Dimanche 28 avril 7 28 /04 /Avr 17:39

La truie

Mathilde est sortie de son cachot par les deux étalons. Des Reines l’attendent sur la place devant le fortin. Elle cligne des yeux, car la lumière vive du matin lui fait mal aux yeux. Elle marche avec difficultés.

Truie, tu vas être maintenant rabaissée à la condition d’esclave des esclaves. Tu es condamnée à ne plus jamais sortir de l’île et à servir de truie le reste de ta vie. Tu n’as plus de nom et plus droit à la parole. Tous les résidents de l’île sont supérieurs à toi désormais y compris les femelles. Reine Amira va t’expliquer le déroulement de tes journées.

Amira fait un signe aux deux étalons qui se saisissent de la truie. Un poteau a été dressé sur la place. Il s’agit d’une vieille traverse de chemin de fer. Lord Winston avait un moment envisagé d’équiper les chemins de l’île d’un petit train. Il avait acheté des centaines de traverses ainsi que des rails. Le stock allait servir à la défense de l’île selon Gisèle. Le pieu est solidement fixé au sol sur une plate forme, elle-même constituée de traverses. Sur le sommet du pieu, un anneau de forte dimension est fixé. La base du pieu est traversée de trous successifs sur la face avant et les deux faces latérales. Deux manches de bois sont plantés dans les trous des deux côtés. Yann plaque la truie contre le pieu et l’aide à monter sur les manches de bois. Puis il lui accroche ses bracelets à de courtes chaînes qui pendent. Yann retire les manches de bois et Mathilde se retrouve suspendue, le sol se trouvant à près de 20 cm.

Amira s’approche. Elle tient à la main une longue et fine badine. Elle porte plusieurs coups dans l’air. La badine siffle. La truie regarde Lisa. Ses yeux semblent la supplier, mais c’est en vain. Mathilde est condamnée.

Amira commence la flagellation. Les coups pleuvent avec violence et force. Mathilde hurle, mais ses cris restent sans effet. Amira ne faiblit pas.

Quand elle s’arrête enfin, le ventre et les seins de la truie sont striés de longues marques rouges. Amira a fait en sorte de ne pas blesser jusqu’au sang la condamnée.

Chaque jour, tu seras ainsi fouettée, à midi puis tu resteras attachée durant l’heure suivante. Tu es chargée de tous les travaux d’évacuation des déchets. Tu nettoieras les latrines. Tu ne connaitras plus jamais le plaisir. Chaque fois que tu croiseras un membre de notre communauté, tu te placeras en position de truie : à quatre pattes, les reins cambrés et les fesses ouvertes.

Se tournant vers Yann, elle poursuit :

Esclave, détache la truie et place-lui ses forceps.

Yanna approche. Il tient dans une main un étui cylindrique et de l’autre un harnais de métal. Il place le harnais dans la bouche de la truie. Celle-ci se trouve immédiatement contrainte de garder la bouche ouverte en permanence. Puis il la détache. Mathilde se met en position requise immédiatement, espérant adoucir sa première punition. Yann lui enfonce le cylindre dans l’anus et tourne la partie supérieure. Mathilde sent immédiatement l’étui s’ouvrir en elle. Elle est dans l’impossibilité de l’expulser, même en poussant très fort.

Malgré son obéissance passive, elle est remise sur le pieu.

Comme tu le vois : ta chasse est fermée, ton anus, lui est au contraire ouvert. Tu n’as plus le contrôle de tes sphincters et quiconque pourra t’enculer selon son plaisir et ses envies. Ta bouche, toujours ouverte, nous servira de latrine ambulante.

Lisa est la dernière à s’éloigner. Quand toutes sont parties, elle vient près de Mathilde, lui caresse les cheveux et dépose un baiser sur sa joue. Puis elle s’éloigne ? Mathilde se retrouve seule dans la cour. Le soleil est maintenant haut dans le ciel. La truie voudrait appeler, leur expliquer qu’elles sont en danger. Mais elle ne peut rien faire. Sa bouche s’assèche, son corps lui fait mal. Elle sent cet objet enfoncé en elle qui la force. Elle est réduite à l’impuissance. Elle qui enviait les esclaves qui subissaient mille tourments dans son club, elle que cela laissait en transes, est maintenant réduite plus bas encore. Elle voudrait pouvoir encore se toucher, se caresser et se donner du plaisir, malgré sa situation.

Les opérées se portent bien. Toutes les nouvelles femelles ont repris en douceur leurs activités. Lisa les observe depuis la terrasse du fortin. Les femelles s’activent. Leurs nouveaux seins s’agitent un peu. Elles ne sont pas encore habituées à épargner leur poitrine des soubresauts. Elles agissent encore comme des mâles qui n’ont pas à se soucier de cela. Lisa se met même à rire en apercevant Ghislaine en train de faire pipi. Elle s’est accroupie en écartant les jambes. Elle a vite trouvé la bonne façon de se placer pour ne pas se faire pipi sur les pieds. Le travail de Gladys a été parfait. Elle a pu observer la nouvelle chatte de Francine. C’est une imitation parfaite. Les lèvres sont parfaitement dessinées. La base inférieure des lèvres laisse à peine entrevoir le gland du pénis. Le clitoris ne donne sur aucun orifice. Toutes les cicatrisations sont presque terminées. Aucune femelle n’a eu de complications. Les étalons ont pu reprendre leurs saillies quotidiennes. Aucune femelle ne se plaint et les étalons apprécient de pouvoir leur malaxer les seins durant les pénétrations. Les seules à en subir les conséquences ce sont les femmes, car les étalons découvrent de nouveaux plaisirs avec les femelles.

Edith pour tenter d’enrayer ce phénomène entreprend l’éducation des nouvelles femelles. Réunies tous les soirs dans la classe de cours, elle leur enseigne le maintien et la manière de se servir de leur corps. Les femelles doivent de plus établir de longues confessions sur leurs activités de la journée et des sentiments éprouvés lors de leurs rapports sexuels. Maîtresse Edith lit chaque confession et corrige les fautes d’orthographe nombreuses. Chaque femelle est punie pour ses fautes après les avoir rectifiées.

La truie commence sa deuxième semaine de punition. Le travail de nettoyage des chemins est éprouvant, car Maîtresse Amira a trouvé le moyen de rendre le travail encore plus pénible. Elle a fixé un boulet, trouvé au fin fond du souterrain au clitoris de la truie. Lorsqu’elle marche, elle doit traîner entre ses cuisses le boulet. Son clitoris est maintenant distendu et même durant la nuit, il garde une certaine longueur. Mathilde ne peut que pleurer lorsqu’elle est seule dans le noir, sur la terre de son cachot pour couche. Elle ne contrôle plus son anus qui se vide quand il eut n’importe où et mange les restes des esclaves dans une gamelle.

Le sort de Ghislaine est à peine enviable. Dès que son opération a été cicatrisée, Amira l’a enfermée dans le souterrain. Elle a fait aménager par Gisèle et Martine la partie la plus profonde de la cave. Ghislaine passe la plus grande partie de son temps dans une cage suspendue d’un mètre cube. Elle vit accroupie en quasi permanence, sans lumière. Son anus est dilaté en continu et ses seins sont étirés. Elle ne sort dehors que la nuit où elle prend la place de la truie sur le pieu. Elle est placée toute la nuit dans la même position.

Tous les résidents sont maintenant de garde à tout de rôle et effectuent des rondes sur les falaises de leur île, de jour comme de nuit. Ni les étalons ni les esclaves n’ont plus le temps de s’amuser avec les deux esclaves. C’est pourtant Mathilde, durant son nettoyage journalier des chemins, qui va, la première, remarqué le bateau blanc qui croise depuis plusieurs jours au sud de l’île. Il se déplace avec le soleil de manière à rester le plus possible invisible des résidents. Mathilde a l’œil attiré par un bateau qui est près de la falaise : des gens parlent fort. En s’approchant, malgré son boulet qui s’accroche dans les pierres pointues, elle peut apercevoir un canot à l’eau et des hommes sur les galets au pied du mur de roche. Le passage est impossible. Les hommes jurent.

Deux jours plus tard, elle remarque de nouveau le bateau, mais sur le versant nord qui est moins abrupt. Le commandant du navire n’a pas suivi la course du soleil et le bateau est parfaitement visible. Là encore un canot est à l’eau et semble faire des ronds dans l’eau.

Mathilde attend le midi tout en surveillant autant qu’elle peut. La truie reçoit sa punition quotidienne et tente d’émettre des bruits avec sa bouche ouverte. Axel la fouette durement sur le ventre puis la retourne pour zébrer ses fesses et son dos. Jusqu’au soir, elle poursuit sa tâche et subit mille humiliations. Quand Axel revient la chercher pour la ramener dans son cachot, à la nuit tombée, elle se tait. Une fois de nouveau attachée sur le sol humide de sa cage, elle attend de recevoir sa gamelle. Axel lui retire son harnais de bouche. Mathilde fait quelques mouvements de mâchoires puis se décide :

Monsieur Axel !

Silence truie !

Mathilde s’applique à se mettre en position de truie et attend qu’Axel ait terminé sa nouvelle punition en serrant les dents pour se retenir de pleurer.

Il la fouette encore sur les fesses et sur le dos.

Depuis plusieurs jours, un bateau tourne autour de l’île…

Axel qui s’apprête à lui retirer sa gamelle et à la ramener sur le pieu s’interrompt et disparaît. La truie surprise reste dans la position et attend la suite.

Répète ce que tu as vu, truie ! Parle ! Je t’y autorise.

C’est Lisa qui est devant elle. Elle est accompagnée de Gladys et d’Edith.

Déesse, depuis plusieurs jours – au moins deux – un bateau tourne autour de l’île et un canot a essayé plusieurs fois de prendre pied sur l’île.

Tu es sûre ?

Oui Déesse. C’est toujours le même bateau. Il se cache dans le soleil.

Les femmes quittent la prison et Axel aide Mathilde à sortir de son cachot. Pour une fois, il ne lui met pas son boulet. Mathilde peut marcher presque normalement, car seul l’étui anal permanent l’oblige à marcher cambrée en avant. Le groupe grimpe sur la terrasse. La nuit commence à tomber. Le ciel est clair. Chacun se poste à un coin du parapet et observe l’horizon.

Truie, vois-tu le bateau en question ?

Mathilde n’a pas une très bonne vue dans l’obscurité naissante. Elle plisse longuement ses paupières et scrute la mer. Elle désigne d’un doigt l’endroit où elle a vu le bateau pour la dernière fois.

C’était quand ?

Le soleil allait bientôt se poser sur l’horizon Maîtresse Edith. Il me restait à nettoyer la montée vers le fortin. Cela fait au moins trois bonnes heures.

Quatre rectifie Axel. Pour punir la truie d’avoir parlé, je l’ai laissée fouetter encore et j’ai attendu une heure de plus en la laissant sans manger dans son cachot. Je ne savais pas Déesse.

Axel se prosterne aux pieds de Lisa et attend son châtiment.

Nous verrons cela plus tard. Va chercher tout le monde et que l’on recherche à localiser le bateau sans se faire voir et ans faire de bruit.

Axel disparaît dans l’escalier. Les reines descendent aussi afin de partir à la recherche du navire inquiétant.

Mathilde ! Je te remercie.

Déesse, je…

Oui, Je sais. Je viens de t’appeler par ton nom que je te rends pour ce que tu as fait. Tu as bravé un interdit et tu as été punie pour nous prévenir. Je ne te relève pas de ta punition et de ton statut, mais je te rends ton nom et du droit de parler parfois.

Merci Déesse.

Lisa aide Mathilde à descendre par l’escalier étroit. Elles gagnent la cour. Lisa la rattache sur le pieu et la laisse ainsi un moment.

Lisa est angoissée !

Malgré plusieurs heures de recherche et de veille, personne n’aperçoit le bateau. Au petit matin, beaucoup dorment entre deux rochers ou sur des coins d’herbe tendre. Amira est la seule à être encore éveillée. Elle décide de retrouver les étalons et de les atteler pour faire un dernier tour de l’île. Elle veut aussi récupérer tous les résidents afin de faire le point et de reprendre le travail et la veille. Axel est occupé avec Josette qu’il sodomise avec volupté. Josette est à quatre pattes sur le chemin à la pointe sud de l’île. Axel s’active en elle par-derrière. Il lui malaxe les seins et lui pince fortement les pointes saillantes. Josette pousse des gémissements de plaisir. Amira, à l’aide de son fouet, interrompt la scène. Axel surprit par les coups cinglants se retire au moment où son pénis laisse jaillir son plaisir. Le sperme retombe sur le dos de la femelle.

Josette est fouettée avec force pour avoir abandonné sa veille et Amira lui ordonne de rentrer immédiatement au fortin et d’aller dans sa cellule. Axel reçoit l’ordre d’aller chercher le sulky de sa Reine et de retrouver l’autre étalon puis de la rejoindre. Amira a décidé de commencer sa ronde en footing.

Les heures passent. La ronde n’a rien donné et tout le monde est rentré. Lisa réunit des Reines.

Il semble évident que la truie n’a rien vu. Elle a cherché à se faire remarquer. Je propose d’alourdir encore sa punition.

Non ! Amira. Je crois Mathilde, à qui j’ai rendu son nom et le droit à la parole. Mathilde ne chercherait pas à obtenir des faveurs de cette manière. Je suis certaine qu’elle a vu un bateau tourner autour de nous.

Pourtant, il reste parfaitement invisible ! dit Edith. Que faisons-nous ?

Je propose que nous restions vigilantes durant les prochains jours.

Tu as raison, Gladys. Reprenons nos activités en gardant l’œil ouvert. Où en est l’éducation des femelles, Edith ?

Elles ont du mal à se tenir correctement, mais à force de punitions, elles y arriveront.

Je propose de leur castrer la chatte anale. Les étalons n’arrêtent pas de les sodomiser. Ce matin encore, j’ai dû punir Axel qui enculait copieusement Josette. La chienne en braillait de plaisir.

Comment voudrais-tu les castrer ?

Un plug me paraît approprier, non !

Je préfèrerais un système qui les dilate et leur laisse la chatte ouverte, mais inaccessible. Un peu comme celui que porte la truie.

Que veux-tu dire par là Gladys. La truie peut se faire sodomiser. La différence c’est qu’elle ne ressent rien.

Justement, j’imagine un tube muni de pointes à l’intérieur qui resterait enfoncé dans l’intestin. Les étalons seraient privés de jeux érotiques et les femelles garderaient une hygiène convenable, car le plug permanent empêche les intestins de se vider. D’où gaz intestinaux et risquent de perforations abdominales. Le tube creux laisserait les gaz s’évacuer et les intestins se vider.

Il faut mettre au point ce système rapidement alors.

Ces godes existent dans le commerce. Il suffirait d’aller les acheter. Comme je dois retourner à la clinique, je pourrais m’en procurer et les ramener dans quinze jours.

Mais ne devons-nous pas réduire nos sorties de l’île afin de ne pas nous faire remarquer ?

D’accord Edith ! Mais si je ne rentre pas rapidement, ma clinique va se poser des questions et cela ne passera pas inaperçu.

Tu pars aujourd’hui même Gladys. Il est important que rien, en apparence, ne soit modifié. Tu seras attentive à ton arrivée au port et tu pourras nous communiquer par Internet si tu remarques des personnes étrangères ou bizarres.

Oui Déesse.

Le conseil étant terminé, Gladys monte se préparer. Elle quitte rapidement l’île avec Yann.

Il est à peu près midi. Les reines se sont mises à table. Elles n’ont pas eu le temps de dîner hier soir et le petit déjeuner a été pris rapidement. Les esclaves sont moins performants. Lisa les a autorisés à prendre un peu de repos dans leurs cellules. Seules Pauline et Josette sont de service.

C’est à cette heure silencieuse que la vie des habitants de l’île bascule.

Par sentiments-et-soumission - Publié dans : Pola - Communauté : Récits Erotiques X
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