Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 17:36

Lisa se lève et va chercher le registre.

-      Pascal, Gaston, Joris, Martin ont choisi la perpétuité. Bérenger aussi d’une certaine manière puisque, pour lui, c’est déjà fait. La truie nous en dira plus sur lui.

-      Cela fait donc quatre esclaves qui peuvent être castrés sans leur demander leur avis. Je propose, dit Amira, que ceux-là soient opérés. Il sera temps ensuite de voir pour Francis et pour Régis.

-      Je vous propose de sonder Francis pour savoir ce qui l’en est pour lui aussi.

-      A partir du moment où ils seront castrés, nous ne pourrons plus les appeler des mâles ni utiliser le « il » avec eux. Ils deviennent quoi ? Des femmes, des femelles ? demande Lisa.

-      Je penche pour « femelle », à condition de les baptiser en conséquence. Comme la mule ! dit Amira.

-      L’idée est plaisante. Ainsi nous serions entre femelles presque exclusivement.

-      Reste, Edith, à leur trouver un nom femelle !

-      Oui Lisa. Commençons par Francis : je pense que « France » pourrait faire l’affaire. Cela dans l’hypothèse quasiment certaine de son internement à perpétuité. Mais j’aimerais trouver mieux.

-      Il semble Gladys que tu y tiens de plus en plus.

-      Oui Amira ! J’ai entamé le divorce. Francis ne le sait pas encore, mais cela va être l’occasion de le lui dire.

-      Pour Gaston, j’aimerais assez « Gisèle » dit Edith

-      Pour Joris, je propose « Josette » dit Lisa

-      Pour Pascal, je préfèrerais « Pauline ». Pascale est trop évident. Elle n’aurait pas l’impression de changer.

-      Pour Martin, il semble évident que « Martine » est tout indiqué ! termine Amira.

-      Puisque nous avons déjà décidé cet aspect très important. Il me semble que nos femelles devraient avoir de la poitrine.

-      Edith, tu es merveilleuse. En effet, nous allons oublier cet aspect. La mule ne semble pas avoir eu sa poitrine développée.

-      En effet Lisa. Bérengère, je crois que l’on peut l’appeler ainsi, n’a pas de poitrine. Son Maître ne l’avait pas souhaité. On peut les traiter par hormones. Ce sera de toute manière nécessaire pour réduire la pilosité et modifier la voix. Mais il faudrait envisager des implants mammaires. Mais cela coûte très cher.

-      Cela nous ramène à la truie. La gérance de son club va nous rapporter pas mal d’argent. Ce serait peut-être une bonne source de financement ! dit Lisa.

-      Cet argent nous permettra d’assurer le quotidien Les implants coûtent vraiment très chers ? demande Amira.

-      Les mâles ne doivent pas donner tous leurs biens ? questionne Edith.

-      Seulement s’ils choisissent de rester ici à perpétuité.

-      Eh bien la chose est entendue. Lisa !

-      Non pas vraiment Amira, car ils doivent le faire de manière volontaire et non systématique. Bernard qui détient tous les avoirs des résidents a été bien clair là-dessus.

-      Il faut donc que chaque nouvelle femelle nous fasse une donation pour ses implants ! conclut Gladys.

La chose étant entendue, les femmes mettent au point l’intervention pour le retour de Gladys. Celle-ci pense pouvoir revenir en fin de semaine suivante et rester le temps nécessaire aux interventions. Elle a des congés à prendre et va prétexter une fatigue due à son divorce pour se mettre au vert.

L’examen des futures femelles est très intéressant. Il semble que toutes soient très heureuses sur l’île. Gladys essaie de les sonder adroitement. Les quatre esclaves disent aimer être pris comme des femmes. Aucun ne regrette de ne plus pouvoir bander. Régis semble le moins prêt à subir cette transformation.

Francis, interrogé après tous les autres, est sur la chaise gynécologique quand Gladys entame la conversation. Elle est en train de le sonder avec un spéculum pour vérifier les parois de son anus. Francis souffre un peu d’être autant dilaté. Gladys fait exprès de l’ouvrir plus que nécessaire.

-      Dis-moi, je vois des traces de sperme là-dedans !

-      Oui Maîtresse. Monsieur Yann m’a pris pour femme juste avant de descendre vous rejoindre.

-      Tu aimes être sa femme ?

-      Oui Maîtresse.

Francis a répondu en baissant la voix.

-      Tu as honte de ta réponse ?

-      Un peu Gladys !

-      Pardon ?

-      Un peu Maîtresse. Pardonnez-moi cette faute.

-      Non, je ne te pardonne pas. Tiens !

Gladys augmente encore l’écartement du spéculum. Cette fois, Francis choisit de ne rien dire. Il serre les dents et souffre en silence.

-      Donc tu aimes bien être une femme. Cela fait combien de temps que tu n’as pas bander et éjaculer ?

-      Depuis que je suis ici Maîtresse.

-      Cela te manque ? Tu le regrettes ?

-      Cela me manque un peu, oui Maîtresse. Mais je ne le regrette pas !

-      Ah bon ! Pourtant, tu m’as beaucoup trompé. Tu aimais bien jouer avec ta queue !

-      Oui Maîtresse c’est vrai. Mais depuis que je suis ici, j’ai découvert que c’était encore meilleur d’être pris comme une femme. On jouit à chaque fois et c’est jamais mou ! Je n’ai plus besoin de paraître viril !

-      Tu jouis quand tu es prise ?

Gladys vient d’employer le féminin volontairement. Francis ne réagit même pas et répond qu’il jouit très souvent. Il lui avoue même que parfois ses seins le chatouillent. Gladys sent que la suite va aller dans le sens qu’elle espère.

-      Tu te souviens sans doute que tu ne dois rester ici que 5 ans ! Cela ne va pas te manquer, après ?

-      Oui, j’y pense souvent. Mais voudrez-vous me reprendre avec vous ensuite maintenant que vous savez que j’aime être pris. J’ai vu hier que vous jouissiez très fort avec Monsieur Axel. Je ne vous ai jamais fait jouir autant, même pas une seule fois. Et puis, dans cinq ans, pourrais-je encore bander ?

-      Il est certain que je ne pourrais jamais plus faire l’amour avec toi.  Tu aimes trop être une femelle maintenant. Et tu as tout à fait raison de penser que tu ne pourras sans doute plus bander. Est-ce que tu ressens parfois des envies, des tiraillements ?

-      Des tiraillements oui Maîtresse, presque tous les jours. Souvent, j’ai des pertes blanches la nuit. Mais des envies pas très souvent.

-      Tes pertes sont normales. La prostate doit se vider de temps en temps.

Gladys note que ce point n’a pas été abordé dans leur discussion entre filles. Il faudra remédier à ce problème. Elle aimerait entrer en contact avec le chirurgien qui a opéré Bérengère.

-      Oh fait, j’ai engagé une procédure de divorce.

-      Ah !

-      Tu ne sembles pas surpris !

-      Non Maîtresse. Depuis que je suis ici, j’ai compris que plus rien ne serait comme avant. Mais que vais-je devenir ? Je n’aurais plus de toit, plus de travail !

-      Plus de femmes non plus. Mais cela, tu n’en auras plus besoin. Tu peux toujours te trouver un homme !

-      Oui, bien sûr ! …

Francis reste muet un moment.

-      Est-il possible, Maîtresse que je puisse rester ici ?

-      C’est possible, bien sûr ! Mais que veux-tu dire ? Tu voudrais rester ici le reste de ta vie ?

-      Oui Maîtresse. Certains esclaves m’ont dit qu’ils avaient signé un renoncement à la liberté jusqu’à leur mort.

-      Tu voudrais signer ce même renoncement ?

-      Oui, peut-être !

-      Tu sais que ce renoncement va occasionner pour eux des changements importants !

-      Quels changements ? Ils n’ont parlé de rien !

-      C’est normal, car ils n’en savent encore rien. En signant ce renoncement, ils ont autorisé Déesse Lisa à faire d’eux ce qu’elle désire. Tu serais prêt à faire la même chose : remettre ta vie entre les mains de Déesse ?

-      Remettre sa vie ? Cela veut dire qu’elle peut nous mettre à mort ?

-      Non, pas dans ce sens. Dans la société gynarchique, la peine de mort n’existe pas. Mais Déesse peut très bien décider de te couper le zizi par exemple.

-      C’est déjà fait Maîtresse ! mon zizi a disparu sous moi et je ne le sens que lorsque je fais pipi.  Le couper ne changerait rien.

-      Tu serais donc prêt à te le faire couper !

-      Oui ! Mais Déesse Lisa n’en a jamais parlé !

-      C’est bien ! Bon, je vais libérer ta chatte anale. J’aime bien appeler ton cul une chatte anale. Et toi ?

-      Si Maîtresse aime bien, c’est comme cela que je dirais maintenant.

-      C’est bien ! Tu es une bonne femelle. Ce n’est pas Francis qu’il faut t’appeler, mais France. Qu’en penses-tu ?

-      Si Maîtresse le désire, je n’ai rien à dire. Mais je n’aime pas tellement ni France ni Francis.

-      Comment aimerais-tu t’appeler femelle ?

-      Francine, Maîtresse ! Cela fait bien femelle.

-      Bien Francine tel sera ton nom, je vais avertir Déesse et modifier ta fiche.

-      Merci Maîtresse.

Gladys choisit de ne rien dire aux autres filles. En voyant s’éloigner l’île, elle a déjà hâte d’être de retour. Elle a un maximum de vacances à prendre et elle compte bien de plus manquer un seul jour désormais.

Durant toute la semaine, Gladys reste en contact téléphonique avec Lisa. Sans en parler à la future Francine, Lisa vérifie la liste de la pharmacie. Gladys veut pouvoir commencer à opérer dès son arrivée. Il faut que tout soit prêt. Pas question qu’il y ait des complications. Elle passe ses soirées à étudier les détails des opérations en cherchant des informations sur les sites médicaux. En surfant sur des sites SM, elle trouve l’adresse d’une clinique italienne qui pratique régulièrement des opérations sur les transsexuelles. Elle contacte le responsable et obtient de dialoguer avec le chirurgien.

Quand, enfin, elle gare sa voiture sur le port, elle est prête !

Mathilde est assise sur un banc face au soleil couchant. Gladys s’approche d’elle.

-      Bonsoir Mathilde !

Mathilde se retourne prestement, surprise de s’entendre appeler.

-      Maît…

-      Silence ! tu sais que tu dois faire attention dans le monde vanille. Tu as du retard, tu le sais,

-      Oui ! M… je vais m’expliquer dès que j’arrive.

-      Viens, allons au bout du quai afin que personne ne nous entende.

Mathilde se lève et suit Gladys. Elles s’avancent jusqu’au bout de la jetée. Le bateau n’est encore qu’un petit point sur l’eau. Yann n’est jamais en retard. Gladys a hâte de l’avoir entre ses cuisses. Avec tout le travail de préparation, elle n’a pas eu le temps de faire l’amour. Elle est en manque. Depuis Axel, aucun membre viril n’est entré en elle.

Gladys s’assoit sur un rocher. Mathilde est debout face à elle.

-      Soulève ta robe et montre-moi ta chatte.

Mathilde relève sa robe largement au-dessus de sa taille. Cela fait trois semaines qu’elle est habillée. En dehors des nuits où elle s’est mise nue et a dormi par terre, elle a dû être correctement vêtue. Maîtresse Gladys la ramène à son rêve. Elle est une esclave gynarchique, soumise au pourvoir des Femmes même de ce côté, du côté vanille. Elle écarte les cuisses afin d’offrir une vue parfaite à sa Maîtresse. Gladys lève son pied et le plaque contre la vulve cadenassée de la truie.

-      Tu as eu des amants durant ton absence ?

-      Non, Maîtresse, aucun amant !

Gladys trouve que Mathilde a hésité avant de répondre.

-      Pourtant tu es toute mouillée salope !

-      C’est le bonheur de vous revoir maîtresse et de soulever ma robe pour me montrer nue.

-      Ah oui ! retire-la alors !

-      Ici Maîtresse ?

-      Oui ici ! Allez vite !

Mathilde retire sa robe. Elle est toute nue sur des rochers. Le premier pêcheur venu peut la voir. Gladys prend la robe et la déchire. Elle jette les loques à la mer.

-      Tu vois truie. Tu n’as plus aucune robe. Tu sais ce que cela veut dire ?

-      Oui Maîtresse.

-      Dis-moi !

-      Je ne sortirais plus jamais de l’île et je ne viendrais plus jamais à terre.

-      Exact ! Regarde bien ce paysage magnifique. Tu ne le verras plus. Tu ne verras plus jamais tous ces gens habillés qui rentrent chez eux pour retrouver leur femme, leur mari, leur amant, leurs enfants et leurs amis. Toi, tu vas rester enfermée le reste de ta vie. Mets-toi à genoux, les mains sur la tête et ferme les yeux.

Mathilde obéit. Gladys a discuté un peu avec les filles, par téléphone. Elles se sont mises d’accord sur une punition longue et douloureuse pour la truie. Il était envisagé que la truie soit sur le quai quand elle arriverait. Gladys suit donc le programme des réjouissances mis au point dans ce cas. Elle sort de son sac une chaîne assez lourde et des bracelets. Mathilde avait reçu des bracelets amovibles en vue de son retour obligé sur le continent. Gladys se penche et fixe les bracelets aux chevilles.

-      Tu sais ce que c’est ?

-      Oui Maîtresse.

-      Tu vois, pour toi, on a ajouté une chaîne. Elle est courte et tu vas la garder tout le reste de ta vie.

En disant cela, elle referme dans un claquement les bracelets.

Voilà, tu es prisonnière à vie. Cette fois, les bracelets sont inamovibles.

Le bateau est maintenant à quelques encablures. Gladys appuie son pied sur le visage de Mathilde et la pousse en arrière. Celle-ci bascule, perd l’équilibre et tombe à la mer.

-      Nage, truie en attendant le bateau.

Mathilde commence par paniquer puis se met à nager uniquement avec ses bras. Elle avale de l’eau et tousse. Ses yeux supplient Gladys de l’aider. Mais la reine se lève et regagne le quai plat. Mathilde, un peu plus loin, ne sait quoi faire. Elle décide finalement de rentrer dans le port pour se rapprocher de sa Maîtresse. Même nue, c’est la seule manière de ne pas attirer l’attention sur elle et que personne ne voit qu’elle est toute nue avec les chevilles entravées. Quand le bateau accoste, Mathilde rejoint tout juste. Yann fait monter Gladys à bord sans se soucier de la femme dans l’eau. Il prend le temps d’installer sa reine. Puis il lance une bouée à Mathilde.

-      Passe la tête et les bras dans la bouée puis monte tes pieds vers moi.

Mathilde obéit. Elle soulève ses pieds. Yann attrape la chaîne. Mais au lieu de l’aider à monter sur le bateau, il y accroche un câble muni d’une barre qui se fixe à chaque bracelet. Les jambes de Mathilde se retrouvent écartées de toute la longueur de sa chaîne de captive. Puis il se met aux commandes du bateau et remet les gaz. Le bateau avance et Mathilde réalise ce qu’elle est en train de subir. Elle est prise en remorque !

-      Mets les gaz dès qu’on est sorti de la bande de limitation durant trente secondes. Je veux qu’elle ait une peur bleue.

-      Maîtresse, ne risque-t-elle pas de se noyer ?

-      C’est en effet un risque !

Yann obéit sans discuter. Le bateau augmente son allure. Mathilde disparaît un instant sous l’eau puis réapparaît. La vitesse du bateau lui permet de se stabiliser et de se comporter comme un ski nautique sur l’eau. Elle se cramponne à sa bouée. Ses jambes ouvertes permettent à l’eau de venir frapper son pubis avec force et violence. Même avec les anneaux qui condamnent l’entrée du vagin, Mathilde sent que l’eau de mer rentre en elle et lui remplit le vagin. Elle panique et se met à crier. Heureusement, ils sont maintenant éloignés du rivage.

-      Continue ! Tu vois, elle crie, c’est qu’elle est vivante. Elle va pouvoir aller ainsi jusqu’à l’île.

-      Bien Maîtresse.

Gladys garde un œil sur la truie. Parfois, elle subit une vague et se met à sauter. Elle rebondit et ses fesses claquent sur l’eau. La mer la fouette et la châtie. Mathilde se concentre pour garder son équilibre. Ses cuisses sont constamment hors de l’eau. Ses seins ballottent de tous côtés. Ce doit être douloureux.

Lisa est sur le quai à attendre. Elle est avec Carline. La jument est assise à ses pieds et lui lèche le sexe.

-      Mets tes doigts dedans.

Carline obéit et la branle doucement. Lisa se laisse allez en arrière et contemple le ciel tout en subissant les assauts virils des doigts de sa jument. L’orgasme est proche quand elle entend le bateau approcher. Elle observe la mer et aperçoit un sillage différent des autres fois derrière le bateau. Gladys est à l’arrière et semble observer ce sillage. Lisa a un moment de colère, car elle ne voit pas Mathilde puis réalise que Gladys est allée au-delà de leur plan. Elle ramène Mathilde par les pieds, en la traînant derrière le bateau. Cette pensée déclenche un orgasme comme elle a rarement connu. Carline se retrouve le visage maculé de cyprine. Lisa vient d’éjaculer devant la force et la violence de sa jouissance. Son corps est agité de contractions.

-      Lèche salope !

Carline n’a pas besoin de cet ordre. Déjà, elle lèche à grands coups de langue sa maîtresse. Elle n’a jamais fait cette expérience. Elle a réussi à faire éjaculer sa Maîtresse. Elle est heureuse.

-      Ohé Lisa. Regarde la grosse truie que j’ai péché.

Le bateau est maintenant arrêté à quelques mètres du quai. Prudent, Yann préfère couper le moteur de peur de blesser Mathilde. Il n’a pas aimé cette traversée. Il a tout le temps eu peur que Mathilde soit aspirée sous le bateau. La truie se cramponne toujours à sa bouée. Elle ne pleure plus. Elle est silencieuse. Elle regarde fixement Gladys. Yann se penche et tire sur la chaîne. Mathilde, tel un culbuto bascule en arrière. Sa tête disparaît sous l’eau et laisse ses cuisses sortir hors de l’eau. Yann détache la barre. Mathilde est libre.

-      Truie, monte par l’échelle là-bas, sur ta gauche.

Mathilde a à peine détourné son regard vers Yann. Elle lâche la bouée qu’elle ramène avec un bras et nage avec l’autre jusqu’à l’échelle. Elle monte tant bien que mal les barreaux et s’effondre sur le quai. Lisa s’approche d’elle la cravache à la main.

Elle lève la cravache et lui assène plusieurs coups très violents sur les hanches et le dos. Elle remarque que ses fesses sont déjà rouges. Mathilde sursaute, mais ne bouge pas. Elle reste immobile et pleure sous les coups.

-      Lève-toi truie !

Mathilde, miteuse, se relève. Elle garde la tête baissée.

-      Tu as une semaine de retard. Qu’as-tu à dire ?

-      Pardon Maîtresse ! Je vais vous expliquer.

-      Tu ne vas rien expliquer du tout. Il n’y aura pas de pardon pour toi. Tu as été jugée et reconnue coupable. Tu vas être punie. Ta punition ne fait que commencer et sera sans fin.

Mathilde s’effondre sur le quai. Elle savait qu’elle aurait dû avertir pour ce retour retardé. Mais elle n’avait pas le choix et on ne lui a pas donné le choix. Elle savait qu’elle serait punie. Mais pas de cette manière. Lisa est une grande Déesse, Mais elle est aussi subjuguée par Reine Gladys. Elle-même, du temps où elle dominait les êtres, n’aurait jamais fait ce qu’elle lui a fait subir. Mathilde se dit qu’elle est à la place qui lui revient. Mais pourquoi Déesse Lisa dit que sa punition sera sans fin ?

Lisa lui fixe une nouvelle paire de bracelets aux poignets. Puis un collier beaucoup plus large que le précédent est fixé sur son cou. Plus large mais aussi plus étroit, il l’étrangle presque. Elle a du mal à respirer tellement il monte haut sur la gorge. Ses poignets sont reliés au collier par une nouvelle chaîne double que Yann fixe. Puis une dernière chaîne est fixée sur l’anneau de son clitoris à la chaîne de ses pieds. Cette chaîne est beaucoup plus lourde que les autres. Elle sent immédiatement son clitoris s’allonger sur le poids. Il va sûrement se rompre. La traction provoque un effet inattendu. La cavité vaginale gonflée d’eau de mer trouve une faille dans la fermeture hermétique des anneaux et se vide sous elle. Les deux Maîtresses se mettent à rire. Elle est pitoyable.

-      Tu vas rentrer en rampant. Mets-toi à plat ventre truie.

Mathilde obéit. Les larmes coulent. Ses yeux piquent. Engoncée dans ses chaînes, elle avance millimètre par millimètre. Lisa et Gladys la fouettent avec énergie. Les gravillons du chemin de terre lui blessent les cuisses, le ventre. Ses seins râpent douloureusement par terre. La peau humide se charge de terre collante. Les deux Maîtresses continuent de frapper à tour de rôle. La montée est un calvaire. Mathilde a soudainement peur.

Que veulent faire d’elle ses Maîtresses. Aura-t-elle le temps et la possibilité de s’expliquer ? Pourra-t-elle leur dire combien elle est désolée ? Pourra-t-elle les avertir du danger qui menace ?

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Pola - Communauté : Récits Erotiques X
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