé. Agnès ne dit rien. Pourtant les coups portent et les épines de la rose arrachent de petits morceaux de chair. Les fesses saignent. La peau du dos rejoint bientôt celle des fesses dans leur martyre.

 - Tourne-toi !

 Dès qu’Agnès est allongée sur le dos, elle ouvre ses cuisses et Ynès reprend ses coups. Elle vise surtout le sexe. Agnès, ici gémit de plus en plus fort. La punition devient très dure et très douloureuse. Ynès continue encore un peu puis prenant la rose par la tige caresse les lèvres vaginales sanguinolentes.

 - Lève-toi, nous passons sur la terrasse.

 Agnès se lève tant bien que mal et suit sa maîtresse. Ynès, appuyée sur la rambarde de la terrasse aspire l’air frais de la nuit. Le printemps arrive doucement. Les premiers parfums des nuits d’été, ces parfums doux et discrets encore, de fleurs traînent dans l’air et montent jusqu’aux narines frémissantes d’Ynès.

 Ynès a, plutôt dans l’après-midi, repéré au bout de la terrasse, deux crochets fixés à une grosse poutre de la toiture. Ces deux crochets servaient sans doute jadis à supporter un hamac ou une balancelle. Ynès décide de réhabiliter ces crochets en leur fournissant un nouveau genre de hamac.

 Elle fixe aux poignets d’Agnès des courroies de cuir ainsi qu’aux chevilles. La taille est également enserrée dans une large ceinture de cuir. Avec l’aide de mousquetons et d’un tabouret, elle fixe les poignets puis les chevilles de son esclave aux crochets. Pour soulager les membres mis à rude épreuve, Ynès fixe une corde à la large ceinture qu’elle fait passer entre la poutre et les tuiles. Les reins sont soutenus et les extrémités ne tirent plus autant. Cette position offre alors une vue imprenable sur l’anus et le vagin de la soumise.

Ynès enduit ses doigts de vaseline puis entame l’exploration des orifices. Elle commence par le vagin. Introduisant les doigts l’un après l’autre, elle oblige les muscles, d’abord récalcitrants à s’ouvrir. Le vagin est bientôt ouvert et Ynès y plonge sa main entière. Agnès gémit de plaisir. Laissant sa main au chaud, elle entreprend l’anus. Plus étroit de nature, il faut plus d’effort et de savoir faire pour obtenir de lui le même accueil. Dès que quatre de ses doigts sont à l’intérieur, elle s’en sert de tenailles pour écarter les sphincters. Ceux-ci se laissent convaincre et se rendent enfin. Le pouce entre très vite et le poignet s’enfonce un peu. Il est long à passer. Agnès ne gémit plus de plaisir. La douleur anale est intense et les différents gods n’aident en rien le passage plus gros du poignet magistral. Les résistances cèdent tout à coup et la main disparait. Ynès a maintenant ses deux mains dans les entrailles de son hamac de chair. Elle entreprend un va-et-vient alterné entre l’avant et l’arrière. Agnès ne sait bientôt plus à quel trou se vouer. Elle rejette sa tête en arrière et s’abandonne aux caresses sauvages et ravageuses dans son ventre. Ynès fait jouir plusieurs fois la jeune métisse. De la cyprine sort par petits jets de son vagin. Quelques filets de sang s’échappent de l’anus supplicié. Agnès râle.

A bout de souffle et ne sentant plus ses doigts, Ynès sort lentement. Agnès a un hoquet de frustration dès qu’elle se sent vide. Ynès lui présente ses doigts qu’elle lèche un par un puis, sans un mot, Ynès retourne dans sa chambre. Elle se sent lasse. Agnès a le feu au cul pour toute la nuit. Elle s’allonge et s’endort presque aussitôt. Ses rêves cette nuit sont plein de fleurs et de doigts. Des pensées venues de loin lui rappelent l’époque où elle-même servait de fantasme à des hommes qui par leur métier voyaient peu de femmes et savaient se contenter de ce qu’ils trouvaient. Son cul a abrité et épongé bien des sexes  et bien des doigts affamés. Elle a reçu peu d’amour dans des étreintes rapides et douloureuses très souvent. Ces pensées la font se réveiller en sursaut. Elle est en nage. Elle se lève et ouvre la fenêtre. L’air de la mer toute proche la rassure. Le jour commence à poindre. Elle jette un œil vers Agnès qui, sans doute, dort mal si elle parvient à dormir. Elle se recouche en pensant que désormais ces amours là sont définitivement effacés.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 11:26

Chapitre 12

 Comme chaque matin depuis son arrivée à la clinique, Ynès est réveillée par « cul serré » qui lui apporte son petit déjeuner. Mais ce matin, point de déjeuner. Marc a décider de pratiquer la dernière intervention. L’infirmière lui fait les examens nécessaires puis lui administre un premier anesthésique. Marc arriva.

- Bonjour ma belle ! Aujourd’hui c’est le dernier acte. Ce soir, tu seras une femme ! J’ai décidé de le faire aujourd’hui. Toutes tes analyses sont bonnes et la cicatrisation est suffisamment avancée pour la suite. Au menu : remodelage du visage et dernière touche aux seins. Es-tu prête ?

- Plus que jamais et impatiente.

Sans plus un mot, Marc sort de la chambre et l’infirmière, celle de la veille, termine les préparatifs.

 - Puis-je vous demander un service ?

 - Bien sûr madame, je suis à votre service.

 - Il faudrait détacher Agnès qui est sur la terrasse et avertir Séverin que je rentre en salle d’opération.

 - Pour la secrétaire du docteur : je m’en occupe dès votre départ. Quant à Monsieur Oboé : il est déjà prévenu.

 - Merci beaucoup...

 Ynès n’a pas la force de dire quoique soit d’autre. Les calmants font leur effet. Elle est détendue et vécvitut la suite des préparatifs et sa sortie de la chambre dans une ouate douillette et étrangement silencieuse.

 L’infirmière accompagne la patiente jusqu’à la salle d’opération. Puis elle revient dans la chambre. Dans un premier mouvement, elle se dirige vers la terrasse. Agnès est toujours suspendue sous le toit. Elle gémit doucement. L’infirmière s’approche en silence. Elle a le regard fixe : ses yeux sont rivés sur le sexe de la jeune femme qui suinte. Un liquide brillant coule régulièrement. Au sol une petite flaque indique que l’écoulement dure depuis assez longtemps. L’infirmière lève la main puis se ravise et recule jusqu’à la fenêtre. Toujours sans quitter des yeux ce sexe humide et offert. Elle tourne finalement les talons et entreprend de nettoyer la chambre, de changer les draps et de préparer le retour de la patiente si spéciale. Le docteur lui a assigné la tâche de s’occuper exclusivement de madame Oboé durant le reste de son séjour à la clinique. Elle n’a pas beaucoup aimée cette mission : cette femme est trop spéciale. Ni tout à fait homme, ni tout à fait femme, elle la dérange. Et pourtant, en voyant la petite Agnès gémir de plaisir, elle est troublée. Peut-on jouir à ce point d’être traitée en esclave, en sous femme ? En voyant Agnès, cela ne fait aucune doute. Elle n’a pas beaucoup d’expérience dans le sexe. Elle n’a pas menti en disant qu’elle s’acquitte comme il faut des besoins naturels des patients hommes qui bandent. Elle a toujours préférée les masturber et essuyer ensuite leur semence que de devoir s’allonger et sentir le corps d’un homme la pénétrer. Elle n’aime pas sentir le souffle d’un homme sur elle. Mais cette Agnès offerte devant elle sans retenue et sans pudeur, lui échauffe les sens. Elle remarque que ses mains tremblent dès qu’elle pense à elle. Plusieurs fois elle a eu envie de jeter un oeil sur la terrasse. Mais elle doit faire son travail. Cela fait 25 ans qu’elle travaille dans le milieu hospitalier : elle est une professionnelle. Ses patrons ont confiance en elle. Ils connaissent ses compétences et peuvent compter sur elle. Le docteur l’a chargée d’une mission spéciale et elle l’accomplira.

 Elle se concentre donc sur sa tâche et chasse ses pensées troubles et vicieuses. La chambre est prête pour le retour de sa malade. L’opération est délicate et elle a toute la journée de libre. Sur le tableau, l’opération et ses suites sont programmées pour 17 heures. Il est maintenant 10 heures et son travail est terminé. Habituellement, elle aurait changé de tenue et serait descendue en ville pour faire des courses. L’après-midi, elle aurait été au cinéma. Mais aujourd’hui, elle ne fera rien d’habituel. Elle regagne la terrasse. Agnès est accrochée. L’infirmière s’avance le cœur tremblant. Elle posea doucement le bout de ses doigts sur la peau des cuisses d’Agnès. Celle-ci tressaute légèrement. Sa tête bascule et Agnès ouvre les yeux. Elle a le regard bouffi des personnes qui ont passé une nuit blanche.

 - Mathilde ?

 L’infirmière sursaute à son tour en entendant son nom. Elle ne répond pas. Sa main maintenant posée entièrement sur la cuisse droite se met en mouvements. Elle caresse toute la jambe et remonte lentement entre les cuisses. Agnès regarde toujours sans comprendre. Mais la caresse est si douce qu’elle laisse Mathilde progresser. Pourrait-elle faire autrement d’ailleurs. Celle-ci arrive bientôt en haut de la cuisse. Elle frôle les lèvres vaginales. Ses doigts sont si légers qu’Agnès ne sent rien. Voyant qu’elle n’a aucune réaction Mathilde s’enhardie et laisse ses doigts se tremper de ce liquide brillant et légèrement blanchâtre qui inonde le sol et le sexe de la jeune femme. Agnès émet un petit gémissement de plaisir : soudain, Mathilde retire sa main et prenant les cuisses à deux mains, les écarte et colle sa bouche contre le sexe d’Agnès. Elle passe et repasse sa langue avec une fougue et une violence inconnues pour elle. Le liquide n’a presque pas de goût mais les parfums intimes de la jeune femme sont enivrants. Mathilde lèche à toutes lampées. Sa langue peu à peu s’aventure plus loin. Elle pénètre ce sexe offert.

Agnès ne gémit plus. Elle concentre toute son énergie pour sentir totalement la caresse si inattendue de « cul-serré ».

A bout de souffle, Mathilde abandonne le sexe. Son visage est trempé.

 - Pardon, dit-elle en baissant les yeux. Je ne sais pas ce qui m’a pris !

 - Oh ! Mathilde. Ta langue est la plus douce de toutes celles qui m’ont fait le plaisir de venir m’embrasser si bas. Ne t’excuse pas et recommence ou continue .

 - Tu ... tu ne m’en veux pas ? Je n’ai pas l’habitude de faire cela. On ne se connaît pas beaucoup mais je ne suis pas une ...

 - Je te connais un peu et je suis très fière d’être sûrement la première à qui tu fais cela.

 - Oui !

 - Tu as sans doute compris ce que je veux devenir ! Je veux être l’esclave de Marc. Enfin du docteur. Pour l’instant je suis en dressage avec Maîtresse Oboé. Si tu veux je peux t’apprendre à faire l’Amour.

 

- Oh, tu sais : je ne peux pas supporter un homme. Quand il faut les soulager, je tiens leur queue à deux doigts et je tourne la tête pour ne pas voir les yeux de phoques au moment de l’éjaculation.

 - Non, je vois bien que tu n’aimes pas les hommes ! Mais deux femmes peuvent très bien se donner autant de plaisir et même plus .

 Mathilde avec des gestes doux et tendres décroche Agnès qui se tient difficilement sur ses jambes. Mathilde la soutient et elles se dirigent vers la chambre. Mais Agnès trébuche et s’étale sur le carrelage. Elle attire l’infirmière à elle et cueille sa bouche pour « amortir »sa chute. Mathilde se redresse, les yeux fiévreux après le baiser. Elle est assis à califourchon sur le ventre nu d’Agnès. Elle déboutonne sa blouse. Généralement les infirmières portent seulement leurs sous-vêtements sous les blouses : elles travaillent dans une atmosphère surchauffée et les vêtements sont inutiles. Certaines disent que cela fait fantasmer les patients. Mathilde, en bonne « cul-serré » porte une combinaison en Nylon. Agnès ne lui laisse pas le temps de l’enlever. Elle attrape le bas et d’un mouvement sec la déchire de bas et haut. Mathilde a un petit mouvement de recul devant la violence du geste. Mais Agnès poursuit son geste et retire les lambeaux de combinaison. Puis elle laisse ses mains vagabonder sur le corps de la femme mûre. Celle-ci porte des sous-vêtements en coton. Ils ne sont guère excitants. Agnès attrape l’élastique de la culotte et la fait descendre lentement. Mathilde respire fort. Elle a écarté les bras et laisser faire le jeune femme. La culotte dévoile bientôt un pubis laineux. La toison pubienne de Mathilde est foisonnante. Les cuisses sont plutôt maigres. L’ensemble n’est pas appétissant. Agnès se dit qu’une esclave ne peut pas choisir son ou sa partenaire. Elle a sur elle une femme que sa nouvelle condition a changée. Elle doit lui faire connaître l’extase malgré tout. Elle guide donc ses doigts vers le pubis. Ses doigts s’enfoncent dans la forêt vierge à plus d’un titre. Ils entrèrent en contact avec les lèvres. Celles-ci sont humides. Mathilde doit sûrement se masturber de temps en temps. Sans attendre, elle loge deux doigts qui pénètrent facilement.

 - Oh oui  ! C’est bon comme cela.

 Mathilde porte ses mains à sa poitrine. Elle se caresse les seins à travers le soutien-gorge.

 - Retire-le, souffle Agnès.

Mathilde passe ses mains derrière son dos et le solide vêtement de coton libère deux petits mamelons. Mathilde n’a pas de gros seins. Ses bouts ne sont pas turgescents comme ceux des femmes ayant allaitées. Elle a des seins de jeune fille vierge.

Agnès a maintenant trois doigts dans le vagin quand elle voit apparaître à la fenêtre de la chambre le concierge. Celui-ci reste muet d’étonnement. Elle le voit bientôt retirer son pantalon. Son sexe est gonflé. Il porte encore les marques de la flagellation de la veille au soir. Il s’approche des deux femmes en silence. Ses yeux interrogent ceux d’Agnès. Il a juré de ne plus ennuyer la jeune femme mais n’a rien promis pour l’autre. Il ne peut pas reconnaître Mathilde. Pourtant, cela lui aurait certainement coupé la chique. Mathilde est infirmière-chef à la clinique. Elle s’est plainte plusieurs fois de l’attitude du concierge vis à vis des infirmières. Une fois même, elle l’a surpris dans le vestiaire au moment où elle allait prendre une douche. Une chance qu’elle était en peignoir, avait-elle dit au docteur sinon le sale bonhomme se serait rincé l’œil. Elle ne sut jamais que le bon docteur avait raconté partout cet incident en ajoutant qu’il était bien content d’avoir sauvé la vue du chaud concierge.

 Agnès encourage le concierge. Avec son autre main, elle désigne l’anus de la femme qui a perdu contact avec la réalité. Le concierge se place derrière elle et appuie une main sur sa nuque. Mathilde courbe l’échine sans s’en rendre compte. Agnès l’aide en capturant sa bouche pour un nouveau baiser. Mathilde, penchée en avant, offre un anus naturellement ouvert par sa position. Agnès serre ses cuisses et le concierge s’agenouille entre elles. Il prend son sexe dans sa main libre et l’appuie contre l’œillet offert. Mathilde croyant à une nouvelle caresse de la jeune femme dégage sa bouche :

 - Oh coquine ! je sais que madame Oboé te fait souvent l’amour par là. Oh ! tes doigts sont très doux. Mais tu m’en mets plus que devant. Vas-y je veux que tu me prennes des deux côtés en même temps. C’est pas un homme qui pourrait être aussi doux.

Le concierge encouragé par cette déclaration aiguillonne son dard et l’enfonce entièrement. Mathilde n’a pas cherché à contrarier la pénétration. Il entame son va-et- vient.

 - Oh ! oui ma chérie. Tes doigts sont un sexe formidable. Prends moi fort. Oh, que c’est bon !

 - Pour sûr que c’est bon une bonne pinne dans le fion ! se découvre le concierge.

 Mathilde sursaute puis se met à hurler. Son corps tremble. Agnès n’a que le temps d’appuyer ses lèvres contre la bouche et de noyer les cris avec se langue. Mathilde s’agite encore un grand moment. Le concierge n’a relâché ni son étreinte ni ralenti ses coups de butoir. Bientôt, Agnès sent le corps de Mathilde se détendre. Elle se calme. A bout de souffle, Agnès veut abandonner la bouche de la femme. Mais Mathilde aspire à nouveau sa langue dans un nouveau baiser. Allant de surprise en surprise, Agnès voit bientôt Mathilde prendre ses fesses à pleines mains et les écarter. Elle se redresse un peu et dans un souffle haletant dit :

- Vas-y sale vicieux, prend mon cul plus vite. Et toi sale gouine, mets ta main en plein.

Agnès, obéissante, introduit ses autres doigts dans un vagin trempé. La main disparait. Elle peut sentir le sexe du concierge qui se promène dans son boyau étroit juste à côté de sa main. Sans attendre l’invite de Mathilde, Agnès synchronise ses mouvements avec ceux de l’homme. Mathilde accompagne elle-même le concerto en bitte majeur par des mouvements équestres qui la font s’empaler toujours plus profond sur la main de la jeune femme. Enfin, le concierge éjacule et se retire. Agnès ne sent plus sa main et la retire aussi. Mathilde est saisie de tremblements et s’effondre sur le corps de son amante. Elle reste de longues minutes ainsi. Le concierge dont l’excitation est maintenant retombée s’aperçoit enfin de l’identité de sa monture.

 - Eh ben merde alors ! jsu dans beaux draps maintnant !

 Mathilde se redresse sur ses avants bras.

 - J’espère que tu es aussi ardent par devant ? Sinon je dirai tout. Comme tu m’as violée, je peux faire ce que je veux de toi. Rendez-vous après mon service et prend un bain avant sale porc. Maintenant dégage de ma vue.

 Le concierge part sans même penser à remonter son pantalon.

 Mathilde se relève et aide Agnès à se lever aussi.

 - Jeune fille, je ne sais pas ce qui se passe dans cette clinique, mais ce qui arrive est formidable. Je viens d’être violée et dépucelée en même temps. Moi qui n’aie jamais goûter au sexe en 50 ans, je viens de virer hétéro et homo en même temps. Merci à toi. Tu ne sais pas quel cadeau tu viens de me faire sans le vouloir. Je prendrai le temps de remercier madame Oboé aussi.

Mathilde se tait et retrouve ses gestes de praticienne. Elle aide Agnès jusqu’à la douche et laisse la jeune femme se remettre sous un déluge bienfaisant. Elle quitte la chambre. Elle n’a remis aucun sous-vêtement sous sa blouse. Dès qu’elle est seule dans les vestiaires, elle écarte sa blouse et passe ses mains aux deux endroits qui ont tant joui tout à l’heure. Son cul est bouillant et elle constate que ses cuisses sont couvertes de traînées blanchâtres. Non, elle n’a pas rêvé. Un homme l’a prise par derrière et elle a aimé. Son cul en porte les traces. Elle a l’intention de prendre elle aussi une douche mais se ravise. Elle veut garder sur elle le témoignage de ces quelques minutes inoubliables. Sa main caresse son vagin. Lui aussi chauffe. Agnès l’a transpercée. Ses lèvres vaginales sont gluantes.

 - Que j’ai été sotte de refuser tout cela avant ! pense-t-elle tandis qu’elle referme la porte des vestiaires pour femmes. Elle ne porte ce jour-là que sa jupe et son pull-over. Elle n’a pas remis sa culotte et sa combinaison et n’en avait pas l’intention désormais.

 Le brancard d’Ynès revient maintenant de la salle de réveil. Marc est là ainsi que Séverin. Ynès se réveille doucement. L’opération s’est déroulée comme prévu. Il n’y aura aucun rejet et la cicatrisation prendrait deux à trois semaines. En arrivant dans la chambre, Antoine et Bénédicte sont là. Ils portent timidement chacun un bouquet de roses. Ils se tiennent la main comme deux jeunes amants. Agnès, fraîche et pimpante, est appuyée sur le montant de la fenêtre. Mathilde dont la blouse transparente dévoilait désormais ses charmes, va et vient autour du lit en veillant, toujours en professionnelle que l’installation se passe dans de bonnes conditions. Cette patiente est désormais trop particulière pour qu’elle soit négligente. Marc lance des regards étonnés. Il se passe quelque chose qu’il n’arrive pas à comprendre. Mathilde et Agnès, elles, savent mais ne disent rien ni l’une ni l’autre.

 - Dans combien de temps sera-t-elle complètement réveillée ? demande Séverin.

 - Laisse-là revenir tout doucement. L’opération s’est bien passée mais la partie a été dure. Elle va souffrir pendant quelques jours. Je viens d’ailleurs de lui prescrire des calmants. Elle ne sera pas très claire durant 2 ou 3 jours. Je te propose de vaquer à tes occupations pendant ce temps.

 Séverin dépose un baiser sur les lèvres desséchées de sa femme et part. Agnès regagne son bureau afin de mettre de l’ordre dans les papiers. Mathilde termina ses vérifications et sort elle aussi. Désormais Ynès a besoin de calme et de repos.

 Séverin quitte immédiatement la clinique. Il a ordonné à Bénédicte et à Antoine de regagner la maison. Il doit passer à la mairie.

Durant les trois semaines qui suivent, Ynès poursuit sa convalescence. Séverin a tout préparé pour son retour. Bénédicte et Antoine sont prêt aux aussi. La Maîtresse est bientôt de retour.

Ynès se réveille complètement au bout de trois jours. Mathilde a été aux petits soins. Chaque nuit, elle a veillé personnellement sur elle avec l’aide d’Agnès qui faute de pourvoir se livrer à son penchant de soumission, initie l’infirmière-chef à Sapho et ses délices. Ynès peut bientôt se lever. Elle fait alors de petites promenades dans le parc de la clinique. Elle se fatigue très vite et a convenu avec Agnès et Marc qu’elle suspendait toute domination pour le moment. A la fin de la deuxième semaine, enfin, Marc vient lui retirer les pansements. Il refuse de lui donner un miroir pendant encore deux jours afin que les cicatrices s’effacent.

 - Vous seriez déçue pour l’instant.

 Puis il retira la couche-pansement. Après avoir fait ses vérifications, il déclara :

 - Vous voilà une femme maintenant. Donnez-moi une main.

 Marc guide la main droite d’Ynès dans la découverte de sa nouvelle personnalité. Ses doigts effleurent presque sans y croire sa verge d’où les testicules ont disparu et dessous. Ynès se redresse et embrasse tendrement Marc. Le baiser est long et empli d’émotion. Ynès est enfin femme. Ce qu’elle a toujours espéré est devenu la réalité.

 - Un jour, j’aimerais vous offrir beaucoup plus !

- Beaucoup plus ? Que voulez-vous dire par là ?

- Je ne sais pas si Séverin aimerait mais j’aimerais vous donner un vrai vagin, un vrai sexe de femme.

 Ynès regarde son médecin personnel. Elle est étonnée et émue par cette offre. Devenir une vraie femme, totalement femme n’a jamais été son désir. Maintenant qu’elle n’a plus de testicules, elle pourra facilement cacher son petit bout mou dans son string, sous elle.

 - Avant d’en arriver, peut-être, un jour là, je voudrais encore une toute petite chose : Je voudrais avoir un Prince Albert qui perce mon gland et un petit anneau  qui traverse mon périnée. C’est possible ?

- Je vois ce que vous voulez faire. Ainsi votre pénis pourra être attaché par-dessous et ne pas se voir.

- Oui !

- Je vais demandé à Mathilde de s’en occuper. Elle sera, je crois heureuse de le faire.

- Mathilde ?

- Oui, Mathilde !

  Marc sourit et sort sans un mot. Ynès, perplexe , prend le téléphone et compose le numéro de la maison. Bénédicte lui répond.

 - Oui, ici la résidence de Mr et Mme Oboé, que puis-je pour votre service.

 - C’est Maîtresse.

 - Bonjour Maîtresse ! Comment allez-vous ?

 - Es-tu en position correcte ?

 Il y a un bref instant de silence.

 - Oui Maîtresse.

 - Bien, il va falloir reprendre les bonnes habitudes. Est-ce que Monsieur est là.

 - Non Maîtresse, le Maître est en ville.

 - Dès qu’il rentrera, dis-lui de venir à la clinique. Que fais-tu en ce moment ?

 - Je nettoie l’argenterie Maîtresse !

 - Dans quelle tenue es-tu ?

 - Je suis entièrement nue Maîtresse. Le Maître ne m’a rien mis depuis hier soir. J’ai dormi pour la première fois avec Antoine et nous avons fait l’amour toute la nuit. Depuis ce matin je coule sans arrêt. Le Maître veut que ça coule. Par contre Antoine est empalé sur le petit pont et je dois le masturber toutes les demi-heures sans qu’il puisse éjaculer. Je viens d’y aller. Antoine souffre beaucoup. Sa queue ne débande pratiquement plus depuis qu’il est enculé sur le pieu. Quand le Maître en aura assez, Antoine devra se planter au milieu de la marre.

 - Je vois que vous ne vous ennuyez pas. Prends les couteaux. Je veux que tu t’enfonces les manches dans la chatte. Compte au fur et à mesure pour que je sache combien tu en prends.

 Bénédicte pose le téléphone et commence son comptage. Les dix premiers manches passent facilement. Bénédicte doit être bien lubrifier. Au quinzième, elle commence à forcer. Elle réussit à en enfoncer 22. Au 23 ème, elle pousse un cri de douleur.

 - Maîtresse, je saigne un petit peu.

 - Arrête-toi. Je veux que tu gardes les manches jusqu’au retour du Maître. N’oublie pas de faire la commission.

Elle raccroche. La maison est bien tenue et Séverin est toujours un Maître exigeant.

 Séverin arrive. Il n’y a personne dans la cuisine. Il se dirige vers la pergola. Il trouve Bénédicte en train de masturber Antoine. Celui-ci est planté sur le pieu que Séverin destine à Ynès dès son retour. Il a demandé à Antoine d’installer un petit marchepied et deux anneaux sous la partie enculable. Il a le pieu dans l’anus sur 15 cm et ses mains sont fixées juste dessous. Bénédicte « astique » le membre viril qui a une belle dimension et une couleur violacée. Antoine hurle de désespoir au moment où Bénédicte arrête ses frictions. La verge est secouée de tremblements violents mais la technique de Bénédicte est au point. Aucune goutte spermatique ne s’échappe. Antoine une fois encore est frustré. Antoine en voyant Séverin, cesse de gémir. Il se redresse et exhibe fièrement sa verge sèche.

 - Bonjour Maître, dit-il.

 Bénédicte se retourne brusquement. Les rayons du soleil frappent l’argenterie. Séverin a un mouvement d’étonnement. Mais Bénédicte se jette à genoux, jambes très écartées. Elle réussit à contrôler ses muscles pubiens afin que les couteaux restent en place pendant qu’elle prend sa position de soumission.

 - Que fais-tu avec ses couteaux ?

 - Maîtresse a téléphoné. Elle m’a ordonné de m’enfiler 23 couteaux et de les garder jusqu’à votre retour. Elle veut que vous passiez très vite la voir.

 Séverin, sans plus tenir compte de Bénédicte, tourne les talons et disparait. Les domestiques entendent bientôt le ronflement du moteur de Séverin qui s’éloigne.

 - Que doit-on faire ? demande Antoine.

 - Rien, je reviens dans ½ heure pour ta masturbation et je retourne à mon argenterie.

 - Tu gardes tes couteaux dans le fion ?

 - Absolument ! Je vais même me planter dans le cul ceux qui restent.

 Bénédicte s’éloigne laissant son compagnon admirer ses fesses nues se balançant au rythme de ses pas.

- Quel beau cul. Songe-t-il. J’aimerai bien être à la place des couteaux !

 Antoine reste à nouveau seul au bord de la marre. Sa queue reste bandée. Il a un peu froid.

 Bénédicte remonte vers la cuisine. Elle prend les 20 derniers couteaux et prend le temps de les enfoncer jusqu’au bord de la lame dans son anus. Elle est maintenant distendue devant et derrière. Satisfaite, elle reprend sa besogne.

 Séverin arrive à la clinique. Il est tard. L’heure des visites est terminé depuis un grand moment. Il doit sonner. Le concierge vient lui ouvrir. Son pantalon est humide sur le devant. Sa braguette est ouverte. Sans que Séverin ait besoin de dire un seul mot, le concierge ouvre la porte et l’invite à passer par sa loge pour prendre la clé de la porte qui donne accès directement à la terrasse de la chambre d’Ynès. En passant dans la loge, il découvre Mathilde nue étendue sur la table à manger. Elle soulève sa tête. En apercevant Séverin, son visage tourne au cramoisi mais elle garde ses cuisses ouvertes. Le concierge lui a fixé les cuisses aux pieds de la table, ainsi que les bras. Ne pouvant cacher la moindre partie de son anatomie, elle repose sa tête en couinant. Séverin voit que ses tétons durcissent d’émotion. Sans attendre que Séverin soit sorti, le concierge quitte son pantalon et grimpe sur la table.

 - Non Albert, pas devant quelqu’un !

 - Tant fait donc pas Mimi, Monsieur en a vu d’autres et j’ai Popole qui veut sa ration. J’en étais à deux dans le cul contre trois dans la foufoune. Alors Mister cul, à nous deux.

 Séverin entend Mimi glousser de plaisir.

 - Ah dans le cul, je la sens encore mieux. Tu sais comment me faire mouiller mon salaud !

 Séverin monte les escaliers quatre à quatre. Il arrive sur la terrasse et s’aperçoit qu’il a lui aussi la trique. Il s’approche en silence de la baie vitrée. Ynès est là. Assise sur son lit. Agnès est accroupie à ses pieds. Ynès a un pied posé sur l’entrejambe de la jeune fille. Séverin actionne la poignée et ouvre la baie. Ynès lève la tête et en apercevant Séverin, son visage s’éclaire de mille feux.

 - Toi enfin !

 Agnès rejette sa tête en arrière et fixe ses yeux sur l’homme qui vient de faire irruption.

 - Tu veux bien attendre quelques secondes que je finisse cette donzelle ?

 - Vas-y, j’observe.

 Ynès a déjà engagé ses doigts dans la chatte d’Agnès qui a les cuisses ouvertes au maximum. Grâce à ses doigts, elle tiret sur ses lèvres pour ouvrir davantage son sexe. Ynès fait des petits mouvements avec son pied et celui-ci avance lentement et disparait. Quand elle a enfilé sa nouvelle pantoufle bien à fond; elle demande à Agnès de se redresser et en prenant appuie sur sa jambe de se masturber. Agnès agite ses reins d’abord avec régularité. Elle a des mouvements lents et jetait des coups d’œil sans arrêt vers Séverin.

 - Concentre-toi sur ta nouvelle bitte. Je veux que tu te fasses l’amour. Et je veux t’entendre. Le monsieur doit savoir que tu prends ton pied (sic) bruyamment.

 Bientôt les mouvements sont plus saccadés et Agnès laisse s’exprimer toute sa jouissance. Elle se met à rugir comme une lionne. Séverin n’existe plus. Elle se démène comme une diablesse. Le corps d’Ynès est agité de tremblements devant la violences des assauts de la jeune fille. Séverin note au passage que la poitrine de sa compagne suit les mouvements et se balancent en rythme. Ynès s’aperçoit du regard de son amant et déboutonne sa chemise de nuit. Elle retire complètement le vêtement. Tout est parfait.

 Agnès dans un dernier rugissement heurte violemment le genou de sa Maîtresse et retombe en arrière. La cheville d’Ynès est tout contre son pubis. On peut voir un liquide translucide s’écouler du sexe comblé. Ynès retire doucement son pied et le déplace vers le visage d’Agnès. Sans un mot, l’esclave sort sa langue et nettoie avec application le pied. Puis elle sort à quatre pattes sur la terrasse.

 - Mon amour, afin que nous soyons seuls pourrais-tu attacher cette chienne ? Elle te montrera.

 Séverin rejoint l’esclave. Agnès est debout et a déjà fixée ses mains au crochet.

- Si vous voulez bien fixer mes chevilles au crochet qui est au bord du toit s’il vous plaît !

 Séverin suivant les indications d’Agnès suspend la jeune femme.

 - Voulez-vous me bander les yeux et me ballonner. Puis, vous prendrez deux objets parmi ceux posés au sol et vous les enfoncerez dans mes trous. Merci.

 Séverin s’exécute et baissant les yeux aperçut : un crayon, une bombe de laque, une canette de bière, une lampe torche et une massette. Il choisit la bombe de laque et l’enfonce dans l’anus. Agnès gémit doucement. L’enculade se fait à sec. Séverin a recours à sa salive pour lubrifier les parois. Pour la vagin, il choisit la massette. Elle est lourde et le manche est assez gros. Agnès instinctivement ouvre ses cuisses. Séverin passe le manche sur les lèvres gluantes. Cela excite davantage Agnès et une fois le manche bien lubrifié, il le fait disparaître dans le trou béant. Agnès s’affaisse sous le poids et doit resserrer les muscles pubiens pour maintenir  la massette bien en place. Séverin s’assure qu’elle est bien attachée et regagne la chambre.

 Ynès est allongée sur le lit. Elle est de dos. Séverin peut admirer les hanches douces et pleines de sa femme. Il s’approche et lui caresse les fesses. Ynès attend cette caresse depuis si longtemps qu’elle laisse son amant faire. Séverin passe sa main tout le long du corps et part à la recherche des seins. Il les trouve et les parcourt lentement.

 - Sont-ils à ton goût ?

 - Ils sont parfaits. Je voulais que tu es de gros seins bien pleins. Tout à l’heure, ils sautaient pendant que la fille dehors faisait l’amour sur ton pied.

 - Cette position de plaît ?

 - Elle est très intéressante. Je compte bien l’appliquer très vite sur toi.

 Sans rien dire de plus, il prend Ynès par les épaules et l’obligea à se retourner. Ynès s’étendit de tout son long. Elle était presque au garde à vous.

 Séverin fait une revue de détails. Il choisit de commencer par le visage. La transformation des traits était parfaite Marc a réussi un coup de maître. Les traits sont maintenant adoucis et pleinement féminins. Ynès a changé. Elle n’a plus tout à fait la même mais elle garde dans ses yeux toute sa personnalité. Séverin tombe immédiatement amoureux de cette nouvelle femme. Ses yeux et ses mains glissent et reprennent leur inspection des seins. Ils sont parfaits eux aussi. Ronds et lourds. Les tétons sont turgescents. Les anneaux mordent bien à la base. Séverin note au passage que Marc a mis des anneaux plus gros et plus larges. Les seins ne sont plus seulement percés mais un anneau en or les transperce. Marc a remis la clé de la pergola que Séverin avait confié à Ynès quelques semaines plus tôt. Il suit le ventre plat de sa compagne et arrive au pubis. La queue était là : toujours la même. Longue et fine. Séverin est surpris. Marc a pensé à la circoncire et à placer un Prince-Albert qui perce le méat. L’anneau n’interdit pas Ynès de se servir de sa queue de mec mais les pénétrations seront toujours un peu douloureuses. Il soulève délicatement la queue et la fixe aux anneaux des seins par une chaînette que lui tend Ynès. La chaînette relève la queue et la tend. Ynès gémit un peu. La circoncision est récente et le gland encore sensible. L’anneau tire légèrement sur la base du gland en même temps qu’il le plaque impitoyablement contre le ventre. Ynès écarte ses cuisses et laisse voir à son Maître le petite anneau le long du périnée.

 - Tu vois, désormais, tu pourras me fixer le zizi aussi bien aux seins mais aussi en dessous pour le faire disparaitre. Tiens prends ceci.

Ynès lui tend un cadenas. Séverin prend l’objet et l’ouvre grâce à la clé. Il enfile la tige sur le piercing du gland puis dans l’anneau du périnée. Il referme d’un coup sec. Le zizi de sa femme est désormais cadenassé. Elle ne pourra plus s’en servir sans sa permission.

 - Alors Maître ?

 - Tu es parfaite et très belle. Qui a eu l’idée de cette « ceinture de chasteté » ?

 - C’est moi qui est demandé à Marc. Je veux t’appartenir. Désormais toi seul pourra m’utiliser. Je suis ta femme pour le reste de ma vie. Il n’existe qu’une seule clé du cadenas. L’autre que voilà, nous irons la confier à la mer qui a permis notre union. Prends-là pour l’instant et garde l’autre toujours sur toi, mon amour, si tu le veux bien.

Séverin se déshabille rapidement. Il a trop envie de sa femme maintenant. Il retourne Ynès et s’allonge sur le dos de sa femme. Il lui écarte les cuisses et guide son sexe bandé vers l’orifice. Il s’enfonce en elle. C’est doux et chaud. Il fait l’amour avec elle comme la première fois. Il sent les sphincters se resserrer sur son sexe et de corps de sa femme se cabrer vers le plaisir. Ils font l’amour lentement et passionnément. L’éjaculation arrive et explosa en elle. Le sperme sortit chaud à longs traits. Ynès prend en elle le liquide de son amant qui se déverse dans son ventre. Presque comme une vraie femme.

 Ils font l’Amour encore et encore. Ils sont séparés depuis si longtemps. Sur le petit matin, Ynès se lève et sort sur la terrasse. Agnès grelotte. Séverin la rejoint.

 - Il faut la détacher, elle va attraper du mal.

- Tu sais que je peux sortir dans deux jours. Agnès nous accompagnera car elle doit poursuivre son dressage chez nous.

- A ce propos, dit Séverin en enlaçant par derrière sa femme qui s’est accoudée à la rampe de la terrasse. Elle colle ses fesses contre le bas ventre de son homme. Le désir réapparait immédiatement. Ynès se penche en avant et laisse son homme la pénétrer. Ce matin, cette sodomie avait un goût particulier. C’est la sodomie offerte par une femme à son homme. Pour le plaisir, juste pour le plaisir. Séverin la pénètre. Ynès le dos à l’horizontale, offre ses fesses. Elle écarte ses cuisses pour que la pénétration soit plus profonde encore. Elle reste ainsi jusqu’à l’explosion. Séverin est maintenant vidé. Il se dégage et cherche les lèvres d’Ynès qu’il prend dans un baiser violent et tendre à la fois. Au bout d’un petit moment, Ynès sent le sperme chaud coulait le long de ses jambes. C’était bon !

- Dès ton retour il va y avoir de grands changements à la maison. Je ne t’en dis pas plus pour l’instant. MAIS ...

 Il oblige Ynès à se retourner pour lui faire face. Il l’embrasse encore une fois et ...

 - ...VEUX-TU M’ÉPOUSER ?

 Ynès écarquille les yeux. Elle a cessé de respirer. Sa bouche ouverte recherchel’air qui n’arrive plus à pénétrer.

 - ...VEUX-TU M’ÉPOUSER ? répète Séverin.

- Oui, oui,oui,... mille fois OUI !

 Agnès qui est toujours suspendue se met à sangloter. Ynès s’éloigne des bras aimants et s’approche d’elle. Elle lui retire le bâillon.

 - Pourquoi pleures-tu ?

 - Maîtresse, je suis très heureuse pour vous. C’est merveilleux d’avoir un homme comme le vôtre. J’espère que Marc aura la même pensée lorsque je lui donnerai ma soumission.

 Séverin s’approche à son tour. Il pose ses mains sur les seins d’Agnès qui en frissonne de plaisir cette fois.

 - Tu es très belle jeune fille. Marc t’aimeras. Je te le promets.

 - Bien, dit soudain Ynès quelque peu agacée par la caresse de Séverin. Il est temps que tu descendes de ton perchoir.

 Elle retire les godes et détache Agnès qui comme à l’accoutumée vacille un peu en des remettant debout.

 - Va prendre une douche bien chaude. Rase-toi et va prendre ton service c’est ton dernier jour de travail à la clinique avant longtemps.

 Agnès disparue, Ynès se tourne vers Séverin. Elle va pour lui dire un mot lorsque Séverin tourne les talons et rentre dans la chambre à la suite d’Agnès. Ynès reste à nouveau sans voix. Mais bientôt Séverin ressort. Il tenait le cadenas dans sa main.

 - Tourne-toi et penche toi. Bien ! Ecarte les cuisses maintenant.

 Ynès obéit.

- Pour toi aussi c’est ton dernier jour de farniente à la clinique.

 Il replace le cadenas de chasteté.

 - Va dans la chambre et prépare tes affaires. Je reviendrai demain matin te prendre. D’ici là, j’ai des dispositions à prendre pour te conduire devant Monsieur Le Maire. Je veux que tu ne sois habillée qu’avec ton pardessus. Tes robes vont être à reprendre au niveau de la poitrine. Demain, dès ton réveil, suspend à ton cadenas et à tes seins les poids que j’ai déposé sur le lit. Tu mettras aussi dans ton anus le petit objet qui est dans le paquet. Sois prête pour 10 heures exactement. Ne sois jamais jalouse. Tu n’en as ni le droit, ni même le besoin. Je t’aime c’est tout.

 Il dépose un baiser sur chaque sein et part cette fois pour de bon.

 Ynès reste un moment à rêvasser sur la terrasse. Puis elle réalise que son Maître lui a donné un ordre. Elle se dépêche d’obéir.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:10

Chapitre 13

 Ynès a une nuit agitée. La journée est passée très lentement.

Dès 7 heures, Ynès est déjà debout. Elle réveille Agnès qui a repris sa couche sur le ventre au pied du lit. Agnès sort sur la terrasse. Ynès vient la suspendre jusqu’au moment du départ. Elle partira en portant uniquement un peignoir jusqu’à la voiture puis se mettra nue pour entrer dans le coffre de l’auto. Mais avant tout, Ynès ne veut pas qu’Agnès la voit se préparer comme lui a ordonné son Maître.

Elle passe à la douche, se lave soigneusement le corps. Le traitement hormonal lui évite maintenant de se raser. Marc a bien fait les choses. Il suffit qu’elle prenne régulièrement son traitement pour ne pas revoir son système pileux, bien qu’assez pauvre, lui donner des poils sur le pubis et sous les bras; la barbe n’ayant jamais été un problème en soi.

N’ayant pas à enfiler de robe, elle se dirige vers le lit où Séverin a déposé les poids et le paquet si mystérieux. Ynès a pris de grandes précautions pour ne rien déplacer durant la nuit. Elle prend les poids : ils sont lourds. Elle peut supposer que chaque poids pèse au moins 100 g. Elle accroche d’abord ceux sur les seins. Ceux-ci s’appuient immédiatement vers le bas. Ils tirent assez fort. Ynès n’a plus l’habitude de ce genre de douleurs. Sans y prêter plus d’attention, elle fixe celui du Prince Albert. Il est plus lourd. La tension exercée par l’accrochage entre ses cuisses est doublé maintenant. Le poids cogne contre ses jambes quand elle marchent. Elle manque de gémir mais se retient : elle n’a pas le droit de ce genre de plainte. Elle est aussi une Maîtresse. La douleur augmente dès qu’elle se déplace. Les poids des seins se balancent et s’entrechoquent. Le son est comique. Dans la rue, elle fera sûrement beaucoup d’effet. Il est temps de découvrir ce qui se cachait dans le paquet. Elle coupe la ficelle et ouvre la boîte. Sa surprise est totale : le paquet contient un tube en or dont Ynès reconnait immédiatement l’utilisation. Il s’agit d’un petit spéculum. Un billet accompagne l’objet.

« Ma chérie, avant de retrouver tes esclaves et de reprendre ta place de Maîtresse de la maison, ces petits présents te rappelleront que tu es aussi mon esclave. Maintenant tu porteras très souvent des poids sur tes seins et sur le gland de ton zizi cadenassé. Le spéculum est là pour t’ouvrir en permanence l’anus qui est ton unique sexe désormais. Je désire surtout et avant tout faire l’amour avec toi dans cet anus si doux, si chaud, si tendre. Mais je veux qu’il garde en permanence le diamètre de mon sexe. Dès que tu l’auras enfilé, il te suffira de tourner la petite vis : il s’écartera au bon diamètre. Marc veut même que tu fasses la même chose avec Agnès avec des poids plus lourds bien sûr.

Je t’aime. A tout à l’heure.

Séverin. »

 Ynès passe aux toilettes afin de libérer son anus. Elle sait qu’un anus plein peut laisser échapper des matières fécales si on le maintient ouvert en permanence. Cela peut être gênant devant d’autres personnes. Elle ne veut surtout pas embarrasser son homme. Puis elle introduit le spéculum : il est doux. L’or est hypoallergénique. Ynès n’a aucune irritation à craindre. Elle tourne la vis. Immédiatement elle sent son anus s’ouvrir. Lorsque la vis se bloque, Ynès a l’impression d’avoir son cul grand ouvert. Elle sent presque un courant d’air. Sa queue se met à bander mais le dispositif fait son office à merveille. Le pénis souffre un moment mais ne peut se redresser et abdique rapidement en redevenant mou et inutile. Elle termine sa toilette par un peu de parfum. Séverin a glissé une petite bouteille de son parfum préféré dans le paquet.

Elle est prête pour reprendre le fil de sa vie.

Elle jette le pardessus sur se épaules. Il est temps de s’occuper d’Agnès. Elle la décroche. Agnès n’a pas eu le temps de s’ankyloser cette fois. Elle prend l’habitude d’être suspendue. Elle l’oblige à aller aux toilettes devant elle.

- Écarte plus tes cuisses. Je veux voir ce qu’il tombe.

Agnès est toute rouge. Ynès n’a jamais exigé cela avant. C’est la seule chose pour laquelle elle a eu un peu d’intimité avant aujourd’hui.

- Eh oui, ma chérie. Aujourd’hui est ton premier jour d’esclavage. Tu poseras désormais ta crotte devant quelqu’un chaque fois. Pour pisser c’est le même topo. D’ailleurs tu devras toujours demander l’autorisation de faire tes besoins. Je préfère te prévenir que j’adore refuser ce privilège à un esclave.

Agnès écarte ses jambes. Le bruit de la chute dans l’eau de la cuvette lui parait être entendu par toute la clinique. Elle s’essuie soigneusement et se lève.

 - Attend ! Je veux voir ton cul. Montre.

 Agnès se retourne et se penche en avant. Elle écarte ses fesses avec ses mains. Cette partie lui plait davantage. La brûlure qu’elle reçoit est moins de son goût. Ynès vient de lui assener un violent coup de brosse à cheveux. Les brins de la brosse restent marqués profondément la tendre peau de l’anus.

 - Tu aimeras peut-être moins cela désormais. Rase-toi et viens me montrer. Puis tu resteras à genoux derrière la porte jusqu’au moment du départ avec une cagoule et un bâillon.

 Agnès se rase très vite. Elle sait maintenant manier le rasoir à sec. Elle vérifie ses aisselles puis son pubis. Elle fait bien attention de ne pas se couper les lèvres et finit par son anus. Ynès s’est installée sur un transat sur la terrasse. Agnès se présente devant elle. Elle s’agenouille et se rejette en arrière en écartant les cuisses. Le rasage était parfait. Ynès peut s’en rendre compte en passant la main sur les lèvres vaginales.

 - Il faudra bientôt enfermer tout cela à double tour. Ah ! Tu as pris la cagoule et le bâillon. Très bien !

 Elle finit de préparer son esclave. Puis elle se lève et l’accompagne derrière la porte. Agnès s’agenouille et prend la même position que précédemment. Ynès reprend la brosse et caresse quelques instants le sexe de la jeune femme. Puis elle place le bâillon et la cagoule.  Celle-ci est verrouillée au niveau du cou par un collier de cuir terminé par un cadenas à chiffres. Ynès retourne sur son transat. Elle dépose son pardessus sur le lit. Maintenant que son esclave est aveugle, elle peut attendre son homme entièrement nue.

C’est Marc qui la tire dans ses pensées.

- Bonjour ma belle ! Je vois que Séverin a reprit ses droits sur toi. Il a beaucoup de chances. Je compte sur vous pour faire du tas derrière la porte une femme aussi belle et soumise que toi.

 Ynès pose un regard sur son corps nu. Inconsciemment, elle a écarté ses jambes et se s’est cambrée . Marc peut voir parfaitement son zizi relié sous elle. Mais après tout, tout ceci était aussi le résultat du travail de son médecin préféré. Elle se lève et met ses bras autour du cou de Marc.

- Je vous remercie pour tout, Marc. Je ne vous remercierai jamais assez de m’avoir donné ma féminité. Votre esclave sera telle que vous le désirez. Elle est déjà très obéissante. Elle accepte assez bien d’être attachée et suspendue durant des heures. Elle vient de passer un cap supplémentaire ce matin même. Elle doit maintenant accepter d’être soumise devant d’autres mais elle a déjà accepter de recevoir un pénis. Mais tout cela ira bien car elle vous aime et ne veut que vous faire plaisir.

 - Je l’espère car quand je la vois à genoux devant moi, j’ai envie de la relever, la retourner et de la prendre très profond.

- Patience, vous le pourrez très bientôt et avec une belle queue bandante par devant.

 Elle l’embrasse très tendrement sur la bouche. A ce moment, Séverin entre un bouquet de roses à la main. Il reste un moment interloqué. Marc s’écarta du corps nu d’Ynès. Il était rouge de confusion. Il lève les mains en signe d’innocence.

 - Je ... euh...

 Ynès vient à son secours. Elle court au devant de son Maître et se jette à genoux, cuisses ouvertes devant lui.

 - Maître, je remerciais le docteur pour les dons qu’il m’a fait.

 - Si je n’avais pas confiance en toi, j’aurais des doutes certains. Mais ta soumission vient laver ce doute. Pourtant tu seras punie pour ton comportement dès notre arrivée.

 Se tournant vers Marc, il ajoute :

 - Je te remercie également pour ton travail merveilleux mais je crois que désormais à part les visites de contrôle qui se feront toujours en ma présence, je ne veux plus que tu restes en tête à tête avec Ynès.

 - Je te comprends et j’accepte. J’ajoute puisque Agnès est présente que lorsqu’elle sera prête à se soumettre à moi, je désire que tu sois le premier homme devant lequel et avec lequel, elle consomme sa soumission.

 Ynès qui est toujours en position de soumission aux pieds de son Maître, pâlit en entendant Séverin accepter d’être l’étalon d’Agnès. Agnès, dans son coin, qui sans rien voir, peut tout entendre frissonne en silence. Ynès voit sa tête se pencher en avant en signe de soumission et d’acceptation passive.

 Marc se dirige vers la porte. Il s’arrête un instant devant Agnès et se penche vers elle. Il lui murmure quelque chose à l’oreille. Agnès accepte de la tête, puis Marc disparait. Séverin considère un moment sa femme à ses genoux devant lui. Il sort une cravache de dessous son pardessus.

 - Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes.

 Ynès obéit. Séverin fit lourdement tomber la cravache sur la peau des fesses. Ynès encaisse les premiers coups en silence.

 - Compte à haute voix afin qu’Agnès entende sa Maîtresse se faire punir.

La brûlure était intense. Ynès compte à haute voix et rajoute même un « merci Maître » après chaque coup. Séverin veut entendre Ynès gémir, voire le supplier de cesser. Il redouble donc ses coups. Ynès craque bientôt. Ses fesses portent maintenant des traces rougeâtres du cuir qui mordent sa peau. De petites traces sanguinolentes perlent çà et là. Elle pleure maintenant tout doucement.

- Pitié, Maître, dit-elle soudain.

Séverin a gagné. Pour la première fois, il a eu envie de faire souffrir son esclave. La vue d’Ynès enlacée à Marc, les lèvres soudées par un baiser l’a profondément blessé. Il veut faire comprendre à Ynès qu’il n’acceptera jamais plus de telles choses.

 Il poursuit encore sa punition. Ynès continue de compter. Elle a demander à son Maître de cesser mais lui seul peut décider du moment. Elle se soumet en silence ponctué de quelques sanglots presque inaudibles. Séverin cesse soudain. Ynès se précipite vers lui et lui embrasse les pieds. Son corps est secoué de tremblements. Elle pleure à chaudes larmes maintenant. Séverin se penche sur elle et lui caresse doucement les fesses. Ynès se calme. Elle relève bientôt la tête. Ses yeux sont noyés de larmes. Séverin l’aide à se relever et l’enlace à son tour. Il l’embrasse fougueusement.

 - Mon chéri, jamais tu n’auras à craindre la moindre trahison de ma part. Je suis ton esclave et je t’aime. Mais ta punition est juste et je t’aime davantage pour cela. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été cravachée ainsi. C’est bon et cela fait très mal.

 - Viens partons ! Et n’oublie pas ton esclave.

Il sortit un collier de chien et sa laisse qu’il tend à Ynès. Celle-ci le regarde et commence à fixer le collier à son cou.

- Non c’est pour elle !

Ynès lui lance un regard plein d’amour et se dirige vers Agnès. Elle fixe le collier et crochète la laisse. Elle constate sous Agnès une flaque ! Agnès a fait pipi sous elle en entendant sa Maîtresse souffrir comme elle va elle-même souffrir bientôt. Ynès choisit de ne rien voir pour le moment et de ne rien dire.

Puisqu’elle porte une laisse, elle n’a pas besoin de peignoir pour gagner la voiture. Elle abandonne le vêtement sur le lit. Elle sortira d’ici nue et soumise !

 Séverin sort une autre chaîne et oblige Ynès à lui faire face. Il tend la main vers le pubis et crochète la chaîne à l’anneau du Prince-Albert. La chaîne mesure 2 m de long. Il prend la chaîne par une extrémité et la tend brusquement. Ynès sent la traction sur son sexe et la brûlure qui s’en suit.

- Je veux que tu marches en te tenant bien droite. Je te tiens en laisse. C’est ce qui te différencie maintenant d’une simple esclave comme Agnès qui elle se déplacera comme une chienne. Mais je veux entendre la musique de tes poids.

 La curieuse troupe se met en route. Séverin marche devant, tenant Ynès en laisse par son pubis. Il tire fort et elle est obligée de tendre son ventre en avant. Ses cuisses ouvertes lui donnent une démarche curieuse. Elle-même tient en laisse Agnès qui marche à quatre pattes. Les deux femmes sont nues et offrent à qui se trouve dans les couloirs un spectacle insolite. Ynès redoute de se trouver face à un étranger. Mais les couloirs sont vides. Dans le hall d’entrée, seuls de concierge et Mathilde attendent. Ils veulent dire au revoir aux deux femmes qui les ont transfigurés. Le concierge tient Mathilde dans ses bras devant lui, il tient la blouse soulevée d’une main, l’autre tient un concombre qu’il faisait aller et venir dans le sexe de sa compagne. Mathilde, la bouche ouverte, ondule des hanches. La caresse lui plait sans aucun doute. L’étrange troupe passe devant l’étrange couple. Mathilde met sa main devant sa bouche et lance un baiser aux deux femmes. Mais elle s’interrompt car son amant vient d’enfoncer le concombre profondément en elle et Mathilde s’affaisse sur ses jambes devant le choc de la jouissance reçue.

 Le trio traverse le parking et s’arrête devant la voiture de Séverin. Il ouvrit le coffre. Ynès aide Agnès à se glisser à l’intérieur. Elle s’allonge sur le dos et écarte les cuisses.

 - Laisse-là et suis-moi.

 Séverin entraîne Ynès vers les portes arrières. Il l’aide à entrer dans la voiture. Il attrape ses poignets et les fixe aux montants latéraux. Il a fait installé par Antoine des anneaux aux points de fixation des ceintures de sécurité. Ynès se retrouve avec les bras écartés et tendus en arrière sur les ceintures arrières. Il lui prend chaque cheville et fait de même car des anneaux sont fixés sur les points de fixation des ceintures de sécurité avant. Ynès est donc assise sur la pointe des fesses, les bras et les jambes tendues et écartées. Il l’oblige à prendre dans sa bouche un bâillon en forme de boule de billard percée de plusieurs trous pour permettre la respiration. La boule est fixée autour de sa tête très serrés. Ynès ne peut pas voir que la boule portait elle aussi un anneau vers l’extérieur. Séverin fixe l’anneau à un crochet situé sous le toit de la voiture. Ynès a donc la bouche collée au plafond de la voiture, le cou en hyper extension avec les bras en arrière. La position est immédiatement douloureuse. Séverin complète le dispositif en reliant la chaînette de son sexe à un crochet fixé juste en arrière du levier de vitesse. Ynès sent son sexe se tendre en avant. Elle voudrait hurler de douleur mais elle le peut pas. Des larmes se remettent à couler. Séverin est devenu un maître impitoyable.

 Séverin ressort de la voiture et se dirige vers le coffre. Il retrouve Agnès allongée et offerte. Le coffre est aussi bien installé que l’habitacle. Agnès se retrouve avec les poignets attachés au dessus de sa tête. Il fixe des sangles sur ses genoux pour maintenir les cuisses ouvertes. Le sexe d’Agnès est entrouvert. Séverin passe ses doigts sur les lèvres. Agnès essaie de se dégager mais tout mouvement est interdit. Elle essaie de contracter ses muscles vaginaux pour empêcher l’inconnu de la pénétrer avec ses doigts. Mais toute résistance est inutile. Séverin enfonce ses doigts et la fouille profondément. Agnès ne tarde pas à avoir le sexe trempé. Elle qui détestait être pénétrée ainsi ne peut s’empêcher de jouir. La position et la situation sont tellement nouvelles et excitantes. Elle sait dès cet instant qu’on peut l’obliger à tout : elle acceptera. Elle ne sait pas si quelqu’un l’a vu sortir de la clinique mais elle s’en moque désormais. Elle s’abandonne à cette main. Séverin sent cet abandon et sa main pénètre entièrement. Il voit son poignet disparaître dans le vagin humide. Il entame un simulacre de masturbation. Agnès gémit de plaisir. Elle se tend soudain sous la tension de la vague de plaisir qui l’emporte vers sa nouvelle vie. Séverin retire sa main et claque le capot. Agnès désormais seule dans son coffre continue à contracter son vagin pour prolonger le plus longtemps possible le plaisir qu’elle vient de recevoir.

 - Ton esclave est très chaude, dit Séverin en mettant le contact. Elle a un vagin profond et doux. Ma main est toute humide de la pénétration.

Ynès voudrait hurler mais aucun son ne peut sortir de sa bouche. Seul un souffle se fait entendre. Séverin veut la rendre jalouse. Il a conscience que sa femme a mené une toute autre vie avant. Il faut qu’elle l’oublie et qu’elle oublie surtout tous les hommes qu’elle a connus. Il veut être le seul homme de ses pensées.

 Le trajet du retour vers la maison est long. Grâce aux vitres teintées, personne ne peut voir Ynès. Séverin en profite pour faire durer le plaisir. Ynès souffre en silence par force. Séverin a très envie d’elle mais il ne pourra pas l’avoir pour lui à son arrivée. Elle devra être punie et tout est prêt pour cela.

 Quelle va-t-être la suite ?

 Séverin sait que désormais sa maison va devenir l’antre de l’amour et de la douleur. Déjà ses domestiques subissent dans la joie cette nouvelle condition de vie. Ils s’y vautrent même. Sa femme ramène avec elle une autre femme qui veut suivre la même voie. Et dernièrement, Bénédicte lui a parlé d’un petit cousin à elle qui a des penchants comparable aux siens. Il n’a plus de famille directe et vient de passer plusieurs mois dans un centre de désintoxication après avoir fait plusieurs bêtises importantes. Il a 30 ans et Bénédicte a été convoquée par la direction du centre. Séverin l’a accompagnée. L‘homme s’est drogué durant plusieurs mois. La directrice se fait beaucoup de soucis pour son avenir. Elle pense qu’il peut retomber dans la drogue ou pire (a-t-elle ajoutée sans en dire plus) s’il n’a pas quelqu’un de fort pour le conduire. Séverin a alors proposé de le prendre à la propriété comme gardien.

 La directrice propose alors une rencontre. Elle les conduit jusqu’à la chambre du jeune homme. Elle prend une clé et ouvre la porte.

 - Voyez par vous même si vous désirez le prendre sous votre responsabilité. Vous devez vous attendre à être surpris par sa tenue. Mais c’est la seule qu’il accepte depuis qu’il est sait qu’il doit partir. Nous n’avons plus aucun pouvoir sur lui. Bon courage ! Je vous attends dans mon bureau.

 L’homme est sur son lit. Il est allongé et nu. Il lève un œil distant à l’entrée de ces inconnus.

 - Bonjour David ! lance Bénédicte.

 David regarde attentivement celle qui lui parle. Il reconnut bientôt sa cousine par alliance. Il se lève et se jette  dans ses bras.

 - Béné que fais-tu ici ?

 David ne semble faire aucun cas de Séverin et encore moins du fait d’être nu. Son corps est maigre et pâle. Peu d’exercice  et de soleil et sans doute une hygiène de vie insuffisante. Le passage forcé dans l’institution n’a pas aidé.

 - La directrice m’a convoquée pour me parler de toi. Tu dois quitter cet établissement très bientôt. Voudrais-tu venir vivre chez nous. Euh... Je te présente mon Maî... Patron Mr Oboé. Il accepterait de te prendre à son service.

 - Je ne veux pas être un larbin !

 - Tu ...Aimes-tu toujours les ... jeux particuliers que nous faisions il y a quelques années ?

 - Mais ... Oui bien sûr. Mais ... enfin n’en parlons pas maintenant, pas devant lui.

 Bénédicte se tourne vers son Maître.

 - Puis-je lui montrer ? dit-elle en soulevant légèrement sa robe.

 Séverin acquiesce. Bénédicte fait de nouveau face à David.

 - Mr Oboé est un homme merveilleux ainsi que sa femme. Avec Antoine - tu te souviens de lui ? - nous vivons au Paradis. Depuis maintenant 5 mois notre vie a changé. Regarde.

 Bénédicte déboutonne rapidement sa robe et l’ouvre. Elle la fait glisser au sol. Écartant les cuisses elle se laisse observer par son cousin. Elle porte sa ceinture de chasteté. Ses seins sont reliés entre eux jusqu’à ce que les tétons se touchent. Sa peau porte les marques de plusieurs flagellations. Au bout d’un moment, elle se tourne et lui offre ses fesses en se penchant. Le gode occupe tout l’espace de son anus.

 David écarquille les yeux. Il se met à genoux et vient passer ses doigts sur le gode.

 - Tu sais, il est profond et très gros. Je le porte en permanence. Et cette robe est la seule que je possède et j’ai hâte d’être de retour à la maison pour l’enlever.

 - Tu veux dire que ton patron te fait vivre nue !

  Séverin prend la parole :

 - Elle et Antoine vivent nus et godés. Ce sont des esclaves qui jouissent dans la douleur en permanence. D’après ce que m’a dit Bénédicte, et d’après ta tenue, tu aimes beaucoup te déshabiller et tu aimais beaucoup lorsque Bénédicte te caressait le cul !

 - Ah ! Elle vous a raconté ! Il y a dix ans, mes parents vivaient toujours. Je l’ai vu un jour qu’elle était venue nous voir, baissait sa culotte dans un coin du jardin pour faire pipi. J’avais attendu qu’elle soit bien installé et j’ai surgi par derrière. Je lui ai caressé les fesses pendant qu’elle urinait. Sans se retourner, elle m’a proposé de baisser mon pantalon et de faire pareil. Je n’ai pas résisté et nous avons mêler nos urines. Après elle s’est allongée sur l’herbe et m’a laissé la caresser. Pendant ce temps elle a pris son sexe et l’a fait grossir. Elle m’a poussé sur elle et m’a obligé à la pénétrer. J’ai débandé tout de suite. Elle a alors caressé mes fesses : le miracle s’est accompli. Au moment où elle enfonçait un doigt dans mon cul j’ai bandé très fort. Après, nous nous sommes revus souvent. Pour me faire éjaculer, elle devait toujours me mettre un doigt dans le cul. Moi je giclais sur son ventre. Après mes parents ont eu leur accident de voiture et j’ai commencé à faire des bêtises. Oui, j’aime toujours cela mais je ne l’ai jamais refait avec personne. Maintenant, je me fais cela tout seul.

 - Si tu viens avec moi, tu te feras enculer toute la journée et tu vivras nu  en permanence.

 - Est-ce que je peux venir tout de suite ?

 Séverin laisse Bénédicte avec David. Elle a déjà entrepris de le caresser. Il regagnele bureau de la directrice.

 - Je crois qu’il sera très bien avec nous. Il accepte de venir travailler pour moi. Comment devons-nous faire ?

 - Je dois voir le médecin-chef pour avoir l’autorisation de sortie. Je peux vous appeler dès que j’ai le papier. Vous devez venir le chercher obligatoirement. A partir du moment où il sera avec vous, vous en prenez l’entière responsabilité.

 Séverin roule toujours. Ynès souffre de l’inconfort de sa position. La maison est en vue. Il actionne la télécommande et le portail s’ouvre. Antoine a installé ce système qui ne comporte qu’une seule clé électronique. Séverin l’a en permanence avec lui. Nul ne peut entrer et sortir de la maison sans son autorisation.

 Il arrête la voiture et sort. Il ouvre le coffre. Antoine s’avance. Il veut jeter un coup d’œil dans la voiture mais Séverin l’appelle derrière. Il détache Agnès et ordonne à Antoine de la placer dans le cachot dans la même position. Antoine prend la laisse et accompagne Agnès, toujours à quatre pattes vers le cachot dans la petite maison.

 Séverin ouvre la portière arrière et détache Ynès. Il la fait sortir sans lui enlever le bâillon. Reprenant la chaînette en main il l’oblige à descendre vers la pergola. Sur le pont, Ynès découvre une surprise. Un pilori est installé sur un côté . Ynès doit engagé sa tête et ses deux mains dans les trous prévus à cet effet. Séverin rabat une planche puis il fixe les chevilles dans des menottes très écartées. Ynès est sur ses pieds mais penchée en avant : sa tête est plus basse que ses fesses. Elle a du mal à respirer dans cette position encore plus inconfortable que dans la voiture. Séverin fouille ses fesses et retire le spéculum. Puis il reprend la cravache qu’il avait emporté et poursuit la punition. Les coups font mal. Séverin cogne fort. Les marques de la précédente fessée sont encore bien présentes. Les nouvelles marques viennent se rajouter. Il pose bientôt la cravache et s’approche du visage d’Ynès.

 - Je veux te marquer au fer rouge. Je veux que ton corps porte mes marques indélébiles. Je veux te marquer aux fesses, aux seins et sur le ventre. Acceptes-tu ?

 - Oui mon amour ! souffla -t -elle.

 - Bien, mais d’abord, tu vas accomplir un rituel que tu referas chaque matin à ton réveil. Tu vas t’empaler sur le pieu qui est devant la porte de la pergola et tu iras t’immerger au milieu de la marre. Une fois dans l’eau tu te masturberas sur ton pieu. Tu feras cela tous les jours quelque soit le temps. J’assisterai à chaque bain et j’urinerai dans un bol. Après que tu aies joui, tu pourras sortir de ton bain et tu boiras mon urine. Puis tu pourras retirer ton pieu, le nettoyer et le ranger à sa place. Tu me montreras ta jouissance anale et tu pourras alors vaquer à tes occupations. Tu vas devoir dresser Agnès et un jeune homme nommé David. Tu en sauras plus tout à l’heure. As tu bien compris ?

 - Oui Maître ! répond seulement Ynès.

 Séverin la libère et la conduit jusqu’au pieu. Antoine a fixé le pieu dans un anneau à la manière des torches dans les châteaux du Moyen-âge. Il est parfaitement raboté : il brille tellement il est lisse et lustré. Il est gros aussi. Séverin lui retire le spéculum.

 - J’aime beaucoup sa taille. Il fait 15 cm de diamètre. Comme un beau cul de bouteille de champagne. Je veux que ton cul l’accepte facilement. Vas-y !

 Ynès décroche le pieu. Elle passe sa langue dessus et l’enduit de salive. Puis elle le pose sous elle et présente son anus. Elle écarte ses fesses et  s’assoit dessus. Le pieu commence sa lente pénétration. Ynès doit y passer de longues minutes. Le pieu est effectivement gros et son anus n’a plus l’habitude d’être pénétré aussi durement. Elle a très mal. Son cul s’ouvre difficilement. Séverin s’est assis sur un banc face à elle. Une petite table est posée à côté. Sur la table un bol transparent attend la miction de son maître. Pour l’encourager, Séverin vient d’ouvrir sa braguette et sort son sexe. Ynès redouble d’efforts. Elle sent bientôt que son anus accepte de laisser passer le pieu. Elle sent l’engin s’engouffrer en elle. Elle est bientôt prise. Elle est maintenant assise sur un gode gigantesque. Son anus tremble et la lance furieusement. Sur un signe de son maître, elle se soulève et avec une démarche de canard, elle descend dans l’eau glacée. Au centre de la marre, elle remarque un socle de ciment troué au centre. Elle engage le pieu dans ce trou et commence un va-et-vient difficile à cause de la taille du gode. Elle suit tous les gestes de son amant. Il prend le bol dans ses mains et le place devant son sexe. Il se met à uriner. Le bol est bientôt plein.

 - Le bol est plein et j’ai encore envie. Dépêche-toi, tu boiras tout.

 Ynès n’attend pas longtemps pour jouir. La pénétration est trop grosse pour avoir besoin de beaucoup de temps. Elle sent son ventre se tordre de plaisir. Son anus est en feu malgré l’eau froide. Elle se soulève et revient vers le bord. Elle sort en dégoulinant et s’approche de Séverin.

 - Viens d’abord me voir. Prends mon sexe dans ta bouche sans tes mains et bois.

 Ynès attrape la verge et l’introduit tant bien que mal dans sa bouche. Séverin libère ses sphincters et elle se sent envahie par une onde chaude. Elle boit avec gourmandise. Dès que Séverin est vidé, elle se tourne vers le bol. Elle le prend entre ses mains. Elle sent la chaleur du breuvage à travers la paroi de verre. Elle boit à longs traits jusqu’à la dernière goutte sans quitter son homme des yeux.

 - Bien, nettoie tout et range. Je suis dans mon bureau. Viens me rejoindre immédiatement dans cette tenue. Tout le monde doit savoir que tu es la Maîtresse de la maison mais surtout mon Esclave.

 Séverin se lève et disparait. Ynès nettoie son pieu et le range. Puis elle rince le bol grâce à un petit lave-mains qu’Antoine a installé. Après un dernier regard, elle se dirige vers le bureau.

 Elle ne rencontre personne. Elle entre dans le bureau. Séverin est debout devant la cheminée. Il tien un tisonnier à la main et remue la braise.

 - Es-tu prête à recevoir tes marques maintenant ? dit Séverin sans même tourner la tête.

Pour toute réponse, Ynès vient se serrer contre lui. Elle frissonne de peur et de froid après son bain. Séverin se retourne et la prend dans ses bras. Ils s’embrassent. Leur baiser dure longtemps. Puis Séverin l’écarte doucement et reprenant la chaîne qui pend toujours du sexe de sa femme. Il la tire violemment vers un cadre posé entre deux piliers qu’Ynès n’a jamais vu avant. Le cadre supportait un grand X en bois. Il lui fixe les mains aux attaches du haut et les jambes aux attaches du bas. Il passe une ceinture à la taille et serre très fort. Ynès ainsi immobilisé, attend. Séverin prend le tisonnier et l’amène. Ynès sent la chaleur qui se dégage de la tige de métal.

 - Ma marque est un grand S entouré d’un O Ce sont mes initiales mais aussi cela veut dire Soumission et Obéissance.

 Sans ajouter un autre mot, il applique la marque sur la première fesse, bien au centre. Ynès hurle de douleur. La peau cuit et la marque s’enfonce profondément. La pièce s’emplie très vite de cette odeur caractéristique de la peau brûlée. Séverin remet le tisonnier dans la braise et le prépare pour la deuxième marque. Les deux fesses marquées, Séverin fait le tour et applique la marque sur les deux seins. La douleur est encore plus intense. Ynès hurle sans arrêt, elle perd même connaissance. Séverin pose le tisonnier et ranime sa femme.

 - Continue chéri. Je veux toutes les marques. Celle du sexe aussi.

 Séverin reprend encore une fois la tige de métal en fusion et l’applique une dernière fois sur le pubis. Sa femme est maintenant marquée. Elle lui demande de rester un moment seule là où elle est. Séverin sort de son bureau.

 Ynès laisse sortit toute son angoisse et sa peur. Depuis son départ de la clinique, elle a vécu dans la souffrance. C’est quelque chose de connu pour elle. Mais c’était avant. Son amant réalise tous ses rêves et tous ses cauchemars. Elle veut vivre ainsi et Séverin accède à ses désirs. Mieux, il prend lui-même sa part et entraîne sa compagne dans la partie qu’il a composé. Cela va au-delà de qu’elle espérait. Elle vit désormais avec un Maître - son Maître. Elle va devoir vivre selon les ordres et les désirs de son Maître et c’est bien ainsi. Mais cela fait mal ! Elle sent son corps meurtri par les coups de cravaches et par les brûlures. Elle a l’impression de toujours avoir le tisonnier planté sur sa peau. Sa tête se met à tourner. La pièce vacille bientôt et Ynès perd une nouvelle fois connaissance.

Quand elle revient à elle, elle est allongée sur son lit. Les draps frais apaisent la brûlure toujours présente. Bénédicte est à ses côtés. Elle enduit de crème ses marques. Elle sent que des pansements sont posés sur ses fesses car le sparadrap tiraille un peu.

 - Maîtresse, reposez-vous ! Vous êtes maintenant chez vous. Le Maître a reprit possession de vous. Vous devez nous reprendre en main et créer de nouveaux esclaves. Nous avons tous hâte de vous obéir.

 - Merci, Bénédicte, dit doucement Ynès. J’ai envie de dormir. Je te promets de te mettre au supplice dès que j’irai mieux.

 - Merci Maîtresse, dit Bénédicte en lui baisant les mains.

 Elle termine ses pansements sans dire un mot et sort. Ynès retrouve la quiétude de la chambre où elle est revenue à la vie des mois plus tôt. Elle est chez elle et avec les siens. Elle peut se reposer.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 16:15

Chapitre 14

 Après plusieurs heures de sommeil, Ynès se sent fraîche et dispose. Les brûlures ne sont plus qu’un vague souvenir. Elle se lève. Séverin n’a pas dormi avec elle. Cela l’inquiète. Un mot sur la table de nuit lui donne toutes les explications nécessaires.

« Mon amour, je te laisse dormir en paix. Tu as eu une rude journée. Désormais tu es mon esclave pour la vie. J’ai passé la nuit sur le canapé du salon. Cette nuit encore tes esclaves ont dormi selon les habitudes prises durant ton absence. Je crois qu’il faut dès ton réveil que tu reprennes la maison en main. La nouvelle esclave est dans le cachot et attend ton bon vouloir. Un jeune homme nommé David arrive ce soir. Il doit se présenter à la grille de la propriété vers 18 h. Moi, je serai absent toute la journée. Je dois finir les préparatifs de notre mariage. J’aimerais, si tu es d’accord, le dresser moi-même. Il semble vouloir devenir un être hybride que tu étais jadis. Je voudrais avec tes conseils et ton guide lui faire subir son initiation. Demande toutes les explications à Bénédicte.

Pour ta tenue, je t’ordonne de mettre tes poids sur le zizi uniquement et ton spéculum dans le sexe. Antoine t’a préparé un harnais qui permet d’y fixer la cravache avec laquelle je t’ai corrigée hier pour la première et dernière fois. Sache que j’ai eu moi-aussi très mal de te faire subir ces coups. Mais il fallait que tu reprennes très vite contact avec notre vie désormais. Je t’aime toujours et encore plus dorénavant.

P.S. : Dès que David arrive. Déshabille-le et attache-le au pilori devant le garage. Il est identique au tien devant la pergola. Laisse-le là jusqu’à mon retour.

A ce soir. Séverin. »

Ynès embrasse le billet. Il sent bon. Séverin y a déposé une goutte de son eau de toilette. Elle jette un coup d’œil circulaire et tombe sur le harnais de cuir. Il se compose d’une large ceinture abdominale réglable pour faire une taille très fine à la manière d’un corset. Sur le cuir une petite flèche blanche marque l’endroit où sans doute Séverin veut que soit réglée la ceinture. Du nombril part une sangle de cuir plus fine qui se sépare en deux cercles qui marquent l’emplacement des seins. Les lanières poursuivent leur chemin jusqu’aux épaules pour redescendre dans le dos en se croisant pour revenir se fixer à la ceinture. Au niveau du cou : un collier de chien avec des griffes est fixé d’un côté. Séverin veut que son esclave puisse être parfois aussi sa chienne. Le collier doit être lui-aussi fixé serré. Enfin deux chaînettes en acier descendent de chaque côté du pubis et glissent dessous. Elles ont la longueur exacte qui permet de les fixer à son Prince-Albert. Ynès constate alors que son cadenas est ouvert. Séverin veut qu’elle fixe elle-même les chaînes et qu’elle referme ensuite le cadenas de chasteté. Elle enfile son harnais. La ceinture abdominale l’étouffe presque. Séverin veut une taille vraiment très fine. Elle aligne tout de même le cuir du harnais selon la flèche blanche. Une fois équipée correctement, elle remarque un petit cadenas qui pend à son côté droit. Il vient fermer la ceinture abdominale et terminer l’ensemble. Fixer ce cadenas revient à interdire ensuite tout retrait du « vêtement ». Ynès est condamnée à garder ce harnais 24 heures sur 24. Il set fait de telle sorte que toute pénétration reste libre pour son homme par derrière à condition de retirer le spéculum. De plus le harnais ne cache nullement les marques au fer rouge puisque à l’emplacement de la marque pubienne, un anneau assez gros coupe le cuir. La marque est donc là-aussi visible. Elle prend ensuite le spéculum en or. Elle l’enduit de salive puisque Séverin ne veut pas qu’elle utilise autre chose et se plaçant de dos devant la psyché, elle s’accroupit légèrement et écarte ses fesses. Elle place le spéculum devant l’anus et l’enfonce à fond. Une fois en place, elle tourne la petite clé. Son anus ressent immédiatement l’écartement forcé. Lorsque la clé arrive en butée, Ynès se courbe en deux et se regarde par dessous. Son anus est largement ouvert : un grand trou noir gainé d’or s’offre en spectacle. Son impression est juste : son Maître la veut ouverte et offerte. Elle doit se méfier maintenant car ses sphincters ne jouent plus aucun rôle : rien ne peut désormais empêcher ses boyaux de se vidanger en direct et sans retenue.

Fière de son vêtement, Ynès ouvre la porte de sa chambre et se rend dans la cuisine. Sa démarche est immédiatement remarquée par Bénédicte qui s’y active. Elle lance à sa Maîtresse un long regard complice et approbateur. Dès qu’elle pénètre dans la pièce, Bénédicte prend sa position de soumission. Ynès qui a accroché sa cravache, la prend en main et assène plusieurs coups violents sur les seins de la domestique.

- Je ne veux plus rien prendre désormais à mon petit déjeuner. Il est donc inutile que tu t’affaires. Va faire le ménage. Où est Antoine ?

 - Il est parti avec le Maître ce matin très tôt. Ils avaient encore quelque chose à faire. Mais je ne sais pas quoi. Je n’ai plus parlé à Antoine depuis plusieurs jours.

 Ynès pense qu’en fait de parler, ils n’ont sûrement pas de contact sexuel depuis longtemps.

 - Quand je reviens, je veux que tu me parles de David.

Sans attendre la réponse de la servante, Ynès se rend à la pergola. Sur la terrasse, devant la bâtisse, un bol d’urine refroidie depuis longtemps attend. Ynès retire le spéculum et prend le pieu. Après l’avoir humecté elle se l’enfonce. C’est encore plus dur que la veille puisque Séverin n’est pas là pour la contraindre. Elle doit s’auto-punir. Une fois le pieu en place, elle descend dans l’eau froide et plante son pieu au milieu de la marre. Puis elle se fait l’amour sur le pieu. Son anus a pris la mesure de l’objet et la jouissance vient rapidement. Elle sort de l’eau et boit le breuvage froid. Son goût est très amer. Ce n’est déjà pas très bon chaud, froid c’est carrément imbuvable. Elle boit tout de même jusqu’à la dernière goutte et rince le bol. Puis elle retire le pieu, le nettoie et le range. Elle remet immédiatement le spéculum en place. Elle revient en pensée un instant à Bénédicte. Séverin a fait installer sans rien lui dire un miroir assez grand sur la pergola. Ynès s’aperçoit qu’elle se tient désormais plus cambrée que d’habitude. Le spéculum permanent grand ouvert l’oblige à avoir une démarche les jambes plus écartées que la normale : ses fesses pointent en arrière.

 Elle manque de prendre la clé sur son sein gauche pour refaire connaissance avec SA pergola désormais, mais elle préfère attendre encore. Après son mariage, ce sera mieux, murmure-t- elle.

Elle remonte à la cuisine. Bénédicte est dans le salon en train de passer l’aspirateur. La maison est toujours d’un grande propreté et Ynès n’a rien à dire quand aux talents de ménagère de son esclave. Bénédicte a un peu maigri. La ceinture de chasteté la boudine beaucoup moins et le gode anal parait avoir grossi.

 - Le gode est plus gros n’est-ce pas !

 - Oui Maîtresse ! répond Bénédicte tout en continuant son travail. Le Maître a doublé la taille. Il veut que mon anus s’élargisse. Il veut pouvoir y enfourner ses deux mains en même temps et sans effort.

- Très bien ! On verra ce soir si on peut encore l’agrandir.

 - Oh, Maîtresse, j’ai déjà très mal et c’est très difficile de le supporter. J’ai l’impression d’avoir envie de faire caca en permanence.

 - Cela m’est bien égal. Parle-moi de David.

 Bénédicte commence par rapporter à sa Maîtresse, sa visite avec le Maître au centre. David a accepté. Pendant que Séverin discutait des conditions de son départ du centre, Bénédicte est restée avec lui. Elle raconte à Ynès qu’une dizaine d’années auparavant, elle l’avait dépucelé et qu’elle avait vite vu ses penchants naturels vers la sodomie. Ils s’étaient rencontrés durant tout un été. Bénédicte travaillait déjà chez les Oboé. Mais en ce temps là; ils étaient en Afrique. David venait tous les jours pendant qu’Antoine fréquentait les bars avec ses copains. Ils ont très vite cessé de faire l’amour comme un homme et une femme. David préférait qu’elle l’encule avec ses doigts et lui, se masturbait en déversant dans sa bouche le sperme. Bénédicte lui demandait en retour de la prendre avec des objets insolites dans les deux orifices. Dès qu’elle trouvait l’objet, il lui en mettait un autre. Puis l’accident de ses parents l’a éloigné d’elle et elle a perdu tout contact. Elle le revoit pour la première fois depuis le jour de sa visite au centre. Antoine n’a jamais rien su de leurs escapades amoureuses. Elle a appris de temps à autre qu’il faisait de la tôle pour des larcins. Il avait besoin de fric pour acheter sa dope. Lorsqu’ils sont restés seuls, David lui a dit qu’il avait essayé de se prostituer pour gagner de quoi acheter ses doses mais il n’a pas été jusqu’au bout du premier client. La peur du SIDA avait été la plus forte. Il ne s’est jamais piqué non plus. Le Maître a demandé une expertise médicale. Elle est négative : aucune maladie à craindre.

 - J’ai expliqué à David ce qui l’attendrait s’il acceptait de venir vivre ici. Il est d’accord mais préférerait être soumis à un homme. Il n’aime pas beaucoup les femmes en-dehors de moi. Par contre, il aime beaucoup le Maître et se dit prêt à tout faire pour tenter de le satisfaire. Il ne connait rien au BDSM mais il st très tenté car je lui ai parlé d’Antoine et de moi et aussi de Vous. J’espère ne pas avoir mal fait ! Il arrive ce soir.

 - Je sais. Tu as bien fait. Ce David doit savoir à quoi il s’engage en venant vivre ici. Bien passons à la revue de détails. Pendant plus de trois heures, elles passèrent en revue la maison dans ses moindres détails. Rien ne pouvait être reproché à Bénédicte. En récompense, Ynès avertit son esclave qu’elle pourrait passée la nuit avec Antoine, à condition que lui-même n’est à subir aucun reproche.

 Laissant Bénédicte à sa joie, elle se dirige vers le cachot. Agnès est dans l’exacte position de la veille dans le coffre de la voiture. Couchée sur le dos les cuisses ouvertes et les mains fixées au-dessus de la tête.

 Ynès ouvre la porte. Agnès qui attend patiemment se tourne vers elle.

 - Bonjour Maîtresse !

 - Silence !

 Elle la détache et l’oblige à se mettre dans la position de soumission qu’elle doit prendre chaque fois qu’elles se rencontreront. Assise entre ses cuisses largement ouvertes, les fesses reposant sur le sol et les mains sur la tête, baissée, elle attend.

- Sortons au grand air.

 Dès qu’elles sont dehors, Ynès se dirige vers la pergola. Elle fixe Agnès sur le pilori.

 - Tu as le droit de faire tes besoins maintenant.

 Agnès qui se retient depuis la veille a une très grande envie. Mais la position est pénible pour se nettoyer les entrailles. Agnès a conscience que d’être la tête baissée et les jambes écartées, elle risque d’uriner sur sa tête et sa merde sera expulsée sans ne rien pouvoir cacher à sa Maîtresse. A nouveau, elle a honte et tente de se bloquer.

 - A ta guise ! Mais tu devras tout garder jusqu’à demain matin. Réfléchis. Pendant ce temps, je vais un peu assouplir tes chairs intimes. Détachant sa cravache, Ynès commence à fouetter les fesses et l’entrejambes de son esclave. Ynès s’applique particulièrement sur le vagin. Agnès hurle et tenta de se dégager. Plus elle essaie, plus elle s’étrangle. Quand elle a les fesses et les cuisses cramoisies, Ynès s’arrête et attend.

Agnès commence à uriner. Comme prévu, elle reçoit sa miction sur la tête. Agnès secoue la tête et souffle pour éviter que l’urine ne pénètre dans ses narines et dans sa bouche. Puis Ynès voit ses sphincters s’ouvrirent. La merde commence à apparaître et saute au sol en libérant des gaz nauséabonds.

Dès qu’elle a terminé, elle éclate en sanglots. Honteuse d’avoir accompli ce que désirait sa Maîtresse en faisant autant de bruit, et épuisée nerveusement par sa fessée et sa nuit difficile. Ynès la délivre et lui ordonne de se baigner dans la mare. Agnès obéit, brisée provisoirement. Elle se glisse dans l’eau froide et nage quelques instants.

- Frotte-toi un peu et puis sors.

La peau violacée par le froid, Agnès grelotte. Avec la cravache, Ynès lui ordonne de courir et de faire 4 fois le tour de la mare. Agnès s’exécute. Ynès s’amuse un instant de voir les seins sauter au rythme des pas. Le souffle court, elle revient et se place en position de soumission sans qu’Ynès n’ait rien à dire.

- Suis-moi.

 Les deux femmes remontent à la maison. Ynès présente Agnès à Bénédicte.

 - Je veux que tu lui fasses nettoyer toutes les vitres avec sa langue. Chaque fois qu’elle aura fini une fenêtre, tu la récompenseras en l’obligeant à chevaucher le gode qu’Antoine à installer devant le garage. Tu sais celui qu’il utilise quand il attend les ordres avant de partir. Ah ! bien sûr elle prendra le gode dans le vagin uniquement mais si elle se fait bien l’amour tu pourras la stimuler en lui fourrant deux doigts seulement dans le cul. Dès qu’elle aura fait toutes les vitres, tu lui planteras le cul sur le gode et tu l’attaches. Puis viens me rendre compte.

Agnès s’éloigne sans rien dire. Pourtant, durant l’exposition de la tâche, elle a lancé des regards de supplication à sa Maîtresse. Ynès sait qu’elle n’aime pas se faire prendre par devant. Mais il faut qu’elle accepte cela aussi. Séverin doit la pénétrer en gage de soumission complète. Ynès veut que cela soit bien fait aussi.

Elle prépare elle-même un déjeuner rapide puis se repose sur le transat. Les opérations ne sont pas très loin et les marques la tiraillent un peu. Deux heures de repos sont les bienvenues. Bénédicte évite les fenêtres de la terrasse. Agnès met toute la journée pour lécher les vitres. Elle n’a rien mangé depuis hier. Elle doit être épuisée par la punition et les pénétrations. Vers 17h45, Bénédicte vient enfin rendre compte.

 - A la dernière fenêtre, elle a enfin prit le gode dans le vagin sans rien dire. Elle a même gémit de plaisir mais très discrètement. Sinon, elle n’a pas arrêté de m’insulter. Même quand je lui glissais deux doigts, elle essayait de m’interdire l’entrée. Elle est coriace mais elle a craqué ce soir, je crois.

 - Bien, tu la reprends en main dès demain matin. Elle passera la serpillière partout et subira le même traitement. Sauf que tu remplaceras tes doigts par le gode que tu mettais au début.

- C’est gros, Maîtresse ! Je vais lui éclater le cul.

- Non elle peut le prendre. Bien sûr, elle est un plus étroite pour l’instant. Au début va doucement. Si elle t’insulte, retire immédiatement le gode. Elle droit comprendre que le gode même si il fait mal est la seule récompense. Dans une heure, tu lui prépareras à manger. Pour l’instant, laisse-la sur son pieu. Je viendrai lui donner moi-même. Prépare le tout en purée dans une gamelle pour chien. C’est tout pour le moment. Ah, non ! Préviens-moi dès que ton cousin arrive.

Bénédicte se retire.

Ynès a entamé la lecture d’un magazine quand Bénédicte revint.

- Maîtresse, David est au portail.

 Ynès se lève et se dirige vers le portail. Elle ouvre et se trouve devant un homme très maigre. Il ne respire ni la joie de vivre ni une grande forme physique. Il parait étonné en voyant Ynès. Celle-ci réalise que sa tenue doit être étonnante en effet.

 - Je suis David Graffin et je voudrais parler à Mr Oboé.

 - Je suis sa femme. Mon mari sera bientôt de retour. Il m’a laissé des instructions vous concernant. Entrez.

 L’homme pénètre dans la propriété sans cesser de regarder de la tête au pied celle qu’il a devant elle.

 - Vous prendrez vite l’habitude de nous voir ainsi. Seul le Maître est habillé. Posez votre valise ici devant la poubelle et retirez tous vos vêtements.

 - Mr Oboé m’avait dit que je devrai me dévêtir pour pouvoir entrer ici. Mais je ne savais pas que je devrai le faire devant une F... Femme.

 Il vient sans doute de remarquer le pénis étiré et distendu sous elle. Ynès n’y prête aucune attention et répète son ordre.

- A poils !

Cette fois le commandement est plus direct.

 David retire sa veste et sa chemise. Torse nu, il grelotte un peu.

 - Le pantalon et le slip à présent, insista Ynès en jetant la chemise et la veste dans la poubelle.

 - Mais, qui vous autorise à jeter mes vêtements ? fait David en s’avançant menaçant vers elle.

 Ynès prend sa cravache et porte un coup au côté. L’homme n’est pas courageux. Il s’arrête, se masse et regarde méchamment Ynès.

- Vous êtes une belle salope. D’ailleurs, avec une queue comme la vôtre, ça ne m’étonne pas.

 Ynès le menace d’un nouveau coup mais David n’insiste pas et défait la ceinture de son pantalon. Le vêtement glisse au sol et David le dégage d’un coup de pied. Il en profite pour le lancer plus loin. Ynès doit se déplacer et se courber pour le ramasser.

 - T’as un beau cul, Pédé ! et il a l’air bien rempli.

 Ynès revint vers lui et le cravache en pleine figure.

 David se met à pleurer comme un enfant.

 - Le slip du con !

 Il retire sa limouille. Le sexe pend lamentablement. David est sale. Ynès se demande si Séverin a raison de le prendre. Il parait fragile et dangereux. Les relations ne seront pas faciles entre eux.

 Elle jette le pantalon et le slip dans la poubelle et le pousse vers le pilori. En voyant l’engin, David s’arrête. Mais il aperçoit dans le même temps, une jeune femme qui est attachée contre un mur. D’après la position qu’elle a, elle semble vouloir faire l’amour avec le mur. Elle aussi, est nue. Elle tourne la tête vers le couple qui arrive.

 - Pitié Maîtresse ! Je serai obéissante et je prendrai tous les godes que vous voulez par derrière comme par devant. Délivrez-moi s’il vous plaît.

 - Je viens dans un moment, répond seulement Ynès. Allez, toi avance. Tu vois ici, on obéit.

 David semble anesthésié. Il se laisse enchaîner les pieds, jambes écartées. Puis Ynès lui courbe l’échine et lui fixe la tête et les poignets dans la planche. David montre désormais son cul à tous. Les cuisses ouvertes laissent voir son sexe pendant et flasque. Ynès lui tourne le dos mais revient sur ses pas. Elle vient de remarquer une cordelette posée au sol. Séverin l’utilise sans doute pour Antoine : un bout est fixé au pilori, pour l’autre, il n’est pas difficile de comprendre son point d’ancrage. Elle saisit la ficelle et la noue fortement autour des couilles de David. Celui-ci essaie de se débattre. Il ne veut visiblement pas que quelqu’un touche son sexe. Ynès maintient fermement le sexe d’une main et termine de fixer et de tendre la cordelette. Les couilles se tendent et David crie . Ynès lui tourne définitivement le dos et fait un pas.

 - Madame s’entend-elle appeler.

Elle revient sur ses pas.

- Que veux-tu ?

- J’ai mal et je ne me sens pas bien la tête en bas.

 - Tant pis, tu vas rester ainsi jusqu’à l’arrivée du Maître. C’est lui qui décidera de son sort. Tu as accepté de venir de ton plein gré, je crois.

 - Oui, madame.

 - Eh bien tu dois savoir que tu es ici pour souffrir et obéir. Désormais appelle-moi seulement Maîtresse. Sinon tu recevras de la cravache comme ceci. Elle lève son fouet et le frappe plusieurs fois sur les fesses. David crie autant de douleur que de honte de se laisser fouetter devant quelqu’un par une femme. Mais il n’y peut plus rien. Au bout d’un moment il se calme et attend en silence l’arrivée du Maître.

 Ynès va voir Agnès.

 - Alors ! tu es devenue plus raisonnable ?

 - Oh, Maîtresse. Cette horrible salope m’a déchiré le cul et j’ai le ventre en feu. Je n’aime pas être prise par devant. S’il vous plaît sortez moi de là.

 - Je vois que tu n’as pas bien compris. Je veux que tu te fasses prendre par le sexe. Tu vas rester ici jusqu’à le Maître revienne et si l’envie lui en prend de te faire l’amour, tu accepteras.

 Ynès part vers la maison en entendant les suppliques d’Agnès. Elle perçoit un moment la voix de David mais ne comprend pas ce qu’il dit et d’ailleurs cela n’a aucune espèce d’importance.

 Ynès veut maintenant que Séverin revienne. Elle se demande pourquoi il s’absente si longtemps. En attendant, elle va au salon et allume la télévision.

 Quand Séverin entre dans la pièce Ynès dort. Il se penche sur elle sans dire un mot. C’est son parfum qui la réveille.

 - Oh chéri, tu es enfin là.

 Elle passe ses bras autour du cou de son amant et l’embrasse. Elle est rassuré et ravie de le savoir rentré. Séverin la caresse. Sa main parcourt tout son corps comme pour vérifier que tout est à sa place. Il s’attarde sur son anus et émet un petit son grave qui semble approuver le spéculum. Ynès sent les doigts de son Maître qui s’enfoncent en elle. Elle ne bouge plus. Il se laisse basculer enfin sur elle et ils s’enlacent tendrement.

 Au bout d’un long moment de silence et de tendresse, Séverin se relève.

 - J’ai vu que David est arrivé. Il est exactement comme je voulais. Toi aussi d’ailleurs. Le harnais te va à ravir.

 - Tu es resté longtemps absent ! Que faisais-tu ?

 - Comment vont tes marques ?

 Séverin ne veut manifestement pas répondre. Ynès respecte son silence.

 - Ça va. Les brûlures ont pratiquement disparu. Quand veux-tu commencer le dressage de David. Il n’est pas commode et je me demande si tu as bien fait de le prendre.

 - Dans un moment. Pour notre mariage tout est prêt. Dans quelques jours, je pourrais de dire la date définitive : il manque encore quelque chose.

- Quoi ?

- C’est une surprise !

 Cette réponse rassure tout de même Ynès. Elle craint, depuis quelques heures que son passé ne lui revienne en pleine face. Les mystères de Séverin n’arrangent rien. Mais parler de surprise pour leur mariage la ravie.

 - J’ai très faim !

Bénédicte a tout préparé. Nous pouvons passer à table.

 - Où en es-tu avec Agnès ?

Elle est prête pour te recevoir ! Encore quelques jours de réglages et elle pourra retourner chez son maître.

- Bien, je vais peut-être la prendre avant de dîner. Je n’ai pas très envie de cela. Je veux que tu viennes avec moi et que tu assistes.

 Ynès se lève et suit Séverin. Elle ne veut pas voir son homme dans le corps d’une autre femme. Mais elle obéit. Agnès soulève sa tête en les voyant approcher.

 - Maître, délivrez-moi par pitié.

 Sans dire un mot, Séverin la prend à bras le corps et la soulève. Ynès admire la puissance de ses bras. Lorsqu’Agnès est au sol, elle se place immédiatement en position de soumission. Ynès est contente malgré tout. Séverin l’oblige d’un geste à se relever et à le suivre. En passant devant David, il lui caresse les couilles et poursuit sa route. Il contourne la maison et arrive devant l’abri qui sert à Bénédicte pour étendre le linge les jours de pluie. Puisque plus personne en dehors de lui ne porte de vêtements; Séverin a ordonné à Antoine d’aménager un plateau légèrement incliné vers l’avant. Séverin fait allonger Agnès sur le dos et lui fixe les quatre membres aux coins du plateau. Puis il lui bande les yeux et lui place un bâillon dans la bouche. Elle est à présent offerte.

- Aide-moi !

 Séverin se tourne vers Ynès en lui désignant son pantalon. Ynès s’agenouille devant lui et lui ouvre la braguette. Son sexe jaillit.

 - Fais-moi bander, puis tu me feras pénétrer dans le vagin de cette esclave.

 S’adressant à Agnès, il ajoute :

 - Ceci n’est qu’une répétition. Tu devras accepter désormais toutes les pénétrations que ton maître exigera de toi. Dès à présent, fais un signe si tu acceptes de recevoir un pénis avant de devenir l’esclave de Marc ?

 Agnès dont la bouche ne peut répondre hoche la tête de haut en bas.

 - Vas-y !

 Ynès prend le sexe de son homme et le met en bouche. Il ne faut pas attendre longtemps pour qu’elle sente le désir s’éveiller. De sa main, elle caresse la hampe tendue de désir puis quand elle sent qu’il est prêt, elle se dégage et tenant toujours ferme, elle l’approche du sexe ouvert d’Agnès. Elle présente le gland devant les lèvres humides et retire sa main dès qu’elle sent que le membre lui échapper.

 - Retire l’anneau de ta queue et prends-moi !

 Ynès reçoit un coup au ventre en entendant le désir de son Maître. La main tremblante, elle prend la clé qu’il lui tend et  retire l’anneau de son prépuce. Sa queue est plus longue qu’avant. Son extension permanente y est sans doute pour quelque chose. Elle se masturbe un moment. Durant ce temps, Séverin commence à s’activer en Agnès. Celle-ci gémit doucement. Tout est à demi étouffé. Quand elle est prête, Ynès se colle au dos de son homme et lui écarte doucement les fesses. Elle le sent s’ouvrir timidement. Elle s’agenouille encore et lui lèche l’anus puis enfin certaine qu’il est bien lubrifié, elle se relève et appuie son pénis sur l’orifice. Séverin s’est sans doute préparer depuis longtemps car il se laisse enculer facilement. La queue d’Ynès est assez fine aussi. Elle se retrouve à l’intérieur. Il faisait chaud et doux. Ils entament un va-et-vient synchronisé qui dure une éternité. Agnès est oubliée. Chacun fait l’amour à l’autre et Séverin se concentre pour ne penser qu’à Ynès. Soudain, Séverin se contracte et décharge sa semence dans le ventre de l’esclave. En se contractant, il a serré ses sphincters par réflexe et le pénis d’Ynès se trouve coincé et écrasé en lui. Cela provoqua en elle une violente décharge sèche. Elle jouit pendant un moment. Elle a l’impression que sa queue a éclaté sous la forte contraction. Bientôt tout se calme. Séverin se dégage le premier d’Agnès et Ynès tente de prolonger un peu l’étreinte inhabituelle. Séverin la repousse alors gentiment et se retourne. Il la prend dans ses bras et ils s’embrassent. Abandonnant là la jeune femme, ils partent vers la maison. Ynès revient avec sa gamelle. Elle détache la jeune femme et l’oblige à manger comme une chienne sans les mains. Puis elle la remet dans la position laissée par Séverin et l’abandonne pour la nuit.

Oui Maîtresse.

 Agnès passe toute la nuit là. Elle sent longtemps en elle s’écouler la semence du Maître. Elle doit s’y faire. Sa tête lui fait mal. Séverin a dit qu’elle devrait accepter le pénis que Marc lui réservait. Ainsi, c’était ce prix qu’elle devait payer pour pouvoir être pour toujours entre les bras de son amant. Elle devait devenir une deuxième Ynès. Mieux même puisque que elle, aurait deux sexes. Oui, elle en acceptait l’augure. Elle l’admirait depuis qu’elle avait fait sa connaissance. Ressembler à une femme telle qu’Ynès était le gage d’un bonheur complet à partager avec l’homme qu’elle aimait par dessus tout. Elle s’endormit, sans doute au petit matin. Elle se rappellerait plus tard, qu’elle eut froid avant de sombrer dans le sommeil et qu’elle rêva pourtant à l’amour qui lui était offert désormais.

 C’est Bénédicte qui vient la réveiller. Elle la détache sans ménagement et la met aussitôt au travail. Elle nettoie tous les sols et reçoit ses godes en récompense. A aucun moment, elle ne se rebelle contre Bénédicte qui d’ailleurs pense surtout à la nuit d’ivresse qu’elle a passé avec Antoine. Ils ont fait l’amour toute la nuit !

 Ynès ne parait que fort tard dans la matinée. Elle part presque tout de suite en ville. Elle doit informer Marc des progrès de son esclave et de l’accord qu’elle a donné. Il faut que Marc trouve un pénis à sa convenance. Malheureusement, des accidents ont lieu tous les jours et il ne fut pas très difficile de trouver l’objet.

 Ynès veut faire vite car elle a décidé qu’Agnès serait transformée pour ses noces. A partir du moment où elle aurait son pénis, il ne serait plus question qu’elle soit son esclave. Elle viendrait en femme libre de son sort.

 Séverin, par contre, se lève tôt. Il veut voir de plus près ce David. Il se rend devant le pilori. David est toujours en position, les couilles distendues. Il doit avoir mal : il pleure en silence. Séverin voit son corps s’agiter doucement. Il remarque tout de suite une petite flaque. Elle est le résultat d’un stress intense. David a éjaculé de douleur.

 - Eh bien, petite salope. Tu as passé une bonne nuit ?

 Sans attendre la réponse, il empoigne la cravache d’Ynès et entreprend de réchauffer SON esclave. A la vue de ce cul offert et ouvert par la position, il a une irrésistible envie de l’enculer. Il bande. Il se déculotte et encule d’un seul coup.

 David s’arrête de pleurer. Il aime être sodomisé. Il n’attend que cela depuis longtemps. Séverin reste en lui longtemps. Il ne prend pas autant de plaisir qu’avec Ynès mais cela lui fait du bien de sentir cet esclave jouir de lui. Il ne va pas jusqu’au bout et se retire sans avoir éjaculer. David ressent immédiatement une grande frustration.

 - Tu es désormais à moi. Tu dois m’obéir comme un chien.

 - Oui, Maître. Je ferai tout ce que vous voulez. Commander j’obéirai.

Sans écouter son esclave, Séverin le libère. Il le laisse se relever lentement après une nuit comme celle qu’il vient de vivre. Prenant en main la cordelette qu’Ynès a fixé à ses couilles, il l’oblige à le suivre jusqu’au cachot. David le suit sans résistance en regardant avec angoisse sa verge s’allonger démesurément devant la traction imposée.

Ils arrivent en vue de la maison. Antoine est sur le gode à l’entrée. Séverin l’a placé au petit matin. Il a surpris les deux domestiques en plein travail. Il a tiré Antoine par son collier en pleine saillie, la verge encore gonflée de désir: elle était maculée de sécrétions. La vulve de Bénédicte restait béante attendant le retour de son pieu favori. Séverin a placé immédiatement Antoine sur le pieu et l’a attaché. Il y restera toute la journée et toute la nuit. Puis il a ligoté Bénédicte jusqu’à son retour. Maintenant, il ordonne à David de s’agenouiller et il détache Bénédicte et lui d’ouvrir ses cuisses devant lui et david. Puis il la fouette sur la vulve pendant un grand moment. David qui est resté silencieux, observe d’un air dégoutté la grosse baleine qui encaisse les coups sans dire un mot. Pourtant elle souffre beaucoup mais elle ne veut pas gêner son Maître pas ses cris. Elle se met bientôt à pleurer en silence pendant que Séverin continue à la martyriser. A bout de souffle, Séverin s’arrête. Il ordonne à Bénédicte de gagner la cuisine et de lui préparer à déjeuner. Puis il installe David dans le cachot.

Il a demandé à Antoine de lui préparer une cage d’un mètre cube environ. Il fait entrer David qui se retrouve accroupi. Séverin lui fixe des chaînes aux chevilles et les fixe aux deux coins bas en avant de la cage. Puis il fait de même aux poignets et les fixe aux deux coins haut en avant de la cage. L’accroupissement forcé le laisse les fesses en extension et en exposition : ce qui lui dégage ainsi l’anus. Il passe un collier autour du cou et le fixe tendu au-dessus de sa tête. La cordelette est tendue aux barreaux sous la cage. Les couilles sont de nouveau distendues. Séverin prend ensuite des pinces-crocodiles auto-serrantes et en place une sur chaque sein et une autre à l’extrémité de la verge. Il fixe des cordelettes aux pinces et tend les cordes aux barreaux. Les seins et le pénis s’allongent sous l’effet de la traction. David hurle de douleur. La position est inconfortable et douloureuse. Séverin termine son supplice par une brosse à cheveux ronde qu’il introduit dans l’anus par les crins. La douleur de David redouble. Il n’a que deux solutions : maintenir son anus ouvert pour éviter aux brins de crin de la brosse de lui transpercer la paroi interne de l’anus ou relâcher ses muscles pour se reposer en sentant les crins s’imprimer cruellement dans ses chairs. Séverin le laisse seul à ses douleurs.

 Il remonte à la villa et s’installe confortablement sur la terrasse pour déjeuner. Une fois rassasié, il ordonne à Bénédicte de monter sur la table et de se mettre à quatre pattes. Il lui retire le gode anal et introduit une main dans son anus. Bénédicte est suffisamment large maintenant pour recevoir sans aucune préparation la main de son maître. Séverin lui sonde l’intestin assez profondément. Sa main rencontre des matières fécales. Il retire un peu son avant bras et avance l’autre main. Ses doigts glissent le long de son premier bras. Ils se fraient petit à petit un nouveau chemin plus large dans le trou. Ses doigts disparaissent un par un. Bénédicte commence à gémir dès qu’il engage la paume de la main. L’anus doit maintenant s’offrir totalement. Avec patience et détermination, Séverin poursuit son labeur. La paume de la main disparait à son tour : le poignet puis le deuxième avant bras ont disparu. Séverin voit que ses deux bras s’enfoncent dans l’anus de Bénédicte à moitié. L’anus n’a plus de forme. Bénédicte crie maintenant sa douleur. Elle a le cul complètement éclaté. Séverin ne met pas pour autant fin à la pénétration. Il décide de s’activer en elle. Il entame donc un va-et-vient lancinant en synchronisant ses deux bras. Ses poignets ont bientôt assez de place en elle pour qu’il puisse entrecroiser ses doigts. Ayant ainsi plus de force et d’appui; Séverin s’applique à donner à Bénédicte la plus magistrale enculade. Même Antoine ne pourra jamais la sodomiser ainsi. Il a donc réussi à « bander » plus que son esclave mâle. Désormais Bénédicte n’aura du plaisir qu’avec lui. Il continue encore et encore. Il souffle. Bénédicte a fini de souffrir. Plus l’étreinte se prolonge et plus , elle y prend goût. Elle finit par gémir de plaisir. Au bout d’un temps impossible à déterminer, Séverin sent que l’intestin de Bénédicte rentre en révolution. Il la fait jouir et elle en hurle de joie et de plaisir. Séverin sent son corps se convulser et se tordre de bonheur. Puis la fièvre retombe. Bénédicte s’affaisse. Séverin attend encore et retire enfin ses bras. L’anus est béant. Il ne peut s’empêcher de placer ses mains de chaque côté du trou et de l’écarter encore et encore. Jamais il n’aurait pensé qu’un anus puisse s’ouvrir aussi grand. Mu par une idée soudaine, il lâche le cul de Bénédicte et rentre dans la cuisine. Il revint très vite sans que Bénédicte n’ait fait un seul mouvement. Il tient dans sa main une bouteille de champagne. Il place le cul de la bouteille devant l’anus et l’introduit. Bénédicte ne sent même pas la bouteille entrer. Elle disparait entièrement dans son rectum qui se referme doucement en suivant les parois froides de la bouteille. Vu le diamètre absorbé il est inutile de fixer la bouteille : tout tiendra tout seul !

Il laisse Bénédicte se remettre et gagne son bureau. Il eset temps de peaufiner les derniers détails et de s’assurer que ses recherches sont en bonnes voies.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Ynès - Communauté : plaisirs SM
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